en crise la conscience n'est plus là, moi on me fait hospitalisée de force mais je le bombe grave le mec en sortant je lui mets la misère et le divorce c'est rien, je comprends ton point de vue mais je comprends le sien à elle ; c'est pas que je lui donne raison mais sa réaction est normale dans la maladie ; elle peut avoir été stable 9 ans et puis un jour.... personne peut dire la suite, attention nous sommes considérés comme personne vulnérable ; et la crise passée, on ne revient pas dessus pour l'analyser ou dire dsl, c'est comme être dans un autre monde, on passe la porte on regarde plus derrière bien du courage à toi carino, tu vas devoir prendre une décision importante
en crise la conscience n'est plus là, moi on me fait hospitalisée de force mais je le bombe grave le mec en sortant je lui mets la misère et le divorce c'est rien, je comprends ton point de vue mais je comprends le sien à elle ; c'est pas que je lui donne raison mais sa réaction est normale dans la maladie ; elle peut avoir été stable 9 ans et puis un jour.... personne peut dire la suite, attention nous sommes considérés comme personne vulnérable ; et la crise passée, on ne revient pas dessus pour l'analyser ou dire dsl, c'est comme être dans un autre monde, on passe la porte on regarde plus derrière bien du courage à toi carino, tu vas devoir prendre une décision importante
En gros tue dis que personne vulnérable donc droit de tout ruiner sans regretter ou demander pardon....? C'est tant pis pour les autres car moi je suis malade ?
Et toi tu reviens en conscience un jour ? Là outre le fait qu'elle tourne en boucle sur ma "violence" et veut lancer la procédure de divorce, elle ne prend pas correctement son traitement...
Et quand tu dis que tu la comprends, qu'est ce qui te fait redevenir "normal" ?
en crise la conscience n'est plus là, moi on me fait hospitalisée de force mais je le bombe grave le mec en sortant je lui mets la misère et le divorce c'est rien, je comprends ton point de vue mais je comprends le sien à elle ; c'est pas que je lui donne raison mais sa réaction est normale dans la maladie ; elle peut avoir été stable 9 ans et puis un jour.... personne peut dire la suite, attention nous sommes considérés comme personne vulnérable ; et la crise passée, on ne revient pas dessus pour l'analyser ou dire dsl, c'est comme être dans un autre monde, on passe la porte on regarde plus derrière bien du courage à toi carino, tu vas devoir prendre une décision importante
En gros tue dis que personne vulnérable donc droit de tout ruiner sans regretter ou demander pardon....? C'est tant pis pour les autres car moi je suis malade ?
Je ne suis pas d'accord.
Je n'ai pas traversé tous vos malheurs, mais à chaque fois que mon chéri a dépassé les bornes, il s'est toujours excusé ensuite.
Et puis, il ne faut pas confondre : ne pas vouloir s'excuser parce-qu'on s'en fiche avec ne pas s'excuser parce-qu'on ne s'en souvient pas ou alors parce-que c'est tellement douloureux de devoir assumer cette culpabilité de faire du mal à ses proches qu'on préfère oublier.
en crise la conscience n'est plus là, moi on me fait hospitalisée de force mais je le bombe grave le mec en sortant je lui mets la misère et le divorce c'est rien, je comprends ton point de vue mais je comprends le sien à elle ; c'est pas que je lui donne raison mais sa réaction est normale dans la maladie ; elle peut avoir été stable 9 ans et puis un jour.... personne peut dire la suite, attention nous sommes considérés comme personne vulnérable ; et la crise passée, on ne revient pas dessus pour l'analyser ou dire dsl, c'est comme être dans un autre monde, on passe la porte on regarde plus derrière bien du courage à toi carino, tu vas devoir prendre une décision importante
En gros tue dis que personne vulnérable donc droit de tout ruiner sans regretter ou demander pardon....? C'est tant pis pour les autres car moi je suis malade ?
Je ne suis pas d'accord.
Je n'ai pas traversé tous vos malheurs, mais à chaque fois que mon chéri a dépassé les bornes, il s'est toujours excusé ensuite.
