tes appels au peuple pour qu il reconnaissent tes qualites humaines montrent que c est toi qui a besoin des autres pour prouver que tu es une personne differente au dessus du lot alors qu au fond de toi meme tu doutes de ces qualites
a ta decharge , tu es tetue comme une mulle bretonne et ton amour propre est plus vaste que le desert du desert du kahalari, ce qui fait que tu persiste a vouloir " gerer"( c est comme ça maintenant les gents " gerent" alors qu il y a 10 ans ils se "prenaient la tete c est "classe" hein? c est meme "nickel chrome "lol"
t as le "seum" car tu n as pas le "swag", et donc t es "vener" t es grave quandmeme
faut dire qu avec le "bool" que tu te coltines c est difficile d avoir le swag
tu pense a tort que je suis un "boloss"
bon j arrete la je passe en mode "afk"
la mythologie c est comme la bible puisqu il y a des dieux et demi dieux
a quoi sert la bible?
la mythologie te montre combien est dure le chute depuis l olympe vers le sol des humains, ce qui va t arriver bientôt;
alors personnellement quand j ai un type qui a une plaie superficielle je l amene pas a l hosto je suture moi meme
dans ma trousse d urgence j ai des aguilles courbes montees sur fil a peau et une pince porte aiguille
le plus genant c est que pour travailler proprement il faut raser le sourcil parce que sionon quand on fait les nœud les poils s immiscent dans les noeuds
je vois bien que tu n'as rien compris à mon histoire ;
1- Je suis infirmière .
2- La mythologie est une imagination cryptée qui se trouve parfois juste .et montre la voie de l'avenir .
3- je suis têtue et fière d'y être car j'ai toutes les raisons .
4- Je n'ai rien compris à ton charabia subjectif, pour ça, il faudrait que je passe une heure avec toi .
une heure avec moi n est pas possible
ici j ai tout ce qu il me faut
@Ver, comme je n'arrive pas à t'ecrire en privé et a m'en sortir sur ce p**** de forum (!!! Ou peut etre cause mon telephone je sais pas), je voudrais répondre ici avec sincérité à ta demande : tu as raison d'être venue ici, oui c'est une tentative de sociabilisation de ta part si j'ai bien compris et tu as toute ta place 🙂 perso, tes théories m'intéressent et ce serait bien qu'on puisse en parler tranquillement sur le forum. Mais dans l'immédiat, je vois 2 écueils : ton manque d'humilité qui peut braquer, et le fait que depuis quelques jours, je te sens vraiment "monter dans les tours", trop, Ver, vraiment trop... J'ai peur que tu ne t'en rendes pas compte, mais tu sautes du coq à l'âne, tu n'arrives pas à lire les posts trop longs, ni les comprendre, tu veux rester, tu veux partir, c'est forcement la faute des autres, tu dors peu, tu te sens tellement heureuse et energique, tes ecrits revelent autre chose....Certes tu as augmenté ton traitement mais je crains que ce ne soit pas assez. Oui on est avec toi et prêts a discuter, à disserter, on sait mêmemême que tu veux aider (infirmière dans l'âme 😉), mais là, ça ne va pas Ver, je t'assure, ce n'est pas une question de conscience plus élevée, tu montes trop haut, tu deviens brouillonne, désordonnée et incompréhensible... Et oui la chute sera dure si tu ne te reprends pas de suite !!! Ver, s'il te plait, fais le nécessaire, vraiment !Amicalement+++
Ver, ne dis pas de bêtises 😉 , il faut juste que tu retrouves ta cohérence dans tes raisonnements et la possibilité de te "poser" pour lire et comprendre les autres si tu veux discuter avec c'est le but non ? Tu te dooutes bien qu'il n'est pas normal que tu n'arrives pas à lire certains posts, non ? Tu vois, rien de grave, mais il faut "retomber" un peu avant que ça s'aggrave, non ?
"Everybody lies"
Je partage un bon nombre de tes intuitions, c'est normal parceque tu n'es pas une 'bipolaire' atypique, mais une 'bipolaire type 1' archetypique si je puis dire, mais la prévalence 'type1' est inférieure comparée à l'ensemble des troubles de l'humeur.
