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Je pense que mon compagnon est bipolaire

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Justine
(@babydoll)
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Inscription: Il y a 7 ans
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Début du sujet  

Bonjour à tous et toutes,

Je viens ici aujourd'hui car je pense sérieusement que mon compagnon est bipolaire (en plus d'être alcoolo-dépendant).

Je connais un peu les troubles dits bipolaire et borderline, (mon ex étant l'un et ma mère l'autre) et plus j'observe le comportement de mon compagnon, plus je vois mon ex! De plus, la lecture des différents articles du site me conforte dans cette "idée".
Sans parler d'un test que je lui ai fais qui laisse carrément paraitre une profonde bipolarité.

De ce fait, je souhaiterai vraiment avoir vos avis, vous bipolaires, vous proches de bipolaires, et si possible, des conseils pour "convaincre" mon ami qu'il souffre d'un mal plus profond que son alcoolisme (qui découle probablement du trouble bipolaire que je soupçonne) et qu'il doit en parler afin d'être diagnostiqué, aidé et accompagné.

Et surtout, qu'il comprenne que si il souffre effectivement de ce trouble, cette maladie, ça n'est pas sa faute et que son entourage et moi-même ne le laisserons pas tomber, ne l'abandonnerons pas, bien au contraire.

Dans l'attente de vos réponses et vous en remerciant par avance,

A bientôt,

Babydoll...


   
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Calou Jah
(@caloucal)
Eminent Member
Inscription: Il y a 7 ans
Posts: 33
 

Bonjour Justine, alors pour ma part, moi aussi je suis "toujours" alcoolo dépendant ( ça fait 14 ans ) , et ancien fumeur a grosse dose de cannabis. Ses addictions, étaient juste un signe révélateur pour moi, d'un mal être plus profonds depuis mes 15 ans, suivis plus tard par les scarifications, et les TS.. Mais j'en était déjà "conscient", a ma façon... Alors pour ton compagnon, tu ne peux pas le forcer, malheureusement... Déjà, propose lui de voir un psychiatre spécialisé dans l'alcoolo dépendance si tu as ça vers chez toi, et de fils en aiguilles le ou la psy va creuser et seulement a ce moment la, toi tu pourra confirmer ton "avis", et lui pourra ( si c'est le cas bien sur ) comprendre un peu ses mécanismes d'auto destruction crées par cette pathologie. Je répète, tu ne pourras pas le forcer, ça fera justement l'effet inverse, crois moi. Il dit quoi par rapport a sa conso ? Il ressent ses changements ( que toi tu doit bien voir ) ? Ou pour lui tout est normal ? ( Comme moi, il y a plusieurs années. Après faut dire qu'on a qu'une vie, donc si on grandis et vis avec tout ça, on peux penser que c'est tout a fait normal ! ( Vécu ) ) 

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En attente de tes nouvelles, courage, et courage a ton compagnon.

Pascal, 29 ans, bipolaire type 2 a tendance borderline.


   
Priscilla reacted
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Justine
(@babydoll)
Active Member
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Début du sujet  

Bonjour Pascal,

Avant toute chose, merci pour ton message, je n'en attendais plus...

Mon compagnon est lui-même consommateur de cannabis "abstinent" (il tire quelques taffes occasionnellement), et ce depuis un peu moins d'un an, et a également tenté de mettre fin à ses jours l'année passée...
Il a à ce jour, toujours des pensées en ce sens d'ailleurs. Ça ne fait qu'empirer...

Ayant parfaitement conscience que je ne pourrais le forcer à quoi que soi, j'ai pris le parti de discuter avec lui, de lui "suggérer" que son mal était (peut-être) plus profond et que dans l'absolu, quitte à être déjà suivis par deux psychiatres (1 pour l'alcool, l'autre suite à sa TS) pourquoi ne pas creuser...

Pour ce qui est de son alcoolo-dépendance, il a fait une "cure de sevrage" en début d'année qui s'avère être un échec cuisant, (mais ce sont des choses qui arrivent, c'est loin d'être évident)
Il est depuis, plus ou moins suivis au CSAPA de notre ville, mais n'y étant allé qu'une seule fois (d'où le "plus ou moins") son Psychiatre/Alcoologue référent n'a pu émettre aucun diagnostique autre que alcoolisme évident.

Concernant sa conso, il a parfaitement conscience qu'elle est plus qu'excessive (1L de sky avant-hier, soul depuis samedi après-midi) et que celle-ci nuit gravement à son épanouissement.
Oui, il ressent ses/ces changements mais les attribut au manque de sommeil, d'alcool, à l'absence de ses filles... et ne trouve pas forcément ceux-ci "anormaux".

