yes
Dans ses bras je me suis enlacé elle s'est blottie tout contre moi et qu'y pouvais je faire?
La rejetée ,l'ignorer,la mépriser?
NON
il fallait que je la réconforte,cette pauvre plante dénaturée,synthétisée,,uniformisée bref détournée.
OUI
Détournée comme l'usage que j'en fais.
Faire ou plutôt se laisser faire,lâcher prise,embarquer.
OUI
D'abord se laisser inonder par une vague de chaleur.
Celle d'un océans comme venu des profondeurs de l'enfer chauffée par la lave en fusion.
Serait ce une faille?
Comme une crevasse.
Dans un coeur déchiré.
Que tu viens combler.
Puis disons le le plaisir presque le bonheur comme si plus rien ne comptait l'espace de quelques secondes mais ces secondes elles durent plus longtemps que les autres car elles me font entrevoir tout ce potentiel de plénitude dont nous sommes remplis.
Ce que je viens de décrire ne sont que les quelques secondes que durent l'injection de la morphine dans ma veine.D'abord une tirette le sang afflux puis je m'injecte la morphine.
Evidemment comme vous l'imaginer cela ne s'arrête pas là pourtant c'est déjà largement suffisant comme un orgasme puissance deux.
Viens ensuite l'embarcation à bord du navire Morphéa qui te fera voyager ou bon lui semblera.
Je laisse morphée guider mon voyage je m'abandonne tout entier à elle.
Le lâcher prise,faire confiance au destin,a la fatalité.
Faire confiance,NON,donner sa confiance à l'esprit de cette plante car elle est là a l'origine.
Le père bulbe du pavot donne généreusement sa sève celle ci se nomme OPIUM elle se conjugue au féminin car d'elle nous accouchons de longs voyages.
Nous y voilà ,parfois bercé par les vagues et d'autres planant ,volant à travers les airs.
Ce n'est que le début du voyage à travers l'inconnu.
Ou allons nous?Que verrons nous?Que sentirons nous?Que ressentirons nous?
Une seule chose est sure se sera forcément agréable.
Comment dire NON à un voyage,que dis je à une téléportation vers une destination inconnue mais assurément paradisiaque.
Nous y sommes le mot est écris,le retour en arrière est impossible,la vérité est parfois plus forte que son écriture elle même,elle se cache derrière d'autres mots,d'autres phrases,même dans les silences entre les mots,les phrases,les pages elles même,là ou tout est dit mais rien n'écris,au fond de nôtre âme,dans des mondes parallèle,ce dont nous sommes constitués.
OUI,paradis artificiels d'autres l'ont écris bien avant moi je ne suis que le réceptacle d'une culture à laquelle ma curiosité m'a menée.
A chaque voyage une destination différente mais pas celle que vous croyez.
NON ce n'est pas aussi simple que certains films peuvent vous le montrer ces destinations sont inconnues mais elles le resterons même quand vous vous y trouverez.
Vous ne débarquez pas sur une plage de sable blanc ensoleillée,décorée de palmiers,une eau turquoise d'ou les coraux multicolores affleurent.
Ce voyage est en réalité un bouleversement des sens ,plus d'apesanteur,un sentiment de légèreté vous envahi en fait là vous réaliser que ce voyage est en fait Le Grand Voyage.
Celui hors de vôtre corps débarrassé de cette enveloppe étouffante vous accédez à une infime parti de vôtre âme que les bouddhistes appellent "le véhicule" ,car il vous permet l'accès à cette parti de vôtre âme qui communique avec le reste de l'humanité,de l'univers,car elle en fait parti comme toutes les autres et dont l'unité forme le monde une énergie certains l'appelleront dieu.
Au fur et à mesure que j'écris je réalise au moment même ou mes doigts frappent ce clavier la vacuité de mon texte qui n'apporte strictement rien de nouveau à ce que bien des auteurs avant moi ont décris d'une manière bien plus talentueuse,géniale,poétique etc....
Je ne suis qu'un bien piètre scribouillard.