Tu as l'air de t'en tirer à peu près, ta fonction réalitaire est conservée comme y dise, c'est dû au fait que tu as réussi à conserver ton activité professionnelle, ça c'est la priorité numéro un, j'ai bossé en libéral c'est un boulot de solitaire faut être costaud, un travail salarié serait plus protecteur, mais il a aussi ses contraintes.
Mais maintenant il faut que tu sois prudente, le danseur de corde dans 'Ainsi parlait Zarratoustra' finit par se casser la gueule et termine ds un arbre creux.
Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'Univers et les Dieux.
Ton blog contient des intuitions intéressantes, qui sont d'ailleurs connues et c'est normal, et c'est bien de les retrouver par soi- même, c'est même formidable, mais il faut aussi savoir utiliser les connaissances acquises (la relation entre inconscient et bipolaire, correspond par exemple à la définition de la personnalité psychotique en psychanalyse), le plus difficile est de trouver les bonnes
informations et de faire le tri, c'est justement ton analyse et ton expérience personnelle qui le permet.
Mais je te mets en garde. L'écriture n'a pas seulement une fonction de mémorisation de la communication. Les processus cognitifs liés à
la lecture et à l'écriture sont bien étudiés, ils servent de base à la pédagogie en école primaire. L'écriture permet une sorte d'extension de la mémoire de travail, c'est à dire qu'il vont te permettre de construire des idées plus efficacement qu'avec ta seule mémoire de travail interne. Mais les délires sont aussi des idées, c'est à dire que l'écriture va aussi plus facilement te permettre de produire des idées délirantes, que la fonction réalitaire qui est heureusement indépendante arrivera ou non à combattre, si elle perd tu pars en cacahouete. Il faut parfois détruire ce qui a été produit et ça fait mal aux tripes.
Quand tu te prends pour le maître du monde, c'est une illusion d'optique : en fait c'est le monde qui diminue, plus précisément ton monde qui diminue, la projection de ton esprit sur ce que tu appelles 'réalité'. Le scope de la conscience varie en fonction de ton environnement, du contexte, pour s'adapter à l'action en cours et optimiser la charge cognitive. En ce moment par exemple, t'as pas besoin
de penser où t'as garé ta bagnole. Le up et le down modifie ton scope de conscience. Je dirais que pour le up c'est normal, je pars toujours du principe que l'ensemble des phénomènes liés à la 'bipolarité' sont normaux dans la mesure où l'on en atténue le degré. Dans le contexte du combat il est nécessaire d'avoir une forte réduction du contexte conscient pour risquer sa vie comme ds de nombreuses
situations ce peut être l'ultime solution, le up pourrait être un mécanisme normal, voir un avantage ds le contexte du paléolithique.
Pour le down c'est normal aussi mais c'est un peu moins gratifiant, c'est la punition de celui qui a perdu le combat.
Le fait que tu interprêtes les plaques d'immatriculation, les noms des types comme des signes n'est pas un phénomène psychotique quand
on en comprend le mécanisme. Les structures cognitives liées au langage semble plus élaborée chez un 'bipolaire' qu'une personne 'normale'. Le 'bipolaire' est un peu plus penseur visuel et symbolique. Dans ver00, ton prénom est véronique, les deux zéros correspondent au symbole infini qui apparaît sur ton blog, le zéro correspond à une dizaine de symbole, ces deux zéros pourraient correspondre aux orifices du vers, le vers est un tube, le tube c'est le massive black hole le centre de la galaxie,le sexe féminin et masculin, l'origine du monde,le tube permet la mise en relation et le transfert entre deux espaces, deux volumes, c'est à dire tout
échange, il représente la relation même c'est à dire Tout, le vers c'est l'humilité, pour info le vers est le premier élément dans la cosmogonie de certaines mythologies aborigènes. Lorsque tu associes une plaque d'immatriculation à un sens particulier tu utilises un mécanisme de pensée primitif, il ne faut surtout pas s'en priver. Bergson est le champion des raisonnements faux et des métaphores à la
con, mais tu peux lire 'Les deux sources de la morale et de la religion ' c'est court et c'est bien. Le fait de voir des symboles dans des écritures n'est pas un problème, c'est la base de l'imagination et de la créativité, mais à condition aussi d'être conscient du mécanisme sous-tendu. Pour prendre des décisions je pourrais te prêter mon coutelas d'ivoire, mais là aussi prudence, attention de ne pas se blesser.