Comme évoqué dans mon post, mon ex est bipolaire type 2 diagnostiqué depuis 2014, et je reconnais les mêmes comportements auto-destructeurs, les phases dites up & down, le comportement sexuel extrêmement "débridé", le même sentiment d'abandon et de solitude malgré un entourage présent...
Je ne vais pas te lister les symptômes, tu les connais bien mieux que moi, devant toi, faire avec et les "subir".

Je n'ai pas dans l'idée de le forcer rassure toi...
Juste, ma vie devient de plus en plus difficile et je me sens moi-même très seule. (Je suis depuis 1 an en dépression qui a pris il y a 1 mois un gros coup du sort)

Je voudrais l'aider... l'aider à s'aider, à s'aimer, à vivre et non survivre...

Encore merci de ta réponse, de ton soutien, de ta présence.

Courage à toi aussi...

Babydoll

 

PI: 29 ans, névrosée en pleine dépression, fille de borderline....


   
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Bruno
(@bbop)
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Posts: 8
 

...vu les doses d'alcool je pense que déjà résoudre sa dépendance alcoolique est une priorité ? C'est toujours pareil, la poule ou l'oeuf ? Les dépendances qui favorisent la maladie, ou la maladie qui favorise les dépendances ?

Dans tous les cas, je me trompe peut être mais je prendrai le truc au fur et à mesure, et n'en rajouterai pas plus qu'il n'en faut pour le moment vue la situation assez difficile...

En tout cas chapeau de ta part que de vouloir l'aider à s'aider...


   
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Justine
(@babydoll)
Active Member
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Début du sujet  

Bonjour Bruno,

C'est aussi ce que nous avions pensé, lui, sa famille et moi-même, mais il a replongé, ne parvenant pas à faire face aux contrariétés, à la routine, à la vie de tous les jours... Ses émotions et sa manière de les ressentir semble vraiment exacerbées...

Si toutefois je ne me trompe pas en le pensant bipolaire, il est actuellement en phase de dépression...très profonde...

Et oui, comme tu dis, l’œuf ou la poule... Qui favorise qui?

Avec sa famille, nous essayons de l'entourer au maximum, sans l'étouffer...

De son côté, il commence à prendre certaines choses en main, ayant abordé brièvement la question "Serai-je bipolaire?" avec son psychiatre.
Parallèlement, il a RDV pour le suivis addictologique...

Situation difficile...quel doux euphémisme compte tenu de la réalité de celle-ci...

Il est l'homme que j'aime, je ne veux que son bonheur...


   
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Calou Jah
(@caloucal)
Eminent Member
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Posts: 33
 

Alors de mon avis je serai plutôt du contraire. D'abord essayer de diagnostiquer si il y a bel et bien une pathologie, puis la traiter efficacement, et une fois cela fait ( on parle sur des années la, on va pas se mentir ) on peut commencer une thérapie pour se sortir de l'alcool. Enfin après c'est mon points de vu, et ce qui a le mieux marcher pour moi. De toute façon, je n'ai pas envie, en faite, des fois si, mais non... d’arrêter l'alcool... Il me reste que ça, je ne fume plus, ne me scarifies plus, je peux pas me défoncer aux médocs car mon corps est devenu habituer maintenant avec les années ( mais leurs effet stabilisateur par-contre marche, après plus de 15 combinaisons essayé en 6 ans. ) il me faut un truc... Peut être qu'un jour j'aurai trouver l'élément déclencheur, je pensais l'avoir en partant en cure en juillet 2016 mais une fois sorti je suis resté abstinent... 72h... Sachant que je suis a 15 baclofène par jours ( conso quotidienne 6 à 7 canettes de 8.6 voir certains soir une bouteille de vodka ). 

Pourquoi ne pas essayer qu'il discute avec son psy ( si il se sent prêt et d'accord surtout ) a une hospitalisation en clinique privé ( pas HP, l'HP ca te détruit plus qu'autre chose ) déjà il pourrait faire un sevrage physique, serait suivis psychologiquement aussi, bon après faut supporter l'enfermement mais quand on a plus le choix... Je précise bien clinique privé car j'ai connu les 2, cliniques et HP, et c'est vrai que dans les cliniques on est bien traité puis écouter, encadrer, la plus part on des parc pour se balader, voir même des salles de muscu ( la ou j'étais j'en avait une avec un coach ) puis les mutuelles en général prennent en charge pendant 1 mois par an. 

 

Courage, la vie n'est pas facile, mais avec le temps tout peut s'améliorer crois moi 😉


   
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Justine
(@babydoll)
Active Member
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Début du sujet  

Pascal,

Je suis moi aussi plus partisante du diagnostic d'une éventuelle pathologie avant tout car cela permettrait de mieux identifier "les causes". Surtout que le coup du sevrage alcoolique, "on" (mais je devrais plutôt dire il) à déjà essayé et ça n'à pas franchement fonctionné...

