salut les bipotes. Qui écrit ici ? témoignages, romans, poèmes, chansons etc.
Je me suis mis à écrire il y a 7 ans au début de la maladie. Un vrai besoin en phase UP, j'écris beaucoup, très créatif !très créatif. C'est devenu ensuite un plaisir, une habitude tout le temps, un peu tous les jours.
Vous avez peut-être un blog ou d'autres outils pour partager vos écrits ?
PARTAGEONS ICI !
Voici mon blog créé tout récemment : "carnet de bipolaire" un témoignage, des histoires du parcours de bipo , j'ai une page facebook aussi sous le même nom.
J'écris, tof, mais tu le sais, tout le monde le sait ici ... Des poèmes, des citations ... Ce matin j'ai reçu un message dans mon livre d'or qui m'a fait énormément plaisir, comme la consécration de celui ci, par Yoann que je remercie très fort en passant ! Je vous mets un petit poème que j'aime beaucoup, pas forcément facile à comprendre, bipolarité oblige parfois .....
L'heureux tour du cas précieux.
Elle était repartie dans un monde fantastique,
Ou toutes ses réparties la tordaient de délire.
Elle retissait le fil de ses pensées diaboliques,
Sur l’ouvrage de sa vie qu’elle s’acharnait à lire.
Elle avait ses entrées dans les devinettes du temps ;
Un compteur de cœur au corps d’un contour audacieux.
Et pliant le contrat riant dans le sens du vent,
Un petit œil tirant légèrement malicieux.
Son rêve errant se repose au pied du lit des cieux ;
Alliage aberrant d’un être prétentieux.
Elle danse l’évidence de l’harmonie d’envie,
Troublante symphonie de paillettes infinies.
Bonjour Véroo,
j'ai écrit longtemps et c'est ce qui m'a permis de rebondir et de passer le cap de certains trucs. Après c'est surtout des chansons et comme j'aime ça avec un pote gratteux, on a essayé de mettre ça en zik,je peux te filer le lien si tu veux. En dehors de ça, depuis peu, j'arrive à allier l'écriture avec une autre mes passions qui est la bouffe. Je suis auteur pour un guide et franchement, ça fait très plaisir de pouvoir valoriser un truc un peu spécifique que je peux avoir!
Par contre, j'essaye de le faire discrétos car je sais que trop en parler peut me faire partir dans les tours et j'essaye de travailler là dessus!
Tof,
Mon message t'était aussi destiné ("bonjour veroo ") 😉
Bonne journée
hello, on peux essayer sur 1 ou 2 textes qui pourrait se prêter à une mise en musique.
tof
Salut Tof,
Oui pkoi pas.
Balance si tu veux...
Salut les bipotes
Je vous invite à aller voir ma chaine YouTube Tosba Bastos j y ai mis toutes mes musiques ..
Bonne ecoute
Belle journée
J'écris, tof, mais tu le sais, tout le monde le sait ici ... Des poèmes, des citations ... Ce matin j'ai reçu un message dans mon livre d'or qui m'a fait énormément plaisir, comme la consécration de celui ci, par Yoann que je remercie très fort en passant ! Je vous mets un petit poème que j'aime beaucoup, pas forcément facile à comprendre, bipolarité oblige parfois .....
L'heureux tour du cas précieux.
Elle était repartie dans un monde fantastique,
Ou toutes ses réparties la tordaient de délire.
Elle retissait le fil de ses pensées diaboliques,
Sur l’ouvrage de sa vie qu’elle s’acharnait à lire.
Elle avait ses entrées dans les devinettes du temps ;
Un compteur de cœur au corps d’un contour audacieux.
Et pliant le contrat riant dans le sens du vent,
Un petit œil tirant légèrement malicieux.
Son rêve errant se repose au pied du lit des cieux ;
Alliage aberrant d’un être prétentieux.
Elle danse l’évidence de l’harmonie d’envie,
Troublante symphonie de paillettes infinies.
Cette pluralité subtile, nuances de vérités infinies, nous errons les pas jamais commodes , tantôt en amont, tantôt en aval, telle une danse intemporelle...
J'aime ta plume 🙂
Je suis contente de voir qu'il y a une espace dédié à la créativité, j'aimerai alors partager avec vous quelques uns de mes écrits... Merci pour cet espace ^^
Sens en ébullition, corps aux pas déambulant,
Dont la réversibilité traque les remous de la pensée,
Sans pour autant, parvenir à contenir sa diction,
Car la pensée, elle, se joue de ses cognitions,
Tels de libres électrons, les éjectent, les accélèrent,
Les collisionnent à somme tremblante,
Leur passage s’apprête au néant, pour laisser place,
A une douce nostalgie, qui dans sa léthargie,
S’inflige le sort de l’abandon.
