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Poème

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 Anonyme
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Début du sujet  

No matter what happen, 

I can see it straight in face

I can choose to jump all over and over again,

Or make it through for a best i guess

Believe me or not, i find an other way

That make me trough past a day. 


   
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 Anonyme
Inscription: Il y a 54 ans
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Début du sujet  

Crash, as i know it will comes in,
Crash, cause you know i'll be drive in
And , ho, as long as the crash come
Crash, i hate and i love where it comes from


   
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yannounnet1973
(@yannounnet1973)
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Dans ses bras je me suis enlacé elle s'est blottie tout contre moi et qu'y pouvais je faire?

La rejetée ,l'ignorer,la mépriser?

Annonce

NON

il fallait que je la réconforte,cette pauvre plante dénaturée,synthétisée,,uniformisée bref détournée.

OUI

Détournée comme l'usage que j'en fais.

Faire ou plutôt se laisser faire,lâcher prise,embarquer.

OUI

D'abord se laisser inonder par une vague de chaleur.

Celle d'un océans comme venu des profondeurs de l'enfer chauffée par la lave en fusion.

Serait ce une faille?

Comme une crevasse.

Dans un coeur déchiré.

Que tu viens combler.

Puis disons le le plaisir presque le bonheur comme si plus rien ne comptait l'espace de quelques secondes mais ces secondes elles durent plus longtemps que les autres car elles me font entrevoir tout ce potentiel de plénitude dont nous sommes remplis.

Ce que je viens de décrire ne sont que les quelques secondes que durent l'injection de la morphine dans ma veine.D'abord une tirette le sang afflux  puis je m'injecte la morphine.

Evidemment comme vous l'imaginer cela ne s'arrête pas là pourtant c'est déjà largement suffisant comme un orgasme puissance deux.

Viens ensuite l'embarcation à bord du navire Morphéa qui te fera voyager ou bon lui semblera.

Je laisse morphée guider mon voyage je m'abandonne tout entier à elle.

Le lâcher prise,faire confiance au destin,a la fatalité.

Faire confiance,NON,donner sa confiance à l'esprit de cette plante car elle est là a l'origine.

Le père bulbe du pavot donne généreusement sa sève celle ci se nomme OPIUM elle se conjugue au féminin car d'elle nous accouchons de longs voyages.

Nous y voilà ,parfois bercé par les vagues et d'autres planant ,volant à travers les airs.

Ce n'est que le début du voyage à travers l'inconnu.

Ou allons nous?Que verrons nous?Que sentirons nous?Que ressentirons nous?

Une seule chose est sure se sera forcément agréable.

Comment dire NON à un voyage,que dis je à une téléportation vers une destination inconnue mais assurément paradisiaque.

Nous y sommes le mot est écris,le retour en arrière est impossible,la vérité est parfois plus forte que son écriture elle même,elle se cache derrière d'autres mots,d'autres phrases,même dans les silences entre les mots,les phrases,les pages elles même,là ou tout est dit mais rien n'écris,au fond de nôtre âme,dans des mondes parallèle,ce dont nous sommes constitués.

OUI,paradis artificiels d'autres l'ont écris bien avant moi je ne suis que le réceptacle d'une culture à laquelle ma curiosité m'a menée.

A chaque voyage une destination différente mais pas celle que vous croyez.

NON ce n'est pas aussi simple que certains films peuvent vous le montrer ces destinations sont inconnues mais elles le resterons même quand vous vous y trouverez.

Vous ne débarquez pas sur une plage de sable blanc ensoleillée,décorée de palmiers,une eau turquoise d'ou les coraux multicolores affleurent.

Ce voyage est en réalité un bouleversement des sens ,plus d'apesanteur,un sentiment de légèreté vous envahi en fait là vous réaliser que ce voyage est en fait Le Grand Voyage.

Celui hors de vôtre corps débarrassé de cette enveloppe étouffante vous accédez à une infime parti  de vôtre âme que les bouddhistes appellent "le véhicule" ,car il vous permet l'accès à cette parti de vôtre âme qui communique avec le reste de l'humanité,de l'univers,car elle en fait parti comme toutes les autres  et dont l'unité forme le monde une énergie certains l'appelleront dieu.

Au fur et à mesure que j'écris je réalise au moment même ou mes doigts frappent ce clavier la vacuité de mon texte qui n'apporte strictement rien de nouveau à ce que bien des auteurs avant moi ont décris d'une manière bien plus talentueuse,géniale,poétique etc....