Lui, c'est la même chose, un jour oui, un jour non... Il voudrait contrôler tout en ayant conscience qu'il n'y arrivera pas...

Il tourne en moyenne à 1/2 bt de sky/jour avec parfois 1 ou 2 bières (genre grim) en sus... Sans évoquer bien entendu la trentaine de clopes qui joue les choeurs! (Moi qui essaie d'arrêter, je suis pas aidé!)

Clinique privée ? Euh...Pas les moyens hélas! Sinon, crois moi, je l'aurai convaincu d'y aller.  Il est vrai que nous avons une pas trop crade mutuelle, mais pas à ce point là. (Nous n'avons malheureusement pas la chance d'être a la ProBTP). Quoi qu'il ait beaucoup de mal avec l'enfermement comme tu dis. Depuis quelque temps il pense à tenter via l'ambulatoire... Je suis septique mais je dis rien, j'encourage, c'est déjà un pas vers du moins pire à défaut d'être du mieux.

Tu dis tourner à 15 baclofènes/jours (?) tout en buvant encore, as tu déjà essayé ou entendu parler du Selincro? C'est ce quil à été prescrit à mon ami et mon avis personnel est que c'est de la merde, mais je peux me tromper...

Disons que dans l'immédiat, c'est surtout de l'espoir qu'il me faut, parce que je suis en dèche! Et pas facile de faire tout comme...

Je ne sais comment l'aider à ne pas le perde quand moi même je n'en ai plus des masses...

Nos échanges me font ce pendant beaucoup de bien ?

Bien à toi, 

Babydoll 


   
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Calou Jah
(@caloucal)
Eminent Member
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Coucou

Oui le sevrage risque d'être hyper difficile, voir impossible, tant que la source de cette consommation abusif ne sera pas identifié.. :/ Pourquoi pas essayer l'ambulatoire oui, et ça sera déjà un premier pas en avant ! Pour la clinique moi j'avais de la chance d'avoir la mutuelle du boulot ( j'étais en arrêt maladie a l'époque ) qui prenais en charge 2 mois dans l'année. Mais la pourtant avec ma mutuelle ( la mutuelle générale, je paye 38€ par mois ) j'ai le droit a 1 mois en clinique privé, mais pas en chambre seul parcontre. Sinon pour le selincro oui j'ai testé après ma sortie d'HP en 2015, mais je l'ai pas supporter et ça ne marchais pas. L'aotal pareil que j'ai eu de 2011 a 2012, grosse daube celui si. Le baclo je suis a 15 depuis ma cure en juillet, avant j'était a 9. Mais ça ne me fait toujours pas l'effet qu'il devrait, même si faut pas l'oublier ce n'est qu'une béquille. Et depuis décembre mon addictologue a quittée son poste, et n'a pas était remplacée donc j'ai plus que mon psy et l'alcool ce n'est pas son domaine. Donc j'essaye petit a petit, un coup un jour sans, un coup 2 jours, mais j'arrive pas pour l'instant a tenir plus que ça, mais ça viendra 😉 Faut garder l'espoir 🙂


   
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Justine
(@babydoll)
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Début du sujet  

Pascal,

Il m'à demande hier de me renseigner sur les tenants et aboutissant de l'ambulatoire... voyant une forme de "volonté" je vais m'en occuper mais je sais que ce n'est pas à moi de le faire et je vais me faire envoyer sur les roses...

Il a aussi été sous aotal, oui je confirme ça sert à rien! Le Valium et/où le Seresta semble lui faire du bien (dixit lui) mais je suis pas convaincue... Après je ne suis pas médecin et aucune des siens ne veut me parler (secret professionnel, déontologie, connerie humaine... les raisons sont nombreuses) 

Là problématique d'une hospitalisation réside surtout dans le fait que ça décale fortement les dates d'entrée d'argent et, bien que je m'alimente extrêmement peu, j'ai toujours comme hobbies de pas mourir de faim... Et je mets un point d'honneur à rester en bon terme avec mes créanciers ?

C'est déjà une très bonne chose que tu parvienne à rester sobre 2 jours. Un petit pas après l'autre... 

Garder espoir...

Rester positif...