Mais à ma décharge je n'écris pas pour être lu et n'impose donc ma prose à personne
Mais j'insiste je continuerais d'écrire même sans talents car c'est plus fort que moi c'est une pulsion mais celle ci de vie pas comme avec Morphée NON ELLE, elle t'ouvre les portes de ta pulsion de mort celle qui te soulage le plus ,et oui MORT plus de douleurs,plus de doutes,plus de corps,plus de questions;on se fond dans l'univers pour finir par ne plus exister,s'assimiler.
Mais vous me direz au final qu'est ce que cette expérience t'aura apporter?
L'acceptation de ma propre mort.
Mais attention pas celles des autres.
Je conclurais donc sur ces deux mots latins qui forment un adage "CARPE DIEM"
et oui
Aujourd'huis meme,maintenant dans le présent autour de lui en lui pénétré par lui le temps instantanné déjà écoulé mort mais ce n'est que du passé déjà oublié memoire vive mémoire morte SAOULE SAOULE Ivre de tendresse elle jalonne les temps,les modes le temps dans le monde le monde en son temps Que du présent,de l'absent Cette infini absence Ce manque Cette perte Cette peur Avancer,etre,devenir trop mais enfin?De trop comment seprésenté devant l'avenir Seul ,inapte fondu dans le présent Revé piedset poingts liés Enferré annihilé mais si perceptif Sensiblement entouré d'un présent salutaire Uniquement sensuel,partiel Fugasse,parfois long presque eternel En l'absence du tout,dans le néhant Le présent s'impose et dispose
Leary in jail Gelpke is dead Kur in Asylen is this your psychedelic revolution? Avions nous pris au sérieux quelque chose avec quoi on ne peut que jouer ou bien au contraire... Walter Vogt Cette question posée dans le poème de vogt -avons nous pris au sérieux quelque chose avec quoi on ne peut que jouer,ou bien est -ce le contraire?-résume en une formule brève et percutante l'ambivalence fondamentale des activités sur les drogues psychotrope ALBERT HOFMANN LSD mon enfant terrible
et oui
VOULOIR SE VENGER ET SE VENGER._avoir une pensée de vengeance et la réaliser,c'est prendre un fort accès de fièvre mais qui passe;avoir une pensée de vengeance,sans la force ni le courage de la réaliser,c'est trainer un mal chronique,un empoisonnement du corps et de l'ame.La morale,qui ne regarde qu'aux intentions,taxe les deux cas de la meme façon;vulgairement,on taxe le premier cas comme le pire(à cause des mauvaises conséquences que peut entrainer le fait de se venger).L'une et l'autre évaluation sont a courte vue.NIETZSCHE
Nietzsche
Sachez que de nombreuses institutions internationnal constate l'inéficacité de la guerre contres les drogues.Celle ci est en effet perdu,en conséquence certains s'intérroge sur la dépénalisations des produits stupéfiant,afin de faire reculer l'épidémie de nombreux virus mais aussi la lutte contre l'économie souterraine et la possibilité de soins et de R D R envers les toxicomans considéré dorénavant comme des malades au meme titre que les alcooliques ,prévention et non répréssion. Seulement voilà de nombreux économistes s'accordent a dire que la financiarisation mondial et notamment l'argent non répertorié qui se trouve noyé dans les eaux international non imposable a besoin de cet argent sal.A qui vendrions nous nos armes? L'argent de la drogue a permis au systeme multi-internationnal de ne pas s'ecrouler a travers les differents paradis ou enfer fiscaux tout dépend du point de vue.,durant cette crise subventionné par les differents etats a travers l'aide europeenne. pour info dirigez vous vers le site de A S U D.org
pourquoi pas?
bien sur
qu'en pensez vous?