Je ne suis qu'un bien piètre scribouillard.

Mais à ma décharge je n'écris pas pour être lu et n'impose donc ma prose à personne 

Mais j'insiste je continuerais d'écrire même sans talents car c'est plus fort que moi c'est une pulsion mais celle ci de vie pas comme avec Morphée NON ELLE, elle t'ouvre les portes de  ta pulsion de mort celle qui te soulage le plus ,et oui MORT plus de douleurs,plus de doutes,plus de corps,plus de questions;on se fond dans l'univers pour finir par ne plus exister,s'assimiler.

Mais vous me direz au final qu'est ce que cette expérience t'aura apporter?

L'acceptation de ma propre mort.

Mais attention pas celles des autres.

Je conclurais donc sur ces deux mots latins qui forment un adage "CARPE DIEM"  

 


   
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yannounnet1973
(@yannounnet1973)
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morphée

Aujourd'huis même,maintenant,dans le présent

Au tour de lui en lui

pénétré par lui

Le temps instantanné déjà écoulé, mort

mais ce n'est que du passé

déjà oublié

Mémoire vive

Mémoire morte

Saoule

Saoule

ivre de tendresse

elle jalonne les temps,les mondes

Le temps dans le monde,le monde en son temps

Que du présent,de l'absent

cette infini absence

Ce manque

Cette perte

Cette perte

Cette peur

Avancer,être,devenir

Mais de trop se présenter devant l'avenir

seul,inapte,fondu dans le présent

Rivé,pieds et poignts liés

enferré,anihilé mais si perceptif

Sensiblement entouré d'un présent

Uniquement sensuel,partiel

fugasse,parfois long presque éternel

En l'absence du tout,dans le néant

le présent s'impose et dispose

 

 

Dans ses bras je me suis enlacé elle s'est blottie tout contre moi et qu'y pouvais je faire?

La rejetée ,l'ignorer,la mépriser?

NON

il fallait que je la réconforte,cette pauvre plante dénaturée,synthétisée,,uniformisée bref détournée.

OUI

Détournée comme l'usage que j'en fais.

Faire ou plutôt se laisser faire,lâcher prise,embarquer.

OUI

D'abord se laisser inonder par une vague de chaleur.

Celle d'un océans comme venu des profondeurs de l'enfer chauffée par la lave en fusion.

Serait ce une faille?

Comme une crevasse.

Dans un coeur déchiré.

Que tu viens combler.

Puis disons le le plaisir presque le bonheur comme si plus rien ne comptait l'espace de quelques secondes mais ces secondes elles durent plus longtemps que les autres car elles me font entrevoir tout ce potentiel de plénitude dont nous sommes remplis.

Ce que je viens de décrire ne sont que les quelques secondes que durent l'injection de la morphine dans ma veine.D'abord une tirette le sang afflux  puis je m'injecte la morphine.

Evidemment comme vous l'imaginer cela ne s'arrête pas là pourtant c'est déjà largement suffisant comme un orgasme puissance deux.

Viens ensuite l'embarcation à bord du navire Morphéa qui te fera voyager ou bon lui semblera.

Je laisse morphée guider mon voyage je m'abandonne tout entier à elle.

Le lâcher prise,faire confiance au destin,a la fatalité.

Faire confiance,NON,donner sa confiance à l'esprit de cette plante car elle est là a l'origine.

Le père bulbe du pavot donne généreusement sa sève celle ci se nomme OPIUM elle se conjugue au féminin car d'elle nous accouchons de longs voyages.

Nous y voilà ,parfois bercé par les vagues et d'autres planant ,volant à travers les airs.

Ce n'est que le début du voyage à travers l'inconnu.

Ou allons nous?Que verrons nous?Que sentirons nous?Que ressentirons nous?

Une seule chose est sure se sera forcément agréable.

Comment dire NON à un voyage,que dis je à une téléportation vers une destination inconnue mais assurément paradisiaque.

Nous y sommes le mot est écris,le retour en arrière est impossible,la vérité est parfois plus forte que son écriture elle même,elle se cache derrière d'autres mots,d'autres phrases,même dans les silences entre les mots,les phrases,les pages elles même,là ou tout est dit mais rien n'écris,au fond de nôtre âme,dans des mondes parallèle,ce dont nous sommes constitués.

OUI,paradis artificiels d'autres l'ont écris bien avant moi je ne suis que le réceptacle d'une culture à laquelle ma curiosité m'a menée.