Et puis, il ne faut pas confondre : ne pas vouloir s'excuser parce-qu'on s'en fiche avec ne pas s'excuser parce-qu'on ne s'en souvient pas ou alors parce-que c'est tellement douloureux de devoir assumer cette culpabilité de faire du mal à ses proches qu'on préfère oublier.
On a beau ne pas confondre les raisons de ne pas s'excuser, on a beau avoir des excuses, ce qui est fait est fait.
Mes enfants ont assisté à des scènes de violences, des cris et une ts et ça, toutes les excuses du monde ne leur effaceront rien de la tête....
Alors oui, les gens sont malades, oui ils sont vulnérables mais bipo ne veut pas toujours dire violence (verbale ou physique).
Et même si la bipo explique certains comportements, elle ne les excuse pas, ca non plus il ne faut pas confondre.
On a beau ne pas confondre les raisons de ne pas s'excuser, on a beau avoir des excuses, ce qui est fait est fait.
Mes enfants ont assisté à des scènes de violences, des cris et une ts et ça, toutes les excuses du monde ne leur effaceront rien de la tête....
Alors oui, les gens sont malades, oui ils sont vulnérables mais bipo ne veut pas toujours dire violence (verbale ou physique).
Et même si la bipo explique certains comportements, elle ne les excuse pas, ca non plus il ne faut pas confondre.
Vous savez, je ne veux pas prendre la défense à tout prix des personnes malades. Mais je ne veux pas non plus qu'on leur jette la pierre systématiquement. On ne vit pas ce qu'ils vivent. Oui, c'est horrible ce que vous et vos enfants avez traversé, et traversé encore.. et il en restera des séquelles.
Mais il faut juste ne pas oublier que nous, nous avons le choix de partir et retrouver une vie plus sereine. Les personnes malades devront passer le reste de leur vie à apprendre à se battre contre le mal qui les ronge. Votre femme ne veut pas admettre qu'elle est malade. J'ai pu lire, ces 4 dernières années, de nombreux témoignages montrant que le chemin est long avant de l'accepter.
Ici, on ne pourra pas vous aider sur vos choix, mais quoi que vous décidiez, votre femme restera la mère de vos enfants et donc toujours dans votre vie.
Alors excuser ou pas certains comportements, est-ce vraiment ça le plus important ? Vous le dites vous même : vous avez vécu 9 ans avec elle et tout allait bien.
Vous avez besoin que votre femme exprime un jour des regrets, alors j'espère qu'elle le fera et qu'elle arrivera à reprendre le contrôle un jour, avec ou sans vous.
Vous ne pouvez pas l'obliger à se soigner correctement, ni à lui faire prendre conscience du mal qu'elle vous fait : elle est dans son monde ou elle pense que tout ce qu'elle fait est juste.
Alors vous devez ne penser qu'à vous et vos enfants et faire tout ce qu'il est possible de faire pour vous préserver.
Bon courage à toute votre famille.
C'est taraf qui attend des excuses, moi j'en suis pas là pour l'instant, j'aimerais juste qu'elle prenne conscience (réellement) de ce qu'elle fait ... Hier elle m'a sorti que pour le divorce elle aimerait bien que ça se passe bien, qu'on se mette pas des bâtons dans les pattes ou se fassent des coups bas. Je lui ai donc rappelé qu'elle avait porté plainte contre moi, et là tout naturellement elle m'a dit "ça, ça n'a rien à voir" ^^
Je me trompe peut être, mais j'ai l'impression qu'il y a la maladie d'une part (avec les excès en tout genre), et la reconnaissance de la maladie. En gros, on peut être "guéri" ou stabilisé tout en étant dans le déni, et donc on reste dans un état de conscience altéré. c'est ça en gros ?