Tu écris bcp. Difficile de tout lire. En revanche ce qui serai bien c’est écrire un texte et le mettre en pièce jointe parce que là tu flood grave le forum. D’autres personnes aimeraient y écrire sans que ce soit perdu dans tout tes textes.
sans animosité aucune je t’assure. Je te kiff grave! Le moi aussi passe de tenfeuse drogue et alcool et ça fait du bien de voir ça sur ce forum asceptise. Mais bon faut respecter les règles du fofo !!
des biz 😉
au là du coup tu me calmes je ne savais rien de ceforum mais si j'ai bien compris je l'inonde trop du coup pas de place pour tous le monde tu me conseilles donc de mettre les textes en pice jointe or je ne maitrise pas toutes les techniques de l'ordi l va donc falloir que je me forme pour passer les textes en piece jointe je vais essayer désolé pour tout je ne voulais pas m'imoser et ruiner la communication pardon bien à toi yann
Non tkt. En même temps je me mêle un peu de ce qui ne me regarde pas. C’est Le forum qui est mal foutu en fait. T’y peux rien!!
des bisous!
cool gros bisous à toi aussi bien à toi yann
il faut se libérer de toute contingence voler gribouiller enlacer le verbe se laisser emmener balader par ses doigts qui vole en frisant les lettres de ce clavier qui résonne sonne comme le glas de l'écriture l'ensemble des mots qui les après les autres forment des rivières entrelacées de courbe sinueuse et profonde d'un débit d'une logorrhée verbale insignifiante déroutante.
Bref j'y suis dans le flot des images qui me parviennent celle d'une vague spirituel agnostique l'ouverture visuel au monde invisible des esprits cachés de l'inspiration vide abyssal qui entour cet esprit malgré moi Carthésien il me faut faire un effort
et me libérer de ce gouffre qui m'empêche de voler vers l'écriture automatique celle qui ne veut rien dire tant qu'elle n'est pas écrite une forme de présent actif relatif bref un moment de grâce infini.
Il me faut sombrer dans le lac de lettres insipides afin d'y trouver des mots ou bien des maux bref du malheur non du désir du plaisir de la jouissance;
Du laisser aller de l'improvisation quel mot difficile à écrire en pianotant sur les touches d'un clavier légèrement planant .
Oui du plaisir rien que cela du débit verbal comme un fleuve abreuvant la faune de la nature qui est mienne,en elle je réalise enfin la vie son rôle est simple me conduire là ou il faut.
Car elle le sait instinctivement elle me conduit au bout de ma destinée là rien ne s'arrête plus l'inimaginable éternité ,la vie.
et oui combien la vie contribue à nourrir l'écriture le replis la hauteur le recul bref la réflexion.
Elle me nourrie je la nourrie elle m'emplis d'une joie certaine forme dédoublement physique une métamorphose et oui j'écris donc je suis j'existe à travers un déhanché de mots qui virevoltent au son du plastique déphasant d'un éternelle clavier relativement froid.
Mais il le faut je ne le choisis pas c'est compulsionnel c'est plus fort que moi je dois transmettre le malaise qui m'entour car ouij'y suis ultra sensible je ressens toute vôtre existence vos conflits vos énervement bref la vie et je dois faire en sorte de vivre la nuit quand vous vous calmez si non mon existence est infiniment désagréable parasité.
enfin me voici vous y êtes plongé au coeur de mon esprit fatigué épuisé mais qui tout de même créé ou tout au moins éssaye.
enfin nous y voici devant cette éternelle vague à l'âme celui qui ressemble à une des vagues de Nazare vous savez une lame de fond pour le tréfond qui est en moi.Nous y sommes balayé par les embruns acculé à la phrase celle qui te libérera de ce carcan le libérateur débloque de l'inconscient celui qui ne réfléchis pas s'autorise la liberté de conscience celui qui n'a pas de tabou l'homme la conscience libéré du sur moi pour enfin peut être enfin l'être un peu moi l'essence de ma vertu celui qui est moi.
enfin te voilà que fait tu le sait tu en as tu conscience ce mot toujours ce mot il emplis à lui seule tout ou parti de mon cerveau quel place n'en déplaise à l'autre celui qui m'empêche me frole me ralentis bref je n'en fais qu'a ma rtête celle de l'esprit virevoltant aux cimes des arbres volant jouissant d'une rare liberté cet envole m'oxigène m'ennivre me saoule quel effet psychoactif.