A chaque voyage une destination différente mais pas celle que vous croyez.

NON ce n'est pas aussi simple que certains films peuvent vous le montrer ces destinations sont inconnues mais elles le resterons même quand vous vous y trouverez.

Vous ne débarquez pas sur une plage de sable blanc ensoleillée,décorée de palmiers,une eau turquoise d'ou les coraux multicolores affleurent.

Ce voyage est en réalité un bouleversement des sens ,plus d'apesanteur,un sentiment de légèreté vous envahi en fait là vous réaliser que ce voyage est en fait Le Grand Voyage.

Celui hors de vôtre corps débarrassé de cette enveloppe étouffante vous accédez à une infime parti  de vôtre âme que les bouddhistes appellent "le véhicule" ,car il vous permet l'accès à cette parti de vôtre âme qui communique avec le reste de l'humanité,de l'univers,car elle en fait parti comme toutes les autres  et dont l'unité forme le monde une énergie certains l'appelleront dieu.

Au fur et à mesure que j'écris je réalise au moment même ou mes doigts frappent ce clavier la vacuité de mon texte qui n'apporte strictement rien de nouveau à ce que bien des auteurs avant moi ont décris d'une manière bien plus talentueuse,géniale,poétique etc....

Je ne suis qu'un bien piètre scribouillard.

Mais à ma décharge je n'écris pas pour être lu et n'impose donc ma prose à personne 

Mais j'insiste je continuerais d'écrire même sans talents car c'est plus fort que moi c'est une pulsion mais celle ci de vie pas comme avec Morphée NON ELLE, elle t'ouvre les portes de  ta pulsion de mort celle qui te soulage le plus ,et oui MORT plus de douleurs,plus de doutes,plus de corps,plus de questions;on se fond dans l'univers pour finir par ne plus exister,s'assimiler.

Mais vous me direz au final qu'est ce que cette expérience t'aura apporter?

L'acceptation de ma propre mort.

Mais attention pas celles des autres.

Je conclurais donc sur ces deux mots latins qui forment un adage "CARPE DIEM"  

 


   
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yannounnet1973
(@yannounnet1973)
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  • la merde ça fait chier

    d'ailleurs pour évacuer la merde il faut bien chier

    en tout premier lieu vous vous nourrissez

    de plantes de fruits même de viandes qui elles même se sont nourris d'herbe comme la vache

    A BOUSE

    seulement voilà vôtre corp usine intègre les bonnes choses de la nourriture et la transforme sous forme de merde

    Or là cette merde vaut de l'or

    Car en effet on peut l'épancher dans les champs oû elle vaut de l'or

    Le fait qu'avant on connaissait la fortune d'un agriculteur grâce à la taille de son tas de fumier

    Or il se trouve qu'en la mettant dans les champs la boucle est bouclée puis que les plantations fleurissent ou s'épanouissent poussent donc mieux grâce à nôtre merde

    Donc on fini souvent par manger ce qui est issu de l'agriculture biologique avec un engrais bilogique la merde qui puissante il fait savoir la doser comme le guano.

    Elle pousse mieux grâce à nôtre merde

    On fini donc par la manger sous quelles formes que se soient.

    LA MERDE!!!!!

     

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     votre commentaire

     
  • Vous imaginez bien que ne pas commencer par le COVID serait illégitime cela nous envahi ^sychologiquement, physiquemen, humainement, séparatio; problèmes deuils impossibles de (accompagner la personne qui meurt elle est entérré sans vôtre présence quel horreur bon bref les répercutions de cette pandémie mondiale et sesdégats collatéraux sont bien plus nombreux et oncernent toute la population mondial.

    Suicides dépression, anxiété, problème économique, misères accrues, isolement démesuré bref les nouvelles selon moi sont plutôt sont catastrophiques .Pour conclure dans le mauvais il peut y avoir du bon par axemple:

    Nous pourrions en profiter pour nous remetre en question ainsi qu ce fonctionnement mondial et local.Evitons l'élevage intensif relocalisons privilégions le circuit court de zsaison respectant le producteur apprennons à nous passer des grandes surfaces consommons de manière citoyenne en évitant les dépenses liées à l'inutilité du système comme certaines nouvelles tecnologies le mobile l'ordi par les gafa le confort moderne non écologique les transport la fonction publique la solidarité de la part de la république fraçaise et de à travers son gouvernement chercher une forme de stabilité respectueuse de l'environnement et mieux répartir nos richesses en conclusion révolutionner nos vies et nôtre planète monde.