C'est taraf qui attend des excuses, moi j'en suis pas là pour l'instant, j'aimerais juste qu'elle prenne conscience (réellement) de ce qu'elle fait ... Hier elle m'a sorti que pour le divorce elle aimerait bien que ça se passe bien, qu'on se mette pas des bâtons dans les pattes ou se fassent des coups bas. Je lui ai donc rappelé qu'elle avait porté plainte contre moi, et là tout naturellement elle m'a dit "ça, ça n'a rien à voir" ^^
Je me trompe peut être, mais j'ai l'impression qu'il y a la maladie d'une part (avec les excès en tout genre), et la reconnaissance de la maladie. En gros, on peut être "guéri" ou stabilisé tout en étant dans le déni, et donc on reste dans un état de conscience altéré. c'est ça en gros ?
Non, taraf n'attend pas d'excuses...
Parce que d'une part j'en ai eu et d'autre part je pense qu'un pardon n'arrange rien...
Moi, je pense que le cas de ma compagne est complexe car elle est un mix de trouble de l'humeur et de trouble de la perso...
En sachant que je reste sur la réserve sur la bipo mais vu que le traitement médicamenteux sera le même et que je ne suis pas psychiatre....je la met en sourdine.
Par contre je suis face au même genre d'ambiguïté que carino, moi elle porte pas plainte en me disant qu'elle veut que ça se passe bien mais elle me traite de pervers narcissique en me disant qu'elle veut qu'on restera ensemble....
bonjour moi je suis bipolaire mais contrairement a t'on homme j'ai insisté avec mon ex (qui a un master psy) pour que la psychiatre nous aides dans notre relation elle a répondu secret professionnelle ce qui pour le coup est anti professionnelle. Et après une année à alterner hospitalisation et retour en couple j'ai moi même pris la décision de rompre conscient que je la faisais souffrir... on est malade il y a des décision que l'on a du mal a prendre mais on est conscient de ce que l'on fait la maladie n'est pas toujours une excuse...
bonjour moi je suis bipolaire mais contrairement a t'on homme j'ai insisté avec mon ex (qui a un master psy) pour que la psychiatre nous aides dans notre relation elle a répondu secret professionnelle ce qui pour le coup est anti professionnelle. Et après une année à alterner hospitalisation et retour en couple j'ai moi même pris la décision de rompre conscient que je la faisais souffrir... on est malade il y a des décision que l'on a du mal a prendre mais on est conscient de ce que l'on fait la maladie n'est pas toujours une excuse...
J'ai senti la même retenue de la part de sa psy à chaque entretien.... Un peu comme si la psychiatre avait peur de devenir psychologue de médiation de couples...
Et je suis "content" (mot malgré choisi désolé) de lire que la maladie n'est pas toujours une excuse.
après je pense qu'a certain moment la maladie nous fait dérapé mais il est clair que l'on sait après coup que ce que l'on a fait en crise est très mal des excuse ne changeront rien ... on est pas toujours responsable de nos actes mais on en est conscient et ça c une méga torture pour nous ... peut être ne veut il pas se l'avouer ça serait trop dur et du coup il se voile la face... c'est une autre explication
attention le bipolaire n'est pas un pervers narcissique le bipolaire va répondre méchamment a une situation de stress dans laquelle il ne saura pas répondre qui lui provoquera une crise, celle ci amplifié si la personne en face réponds le pervers narcissique lui sans crise pisseras dans le salon pour montrer sa supériorité (exemple qu'une amie a vécu)
attention le bipolaire n'est pas un pervers narcissique le bipolaire va répondre méchamment a une situation de stress dans laquelle il ne saura pas répondre qui lui provoquera une crise, celle ci amplifié si la personne en face réponds le pervers narcissique lui sans crise pisseras dans le salon pour montrer sa supériorité (exemple qu'une amie a vécu)
Ah non mais là, j'ai dû mal m'expliquer : c'est ma compagne (hospit et diagnostiquee bipo) qui me traite de pervers narcissique...