   
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Calou Jah
(@caloucal)
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Oui le seresta en tant qu'anxio apaise pas mal les angoisses lié au manque par exemple, et il est prescrit dans les sevrage alcoolisme aussi, j'en ai 2 de 50mg depuis 2011. Le soucis c'est que le corps s'habitue malheureusement 🙁 Le valium par contre ne m'a fait aucun effet, j'en ai eu que pendant ma cure j'était a 4 valium 10mg par jour, après chaque personne réagis différemment. Après non ce n'est pas une question que ce soit a toi ou a lui de faire la démarche, mais tu peux entamer les "début" surtout si il sait pas trop comment y faire, mais c'est sur qu'a un moment ça sera a lui de prendre les choses en mains. Essaye de prendre RDV avec une assistance sociale du CMP que tu a vers chez toi, elle saura bien t'orienter.  Oui l'hospitalisation ca décale les rentrée d'argent je confirme 🙁 j'ai eu quelques soucis y a quelques années malheureusement, c'est le point négatif. Pour les médecins c'est vrai qu'il y a le secret pro, mais il pourrait vous convoquer tout les deux a un rdv ensemble pour en parler, ton mari ne sera pas contre je pense et la il ne sera plus question de secret professionnel. 


   
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Justine
(@babydoll)
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Au vu de sa conso même sous Seresta, je pense qu'il s'est effectivement habitué. Le valium, il recevait la même quantité que toi au court de sa "cure", aujourd'hui il en en prend qu'occasionnellement... donc je crois pas que cela aide vraiment... Après c'est pas mon organisme... (moi je tombe dans le coma avec 1/2 zopiclone donc...)

Certes, je peux entamer les débuts, mais j'ai tellement peur qu'il se sente forcé, que je n'ose pas prendre d'initiative...
Surtout que dans l'idée, le tenir par la main tout le temps n'est pas , il me semble, une très bonne chose...

Je n'avais pas pensé au CMP dans le cadre de l'alcoolo-dépendance et bipolarité suspiciée chez mon compagnon... Je vais me hâter de les contacter...
Toute aide, conseils, orientation qu'on pourra me donner est bienvenue.

J'ai vraiment le sentiment que tout ça ce sont les démarches de la dernière chance...

Le détail est que son (incompétent) psychiatre qu'il consulte (à raison de 20min 1/mois) n'a jamais émis l'idée de nous rencontrer lui et moi. Sa mère cherche à le joindre pour convenir d'un RDV mais il ne la toujours pas rappelé...

A long terme, si il n'y a pas de diagnostique, ça va se transformer en secret de polichinelle... Genre le secret de la recette de la fricadelle.. Tout me monde il le sait, mais personnel le dit


   
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Calou Jah
(@caloucal)
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En effet son psy est pas pro du tout ! Déjà 20 minutes par mois c'est très peu ! Le mien onparle pendant plus de 35 min a chaque fois, puis cest le genre de psy qui te donne envie de parler de te confier, il te met à l'aise et il a toujours les mots adéquate. C'est vraiment une perle que j'ai trouver. bon j'étais déjà diagnostiquer depuis 3 ans mais il a quand même voulu voir mes parents donc on a eu un rdv à 4 d'une heure. Alors donc déjà essayé d'appeler ou de te rentre a ton CMP le plus proche histoire de t'informer. Je serai d'avis aussi qu'il change de psy c'est pas avec un médecin comme lui vu comment tu nous le décrit qu'il va y avoir de l'amélioration ou même surtout des reponses. Malheureusement comme tu la dit plus haut, tu peux l'aider dans les début mais le reste toi venir de lui. d'ailleurs si il y a changement de psy il faut que ce soit lui qui recherche, qui prenne les rdv ce n'est pas à toi de le faire ça sinon ça n'aboutira pas.


   
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Justine
(@babydoll)
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Début du sujet  

Nous avons un peu abordé ensemble l'idée qu'il change de psy.
Bon j'ai pas argumenté direct en disant qu'il avait un psy en carton", mais plutôt en lui suggérant qu'avec un suivis à côté de chez nous, les choses seraient peut-être plus faciles...Ce qu'il admets...

Je sens bien qu'il veut lui aussi des réponses mais que paradoxalement il est un peu "flippé" à cette idée, ce que je peux comprendre.

Je mise sur son psychiatre du centre qui semble plus "pro" déjà d'une, et surtout plus dans la génération actuelle... contrairement à celui des "20min/mois"...

Renseignements pris au CHI proche de notre domicile sur leurs différentes "prestations" dans le cadre du sevrage alcoolique et l'accompagnement (tant préalable que post sevrage) -- J'ai pris les infos mais n'ai pas contacté qui que ce soit.
Mon compagnons me dit souhaiter le faire lui-même, via le CSAPA qui travail en collaboration avec eux. -> RDV au CSAPA mardi qui vient.

J'ai RDV au CMP mais pour moi, je vais à tout hasard leur poser la question pour mon copain...

On a beaucoup échangé lui et moi au cours des derniers jours (et surtout au vu des évènements du we dernier) et il me parait décidé à aller mieux, mais j'ai si peur qu'il ne le fasse pas "sans moi" que j'ai beaucoup de mal à lâcher le dossier...

Dois-je continuer a macher le travail ou prendre plus de distance?


   
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