    Tout ceci étant dit je dois dire que je profite d'un état maniaque car je suis bipolaire pour lire écrire militer numériquement sur la misssion d'information de l'asseblée nationale suer le cannabis enfin bref un autre sujet qui n'a rie avoir avec le précédent bien que là aussi je préfère une légalisation sicake solidaire et douc ethérapeutique pas chère à l'uruguayenne enfin toujours est t'il que le cannabis sicial club est primordial et pour les malades une prise en charge de la part surtout de b'une bonne mutuelle publique pas chère pour les petits revenus.

    D'un point de vue éconmique une TVA à taux variable en payant carte bleu ou carte d'état ou android I phone bref en fonction de tes revenus chaque produit à une TVA adaoté à tes moyens pour les petits revenus aucune TVA y compris dans le luxe meme le tabac il faut savoir adapter les prix aux plus pauvres les autres ont de meilleurs pouvoirs d'achat j'imagine leur TVA est plus forte forcémen.

    taxer les dividendes ne leur octroyer aux actionnaies 10 pourcent au dessus cela a à l'etat donc 20 pourcent de dividende l'actionnaire étatique perçoit 10 pourcent et les autres les particuliers les multinationales 10 pourcent vioilà encore une idée.

    Forcer les entreprises ç replacer tous les postes qu'elles veulent supprimer plus de liceciement pour les entreprises de plus de 15 asalrié obligation d'un synsicat avec un employer responsable du syndicat et autre du club d'entreprise une loi obligatoire pour les entreprises de 15 salarié.

    Création d'une mission d'écoute des reveduications citoyennes des "gilets jaunes" par écrit sans représentant un cahier de doléance citoyan envers nos assemblées le conseil d'état celui responsable de npotre constitutio.

    réfléchie à une démocracie un peu plus participative de conseils de citoyes au volontariatsans étiquettes politiques tout le mode est le bien venu pour débattre de la france de L'europe et du mode ainsique de l'univers qui nous concerne déjà vu le nombre de sattéllites bref pour l'instant je pense m'arrêter là bien que d'autres idées fusent mais se sera pour le lecteur indigeste.le premier février 20212h55 du matin brève:

Ce message a été modifié Il y a 3 ans paryannounnet1973

   
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yannounnet1973
(@yannounnet1973)
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il faut se libérer de toute contingence voler gribouiller enlacer le verbe se laisser emmener balader par ses doigts qui vole en frisant les lettres de ce clavier qui résonne sonne comme le glas de l'écriture l'ensemble des mots qui les après les autres forment des rivières entrelacées de courbe sinueuse et profonde d'un débit d'une logorrhée verbale insignifiante déroutante.

Bref j'y suis dans le flot des images qui me parviennent celle d'une vague spirituel agnostique l'ouverture visuel au monde invisible des esprits cachés de l'inspiration vide abyssal qui entour cet esprit malgré moi Carthésien il me faut faire un effort 

et me libérer de ce gouffre qui m'empêche de voler vers l'écriture automatique celle qui ne veut rien dire tant qu'elle n'est pas écrite une forme de présent actif relatif bref un moment de grâce infini.

Il me faut sombrer dans le lac de lettres insipides afin d'y trouver des mots ou bien des maux bref du malheur non du désir du plaisir de la jouissance;

Du laisser aller de l'improvisation quel mot difficile à écrire en pianotant sur les touches d'un clavier légèrement planant .

Oui du plaisir rien que cela du débit verbal comme un fleuve abreuvant la faune de la nature qui est mienne,en elle je réalise enfin la vie son rôle est simple me conduire là ou il faut.

Car elle  le sait instinctivement elle me conduit au bout de ma destinée là rien ne s'arrête plus l'inimaginable éternité ,la vie.

et oui combien la vie contribue à nourrir l'écriture le replis la hauteur le recul bref la réflexion.

Elle me nourrie je la nourrie elle m'emplis d'une joie certaine forme dédoublement physique une métamorphose et oui j'écris donc je suis j'existe à travers un déhanché de mots qui virevoltent au son du plastique déphasant d'un éternelle clavier relativement froid.