Ton ego est l'une des représentations qui te permet d'agir, il est plus précisemment constitué d'un ensemble d'attributs qui te permette potentiellement d'agir. Mais il y a une règle pour les animaux sociaux, ces attributs sont validés ou invalidés par les autres membres du groupe social. Anna Harendt dit que notre personnalité doit être validée par les autres.
Parmenides dit qu'il y a deux chemins, le chemin de ce qui est et le chemin de ce qui n'est pas et que le chemin de ce qui n'est pas est infructueux. Choisis toujours le chemin de la 'réalité', de la science et de ton coeur et tu ne seras jamais déçue, fais moi confiance.
Je voudrais pas te spoiler le film, ce serait pas sympa, et c'est même impossible, mais pas te donner la règle du jeu ?
L'inconscient c'est le côté obscur de la Force, le côté obscur de la Force ne peut être maîtrisé que par la Lumière et la Lumière c'est encore autre chose.
Les mots, toutes les représentations sont essentiellement disctincts de la 'réalité'. Le livre unique est la Nature.
Derniers conseils
- Lave toi bien derrière les oreilles chaque matin
- Boire ou conduire il faut choisir
- Et pour tes crottes de nez, baisse la clim de ta bagnole 🙂
Roald.
Bonsoir ^^
Deux livres que j'ai lu et appréciés dernièrement, je dirais : plus fort que la haine et la fille du train !
Bonsoir Maeva 🙂
Un autre livre que j'ai beaucoup aimé : La prophétie des Andes, de James Redfield, je suis sure qu'il pourrait te plaireplaire, Ver 🙂
faut que t arretes de dire des conneries roald
ver a tellement reussi qu elle est en etat de decompensation maniaque
elle devrait etre en arret maladie
mais elle continue a continuer son activite professionnels au risque de prendre ddes initatives malheureuses au dela de ses compétences comme le font souvent less personnes en etat maniaque
elle est dangereuse pas seulement pour elle meme mais surtout pour les autres ses patients
@Roland, ce n'est pas à toi de dire que je suis dangereuse . Y'a la police pour ça . Et demande à mes malades, s'ils veulent une autre infirmière.... Et tu seras fixé .
euh, euh ver 😪😪tu lis meme pas les miens?
ce n est pas la police qui decide si t es dangereuse ce sont les medecins
les OPJ peuvent mettre en garde a vue mais pas delivrer de certificat medical
je ne peux certes pas interroger les patients que tu a euthanasiés
regardes ce qu ils se passe quand les infirmieres considèrent leur raisonnement fantasmagoriquemeilleur que celui pragmatique des médecins:
y a certains traits de carcatere qu tu as en commun avec cette fille
Le procès en appel de Christine Malèvre a repris vendredi devant les assises de Paris avec l'examen des faits reprochés à l'infirmière de Mantes-la-Jolie: l'assassinat de sept patients incurables.
Elle a reconnu avoir été "plus souvent là quand il y avait des décès" dans son service de l'hôpital de Mantes-La-Jolie (Yvelines). Elle a aussi longuement parlé de ses difficultés dans son travail où sa vision "trop idéaliste" de son métier d'infirmière l'a "isolée" de ses autres collègues. "Oui, j'était plus souvent là quand il y avait des décès", a-t-elle déclaré, ajoutant aussitôt "sans pour avoir autant fait autre chose que passer dans une chambre".
Elle a confié que cette réputation que lui avait faite ses collègues la "blessait" au début, qu'elle était devenue "lourde et pesante" ensuite, même si elle s'y associait parfois. "Je vais travailler cet après-midi, ça va être pour nous", disait-elle pour "montrer que je constatais aussi" cet état de fait. La jeune femme a aussi reconnu qu'elle était "assez rigide", "boulot-boulot", une attitude de bonne élève - elle est sortie major de sa promotion - qui aurait plutôt irrité ses collègues. "Je me suis peut-être moi-même isolée de l'équipe", a-t-elle concédé.
Puis, elle a comparé sa situation à l'une de ses collègues qui avait été surnommée "la poisseuse". "Ce sont des étiquettes qu'on a", a-t-elle commenté, plus pugnace devant les jurés que la veille, jour de l'ouverture de son procès en appel pour être jugée de l'assassinat de sept de ses patients incurables.