Des vas et viens d’affolements,
Les yeux endurcies, déjà par la teinte atteinte,
D'absurde rongeant, jadis d’esprit ranimant,
Maintenant se tût, prêtant à l’horloge,
Une lenteur errante, à l’aire, une gelée fondante.
Mais le mouvement ne s’arrête guère,
Prend la mesure la plus saignante,
Des regards, les flots ruissellent,
Des démons, les cris s’élèvent.
Tensions,
Emprisonnement,
Déchirement,
Éclatement,
Étourdissement,
Engourdissement,
Évanouissement.
Dire que, quelques heures avant,
Je voulais couronner ma plume par,
Des lettres d’amour abondant.
Siho ... un texte qui se prêtait bien à du SLAM!
J'avais pas pensé à la chose 🙂 Je vais essayer de placer ces paroles dans une composition musicale.
Merci Shiho, c'est bien aussi ce que tu écris ! Bisous
alors alors ... on a déjà de beaux textes en partage, on continue !
salut en texte,j'ai ça en magasin:
La feuille (d'automne) blanche
Le crépuscule de l'été vient sur son 31
l'automne se sent vivre la mélancolie d'la toussaint
il erre depuis que le soleil est parti de son goût
depuis qu'sa douce est parti au mois d'aout
Il ne trouve plus goût à écrire les moindres mots semblants
le son, la rime, le truc des saltimbanques sans faux semblants
Jamais, au grand Jamait il croyait y retrouver goût
pourtant aux notes de quelques accordéons, ce fut fou
La feuille blanche bruisse sous le chemin
elle colore de notes noirs, de mots vains
« lalalalalaalalalala » aurait été facile pour ce « bleu »
le « lalalalalalalalala » des tristes moments amoureux
La feuille blanche est son ami
La feuille blanche reste ennemi
La feuille blanche n'est que contrat d'diction
La feuille blanche sera l'aveugle vision
d'une prochaine petite pauvre chanson
« Jamait au grand Jamait », merci pour cette nouvelle foi
il reste simplement coi, d'une possible prochaine fois
d'une nouvelle chanson écrite sur le bord des larmes
d'une nouvelle ôde à l'Aude, l'Anne ou l'Armelle en larmes
sera t'il toujours le premier à pleurer ces dames
toujours le dernier à vouloir y voir sa dame
Alors il reprend l'écrit, dur cela pourrait être
sans le plaisir, la véracité de se savoir être
La feuille blanche est son ami
La feuille blanche reste ennemi
La feuille blanche n'est que contrat d'diction
La feuille blanche sera l'aveugle vision
d'une prochaine petite pauvre chanson
La feuille blanche semble son ami
La feuille blanche se veut ennemi
La feuille blanche n'est que contradiction
mixant mon amour et mon désespoir
d'une prochaine petite pauvre histoire
lalalalalalalalala pour la fin de cette chanson du bleu
lalalalalalalalala pour accompagner son âme et ses bleus
lalalalalalala..........
Bonjour Bats 🙂 et à tous
Très beau texte vraiment ! Je ne sais pas si c'est de ton goût, mais moi en te lisant j'entendais de la guitare sèche façon Brassens. Poétique et poignant.
Ca me donne vraiment envie d'écrire une poème... Bon je prends ma plume et à très vite.