Mais il le faut je ne le choisis pas c'est compulsionnel c'est plus fort que moi je dois transmettre le malaise qui m'entour car ouij'y suis ultra sensible je ressens toute vôtre existence vos conflits vos énervement bref la vie et je dois faire en sorte de vivre la nuit quand vous vous calmez si non mon existence est infiniment désagréable parasité.

enfin me voici vous y êtes plongé au coeur de mon esprit fatigué épuisé mais qui tout de même créé ou tout au moins éssaye.

enfin nous y voici devant cette éternelle vague à l'âme celui qui ressemble à une des vagues de Nazare vous savez une lame de fond pour le tréfond qui est en moi.Nous y sommes balayé par les embruns acculé à la phrase celle qui te libérera de ce carcan le libérateur débloque de l'inconscient celui qui ne réfléchis pas s'autorise la liberté de conscience celui qui n'a pas de tabou l'homme la conscience libéré du sur moi pour enfin peut être enfin l'être un peu moi l'essence de ma vertu celui qui est moi.

enfin te voilà que fait tu le sait tu en as tu conscience ce mot toujours ce mot il emplis à lui seule tout ou parti de mon cerveau quel place n'en déplaise à l'autre celui qui m'empêche me frole me ralentis bref je n'en fais qu'a ma rtête celle de l'esprit virevoltant aux cimes des arbres volant jouissant d'une rare liberté cet envole m'oxigène m'ennivre me saoule quel effet psychoactif.

Je vis enfin j'existe par un acte quelquechose de réel de construit de concret ça y est j'y suis face à moi même devant le clavier nourrissant de la vie celui qui tedicte tes paroles.

celui qui te fait voyager au sein de toi même parmis les abysses de tout ton âme tu voles à taon tour à ton secours mais que vas t'il sortir de tout cei une vérité j'en doute une croyance peut être une fois j'en doute seul un éternel esprit acharné pourrait y voir une libération dans l'écriture laissez ce que corp que je saurait voir et laissez mon instint grattez ces lignes frelatés condescendentes comment osent elle imaginer une forme de sincérité lorsqu'il sagite d'écriture de subjectif de récit tout y est imaginaire la seul partis de moi qui subsiste sont ces mains et ces doigts que je ne saurais ignoré ils se baladent au gréé de mes pensées.

le fil des mots impriment peut être une parti physique et spirituel de ma personne il ne reste que des mots rien de tangible une sensation peut être plus pourquoi pas,avancez nager expérimentez vivez cette expérience inéfable celle de vous noyez dans les lettres les mots les phrase le rythme du clavier ce son rythmique qui frappe votre conscience votre pensée celle qui se déroule devant vos yeux ébahis qui dansent le tango celui des mots et des maux.

des mots une suite une phrase une affirmation de sois une coexistence pacifique une forme de réalité je suis j'écris j'agis bref je vis.Suite après suite se déroule ma vie quand vient le moment ou le terme de ma voix se fait entendre mais que n'ai plus à dire si tant et tant qu'il m'en faudrait du temps de temps en temps tant et tant que je n'échouerait pas je transmettrait ce gout pour l'expréssion de mes sentiments la vague qui me submerge dérrière un soleil prégnant un ciel bleuté un soleil envahissant cette lame qui semble monté des abysses de cette mer si calme elle surgit vous submerge le ciel bleu le soleil s'abattent sur vous le sable luis sous la lumière quand au chalet il se détache de cette dune pleines de fruits abondants que le paradis soit ici et à jamais que la lumière fut et ainsi soit il.

quand bien même j'aurais imaginez tout cela peu importe qu'en est il de la vérité c'est un texte une relecture de la réalité un souvenir un ressenti un bien qui ne m'appartient plus.

Ce message a été modifié Il y a 3 ans 2 fois paryannounnet1973

   
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ver00
(@ver00)
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Je t'aime ( 07/12/2020 )

 

Je t'aime comme si j'avais plus d'un amour;

C'est fou quand on aime de façon virtuelle,

Comme le temps gris ne devient plus qu'un beau jour

Qui fluctue de manière toute irréelle !

 

Je t'aime comme si j'avais toujours aimé,

Avec un besoin de retour idéaliste.

Comme on aime un enfant innocent esseulé,

Si l'on a le regard d'un simple conformiste.

 

Je t'aime sans condition, pourvu qu'on soit

L'un et l'autre si loin vraiment,que l'on ne puisse

Se faire du mal mais que du bien, cette fois,

Pour qu'en finale, le bonheur sonne et agisse !

 

Je t'aime sans illusion, avec espoir,

Malgrè tout, qu'à être meilleur cela nous aide.