Je vis enfin j'existe par un acte quelquechose de réel de construit de concret ça y est j'y suis face à moi même devant le clavier nourrissant de la vie celui qui tedicte tes paroles.
celui qui te fait voyager au sein de toi même parmis les abysses de tout ton âme tu voles à taon tour à ton secours mais que vas t'il sortir de tout cei une vérité j'en doute une croyance peut être une fois j'en doute seul un éternel esprit acharné pourrait y voir une libération dans l'écriture laissez ce que corp que je saurait voir et laissez mon instint grattez ces lignes frelatés condescendentes comment osent elle imaginer une forme de sincérité lorsqu'il sagite d'écriture de subjectif de récit tout y est imaginaire la seul partis de moi qui subsiste sont ces mains et ces doigts que je ne saurais ignoré ils se baladent au gréé de mes pensées.
le fil des mots impriment peut être une parti physique et spirituel de ma personne il ne reste que des mots rien de tangible une sensation peut être plus pourquoi pas,avancez nager expérimentez vivez cette expérience inéfable celle de vous noyez dans les lettres les mots les phrase le rythme du clavier ce son rythmique qui frappe votre conscience votre pensée celle qui se déroule devant vos yeux ébahis qui dansent le tango celui des mots et des maux.
des mots une suite une phrase une affirmation de sois une coexistence pacifique une forme de réalité je suis j'écris j'agis bref je vis.Suite après suite se déroule ma vie quand vient le moment ou le terme de ma voix se fait entendre mais que n'ai plus à dire si tant et tant qu'il m'en faudrait du temps de temps en temps tant et tant que je n'échouerait pas je transmettrait ce gout pour l'expréssion de mes sentiments la vague qui me submerge dérrière un soleil prégnant un ciel bleuté un soleil envahissant cette lame qui semble monté des abysses de cette mer si calme elle surgit vous submerge le ciel bleu le soleil s'abattent sur vous le sable luis sous la lumière quand au chalet il se détache de cette dune pleines de fruits abondants que le paradis soit ici et à jamais que la lumière fut et ainsi soit il.
quand bien même j'aurais imaginez tout cela peu importe qu'en est il de la vérité c'est un texte une relecture de la réalité un souvenir un ressenti un bien qui ne m'appartient plus.
J'ai lu vos poèmes ce matin, et j'ai l'impression qu'il y'a beaucoup de talents sur ce forum !
Je n'ai pas l'habitude d'en écrire, mais j'ai quand même essayé. Je vous le fait partager :
Adossé sur mon fauteil, je suis immobile.
Ma gorge, devenue sèche, ne rève que de crier.
Mais l’esprit n’est pas d’accord, il est fatigué.
Ce chère compagnon, il n’a plus la vie facile.
D’un élan maladroit, je saisi mon café.
Ou alors serait-ce lui qui se saisit à moi.
Par pitié pour ce corps, voudrait-il faire la loi ?
Tout en sachant d’avance, que je m’y soumettrai.
D’un coup d’oeil j’aperçois, les courriers entassés.
Ne voudrait-il pas ceux-là aussi, se lirent tout seul ?
Suivant l’exemple du café, qu’exhale ma gueule.
Je crois que je délire, que m’est-il arrivé ?
Autrefois si vivant, maintenant juste une chose.
Et encore, les autres choses paraissent dynamiques,
A côté de moi, dans leur silence tyrannique.
Ils se rient en secret de mon halte grandiose.
Me voici rappellée a l'ordre par le temps;
En effet il passe et je trépasse.
Me voici et oui de nouveau;
encore un effet,disparue,enfouie,de mon égocentrisme.
relant de ma personne que je désire enfouir
Encore toujours envahit noyé j'étouffe
Mais j'essaye je continue je désespère
Et je vous emmerde vous les absents moi l'incohérent
Tout ces mots ces lettres pour ne rien dire rien formuler juste gloser envoyez les
Les phrases les non sens le flou le délirant enfin bref le tout le néhant le vide et l'incipide
Rien qu'une relance pour faire vivre un carnet non lu ;foutu.