"Experte en interprétations de regard"
Christine Malèvre a eu une fin de matinée difficile sous les attaques de l'avocat général qui lui a reproché d'avoir "aidé" des malades à mourir sans en référer à quiconque.
Face à ce qu'elle affirme avoir été une demande, l'avocat général, François-Louis Coste l'interpelle : "Malgré la gravité de l'enjeu, je ne comprends pas pourquoi vous n'en parlez pas avant de satisfaire la demande".
"Avez-vous eu le souci d'apporter au malade ce qu'il n'a peut-être pas demandé?", l'interroge-t-il.
Il n'y a pas eu "un minimum de vérifications auprès de vos collègues" pour savoir si elles ont déjà eu affaire à une telle demande. "C'est un peu léger", lâche-t-il, l'accusant d'avoir travaillé comme dans une "bulle".
Alors que Christine Malèvre affirme que "le malade dit tout dans le regard", l'avocat général lui demande aussi avec ironie si elle "est experte en interprétations de regard" pour les malades en fin de vie dont elle s'occupait.
"Le patient en fin de vie sait mieux que l'infirmière", assure-t-elle, faisant état d'une "notion de secret dans la relation avec le malade". "Je savais des choses que la famille ne savait pas", poursuit-elle alors que les proches des patients décédés assurent qu'ils ne lui auraient jamais demandé à mourir.
Sous les coups de l'avocat, elle se trouble un peu.
"Je ne me sentais pas capable d'aborder le sujet parce qu'il y avait la rumeur (selon laquelle) lorsque j'étais présente, il y avait plus de patients qui décédaient", affirme-t-elle.
"C'est intime, on se dit qu'il ne redemandera pas (...). Oui, j'aurais dû en parler, aller voir le médecin", reconnaît-elle.
"Je ne peux oublier"
La veille, l'infirmière a dit regretter ses actes. "Je comprends aujourd'hui les familles, leur douleur, qu'elles m'en veuillent. Je leur demande de m'excuser", a déclaré Christine Malèvre, 33 ans. Elle s'est excusée jeudi auprès des familles des patients qu'elle est soupçonnée d'avoir assassinés.
Huit femmes et quatre hommes jugeront Christine Malèvre dont le procès en appel s'ouvre alors que le débat sur l'euthanasie vient d'être relancé avec la mort de Vincent Humbert, un jeune tétraplégique, aveugle et muet à la suite d'un accident de voiture, dont la mère a tenté la semaine dernière de mettre fin à ses jours.
"On parle de moi comme quelqu'un qui n'a pas de culpabilité. Depuis que j'ai aidé à mourir, même si c'était pour le bien, c'est un acte qui me hante, que je ne peux oublier", a-t-elle affirmé jeudi après-midi.
La jeune infirmière a reconnu avoir aidé à mourir Patrick Hauguel, 52 ans, décédé le 12 mars 1997 au service de neuro-pneumologie et Hubert Bruyelle, 75 ans, décédé le 6 novembre 1998.
L'affaire Humbert n'a rien à voir
"J'ai pas pensé à la douleur des familles. Aujourd'hui, je m'en veux que cette aide ne se soit pas faite avec eux", a-t-elle répondu à Me Olivier Morice, avocat de parties civiles qui lui demandait si elle se sentait aujourd'hui coupable.
"C'est difficile de s'entendre traiter de criminelle ou d'assassin. C'est pas ça que j'ai fait", a-t-elle ajouté. La jeune femme a évoqué jeudi son enfance qu'elle a qualifié d'heureuse avant de se décrire comme une infirmière "travailleuse".
"Quand j'exerçais ce métier, je me disais toujours, si c'était toi ou un proche, comment tu voudrais qu'on s'en occupe", a-t-elle affirmé à la cour d'assises, présidée par Martine Varin.
Jeudi matin, ses avocats, Me Charles Libman en tête, ont pris soin de préciser qu'il était "hors de question que le dossier Malèvre soit superposé au débat qui doit avoir lieu au Parlement".
"Il faut éviter tout amalgame et toute confusion. L'affaire Humbert n'a rien à voir avec l'affaire Malèvre", a renchéri Me Michel Zaoui, autre avocat de Christine Malèvre.