C'est taraf qui attend des excuses, moi j'en suis pas là pour l'instant, j'aimerais juste qu'elle prenne conscience (réellement) de ce qu'elle fait ... Hier elle m'a sorti que pour le divorce elle aimerait bien que ça se passe bien, qu'on se mette pas des bâtons dans les pattes ou se fassent des coups bas. Je lui ai donc rappelé qu'elle avait porté plainte contre moi, et là tout naturellement elle m'a dit "ça, ça n'a rien à voir" ^^
Je me trompe peut être, mais j'ai l'impression qu'il y a la maladie d'une part (avec les excès en tout genre), et la reconnaissance de la maladie. En gros, on peut être "guéri" ou stabilisé tout en étant dans le déni, et donc on reste dans un état de conscience altéré. c'est ça en gros ?
Désolée, je me suis mélangée les pinceaux. Difficile de rester concentrée au bureau.
Moi aussi d'après elle je suis un pervers narcissique, c'est moi qui aurait dû être hospitalisé... J'ai l'impression que c'est un mot qui revient assez souvent pour les personnes en crise. C'est quoi que tu appelles trouble de la perso ? J'ai l'impression en effet que maintenant ce n'est plus la crise bipolaire qui parle, mais un état altéré de sa personne... C'est plus ou moins lié non ?
Moi aussi d'après elle je suis un pervers narcissique, c'est moi qui aurait dû être hospitalisé... J'ai l'impression que c'est un mot qui revient assez souvent pour les personnes en crise. C'est quoi que tu appelles trouble de la perso ? J'ai l'impression en effet que maintenant ce n'est plus la crise bipolaire qui parle, mais un état altéré de sa personne... C'est plus ou moins lié non ?
Un trouble de la perso ça peut être de l'histrionisme, un trouble de l'attachement, un borderline....
Et ça n'empêche pas un trouble de l'humeur en plus...
J'ai l'impression que les deux se potentialisent...
Pfff j'ai reçu une lettre de son avocate pour demander le divorce... Franchement je ne sais pas quoi faire... D'un côté je serais d'accord car elle me trompe, ne se soigne pas correctement et que j'ai l'impression qu'elle ne reviendra jamais dans un état "normal".
D'un autre, divorcer avec une personne non stabilisée je m'en veux, surtout avec les enfants...
Pfff j'ai reçu une lettre de son avocate pour demander le divorce... Franchement je ne sais pas quoi faire... D'un côté je serais d'accord car elle me trompe, ne se soigne pas correctement et que j'ai l'impression qu'elle ne reviendra jamais dans un état "normal".
D'un autre, divorcer avec une personne non stabilisée je m'en veux, surtout avec les enfants...
Tu sais moi je m'apprête à me séparer d'une personne "stabilisée" selon elle mais qui a (encore) passé sa dernière heure de permission à me reprocher devant les enfants de la laisser en sscdt, d'être à l'hôpital à cause de moi etc...
En fait, l'autre jour mon psy m'a posé une question simple mais qui m'a aidé je crois : êtes vous prêt à continuer cette vie pendant 2 ou 3 ans ? Ma réponse est non bien sûr mais après ?
L'autre jour mon psy m'a dit que depuis qu'il me voyait (alors c'est pas énorme, 4 fois je crois) rien n'avait changé, la situation était la même qu'il y a 2 mois... Sous entendu, si j'attends que les choses s'arrangent toutes seules....
Certes mais si elle se "réveille" dans 2-3 mois ne va-t' elle pas regretter ? J'ai vu son psychiatre avec elle il y a moins d'un mois et il lui avait fait promettre de ne pas prendre de décision hâtive... Une nouvelle fois elle ne l'a pas écouté... Jouer la montre est presque ma seule issue non ?
Certes mais si elle se "réveille" dans 2-3 mois ne va-t' elle pas regretter ? J'ai vu son psychiatre avec elle il y a moins d'un mois et il lui avait fait promettre de ne pas prendre de décision hâtive... Une nouvelle fois elle ne l'a pas écouté... Jouer la montre est presque ma seule issue non ?
Si elle regrettera peut-être mais il lui faudra alors assumer.....
Là, en plus y'a des enfants je crois, ça éclairciera l'esprit choses.
Et puis, si son "réveil" est dans 6 mois et ne dure que 3 mois, ne vas tu pas regretter toi ?