L'idée de ce post est excellente décidément 🙂
Sabrina
salut en texte,j'ai ça en magasin:
La feuille (d'automne) blanche
Le crépuscule de l'été vient sur son 31
l'automne se sent vivre la mélancolie d'la toussaint
il erre depuis que le soleil est parti de son goût
depuis qu'sa douce est parti au mois d'aout
Il ne trouve plus goût à écrire les moindres mots semblants
le son, la rime, le truc des saltimbanques sans faux semblants
Jamais, au grand Jamait il croyait y retrouver goût
pourtant aux notes de quelques accordéons, ce fut fou
La feuille blanche bruisse sous le chemin
elle colore de notes noirs, de mots vains
« lalalalalaalalalala » aurait été facile pour ce « bleu »
le « lalalalalalalalala » des tristes moments amoureux
La feuille blanche est son ami
La feuille blanche reste ennemi
La feuille blanche n'est que contrat d'diction
La feuille blanche sera l'aveugle vision
d'une prochaine petite pauvre chanson
« Jamait au grand Jamait », merci pour cette nouvelle foi
il reste simplement coi, d'une possible prochaine fois
d'une nouvelle chanson écrite sur le bord des larmes
d'une nouvelle ôde à l'Aude, l'Anne ou l'Armelle en larmes
sera t'il toujours le premier à pleurer ces dames
toujours le dernier à vouloir y voir sa dame
Alors il reprend l'écrit, dur cela pourrait être
sans le plaisir, la véracité de se savoir être
La feuille blanche est son ami
La feuille blanche reste ennemi
La feuille blanche n'est que contrat d'diction
La feuille blanche sera l'aveugle vision
d'une prochaine petite pauvre chanson
La feuille blanche semble son ami
La feuille blanche se veut ennemi
La feuille blanche n'est que contradiction
mixant mon amour et mon désespoir
d'une prochaine petite pauvre histoire
lalalalalalalalala pour la fin de cette chanson du bleu
lalalalalalalalala pour accompagner son âme et ses bleus
lalalalalalala..........
Je ne sais pourquoi mais je me sens bercée, ces paroles sont d'une musicalité légère comme une brise d'été 🙂 Merci
Bonjour Bats 🙂 et à tous
Très beau texte vraiment ! Je ne sais pas si c'est de ton goût, mais moi en te lisant j'entendais de la guitare sèche façon Brassens. Poétique et poignant.
Ca me donne vraiment envie d'écrire une poème... Bon je prends ma plume et à très vite.
L'idée de ce post est excellente décidément 🙂
Sabrina
Merci Sabrina,
Oui c'est possible sur Brassens ou autre avec une guitare sèche. J'attends tes compos avec plaisir... 😉
Bonjour à tous 🙂
Voici donc ma petite poésie du crépuscule.
Perles d’humeur,
A l’aube de ma pensée je me leurre
Allant saisir l’argent du beurre
Sublime anarchie de ma peur
Idées confuses comme moteur
Ma vie comme un orage de chaleur
Heureuse sensation de malheur
Avide envie de douceur
Fêlure offerte comme une fleur
Nuit éternelle, hauts les cœurs !
Brèche éclair de bonheur
Authentique je demeure
Sans un mot, sans un heurt
Épanouie il est l’heure
Refrain intense dans les chœurs
Aplomb ferré en profondeur
Calme rédempteur.
Yes Sabrina, vive les rimes qui expriment beaucoup de choses.C'est assez parlant pour moi ce que tu as écris... "Sublime anarchie de ma peur.." c'est ça!!
Merci Bats 🙂
Tes mots aussi résonnent parfaitement. J'aime quand ça sonne juste 🙂
Sabrina, j'ai d'autres trucs en magasin, certains que j'ai déjà mis en musique et d'autres pas encore comme par exemple celui qui suit mais qu'il faut retravailler car paroles longues:
Novembre au printemps, mai en automne
Y'en a qui vivent les mois à l'envers
faut croire qu'ils aiment les brûlants hiver
qu'ils détestent les larmoyants été
construits sur leur triste vie d'amour raté
se faisant sur les jours des mois pas important
qui les garde heureux de vivre pourtant
souffrir novembre au printemps
aimer mai en automne
la cyclothymie des sentiments
à l'envers et jamais monotone
(bis)
Ceux qui comprennent pas pourquoi
peut être narquois ce mois
qu'on appelle le mois de mai
vivez la rupture au temps du muguet
vous sentirez le cœur triste, roi
vous sentirez la moquerie de ce putain de mois
souffrir novembre au printemps
aimer mai en automne
la cyclothymie des sentiments
à l'envers et jamais monotone
(bis)
ceux qui comprennent pas pourquoi
peut-être jovial ce mois,
qu'on appelle novembre
vivez l'amour au temps des cendres
vous sentirez le cœur heureux, roi,
vous sentirez la légèreté de ce drôle de mois
souffrir novembre au printemps
aimer avril en automne
la cyclothymie des sentiments
à l'envers et jamais monotone
(bis)
d'là foutaise de croire que le printemps sera beau
quand il te file pour une saison au cœur des maux
d'là connerie de penser que l'automne sera triste
quand il te file pour une saison un cœur optimiste
accompagné pour aimer le mois de la tristesse
seul pour détester le mois de l'allégresse
souffrir novembre au printemps
aimer avril en automne
la cyclotimie des sentiments sincères
le coeur des hommes à l'envers
(bis)