Un jour, qui sait ? On pourra peut être se voir,

Et qu'à notre cause perdue, l'avenir plaide !


   
yannounnet1973 and reacted
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yannounnet1973
(@yannounnet1973)
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@ver00 vraiùent un beau poème bbien à toi yann


   
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ver00
(@ver00)
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Merci yann, il est dédié à tous ceux que je croyais mes amours, mais ils n'étaient que virtuels . Je n'avais pas vécu mon adolescence et j'ai du me rattraper adulte.


   
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 Anonyme
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Début du sujet  

Qui sais combien coûtent les rêves, les espoirs, les amours déçus... 

Qui sais quand dans le noir on prend la main tendue....

Et qui sais quand le noir devient ce qu'on connais le plus....


   
Serleena reacted
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ver00
(@ver00)
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L'éphémérité . ( 22/11/2021 )

 

Des faits mérités , on touche l'éternité :

L'effet de jambes annonce une promesse,

Quand les amants, à bout de souffle, entrelacés,

Se réunissent dans une ultime caresse.

 

Des éphémérités en effet méritées,

On invente le nouveau né de ses espoirs :

Quand il sort de sa maman, toute ensanglantée,

On le reconnait d'un simple regard !

 

Attraper le fou rire aux éclats d'un bébé,

Reprendre sa main si petite dans la nôtre,

Consoler le chagrin d'un petit désolé,

Comme si c'était en finale , un peu le vôtre .

 

Courir après un bambin pour le chatouiller,

Essayer de figer ces instants de délices,

Faire semblant de chercher un enfant caché,

Le démasquer dans un ouragan de malices .

 

Chercher les pâquerettes pour faire un bouquet,

Qu'on retrouve tout écrasé, dans leur menotte .

Courir après eux, pour les manger tout entier,

Prétextant une histoire plutôt rigolote !

 

L'amener à l'école, la première fois :

Sentir s'éloigner les joies de la douce enfance.

Vouloir le garder pour soi, comme un petit roi,

Redouter la fin de tant d'insouciance !

 

Courir dans la rue, quand il oublie son cartable,

Le féliciter s'il a un beau bulletin .

Crier un peu trop pour qu'il apprenne ses tables,

Le disputer, s'il nous traite de pied de thym !

 

Le laisser seul dans sa chambre d'étudiant,

Fêter le permis, les 18 ans, le beau diplôme,

Être content qu'il passe dans la cour des grands,

Très fier qu'il devienne finalement un homme .

 

Un jour, elle joue au jeu brûlant de l'amour :

La petite va devenir une vraie femme!

Elle gagne en murmurant; " encore et toujours! "

A celui qui sera au plus près de son âme .

 

La vie n'est qu'éphémérité sans un mérite;

A nous de profiter du peu au maximum.

Les faits se font et se défont à la va vite,

Ne nous contentons pas du simple minimum !

 

L'éternité n'est pas forcément méritée.

Mais l'éphémérité nous revient de surcroit.

Même si toutes les deux restent convoitées,

Elles se contiennent dans l'instant de l'émoi .


   
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ver00
(@ver00)
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Elle était notre ange et notre raison de vivre,

Toute blonde et frisée comme un petit mouton .

Un parfum de bébé qui toujours nous enivre ,

Et nous donne chaque fois le même frisson .

 

Souvent souriante,dans son enfantillage,

Vive et fraiche comme la chanson d'un pinson.

Le don d'amour se reflétait sur son visage.

Sans nul besoin de chercher une autre raison .

 

Le temps défila comme du tricot , la maille.

La petite grandissait bien rapidement .

Du foyer, il fallut bientôt qu'elle s'en aille,

Pour saisir le sens de la vie, avidement .

 

Aujourd'hui, c'est elle qui va donner la vie .

Son petit ventre rond est envahi d'amour.

L'instant qui passe n'est plus à la nostalgie,

Mais à l'écriture d'autres nouveaux jours .

 

D'autres grandes mains s'empareront des petites,

D'autres rires d'enfants chercheront à hurler.

Les instants qui filent sont comme des pépites

Qui incrustent d'or, notre cœur plein à craquer .


   
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Daria
(@daria)
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TON FANTÔME 

Je suis toujours sur ce parking. 

Mais tout est maintenant en ruine.

Nous sommes devenus deux étrangers

Tu es le silence insupportable 

Tu es la présence harcelante

Tu n'es qu'un fantôme mal aisant 

Qui tourne autour de moi

Même ici

Même masquée

Laisse moi vivre. 

Libére moi de ta fantomatique présence. 

Laisse moi faire ton deuil

Va t'en


   
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