Bonjour à tous,
Cela fait 14 ans que je suis avec ma femme. Il y a eu assez vite des périodes de dépression et des périodes un peu euphorique, mais sans être extravaguant. Elle pouvait être aussi boulimique, mais m’essayez de la contrôler dans ces moments.
Pleins de choses qui ne m'ont pas parus graves à l'époque. L'amour fait des miracles.
Je pensais donc que cette femme que j'aimais pouvais avoir quelques moments de blues... On a eu 2 enfants. L'histoire peut être longue, et je n'ai pas envie de raconter. En gros elle a eu une grosse période de dépression il y a deux ans et s'est faite alors aidé par un psy. Depuis qu'elle était sous médocs, tout se passait mieux. Sauf que notre couple a été pris par les enfants, la routine, et le manque de sexe.
Il y a 1 mois en parlant pendant un calins, elle me dit qu'elle souhaiterait voir ailleurs. Je lui ai dis que ca pourrait peut être nous aider a ce niveau, mais que ça resterait juste du cul. Il y a une semaine elle revient du psy pour me dire qu'elle a pris sa décision. Je ne pensais pas que ça irait aussi vite.
Et dans les jours qui suivent j'ai fait un burn out/depression;
En fait rien n'allait vraiment de mon côté depuis plusieurs mois. Je faisait un boulot qui ne me convenait plus, je m'occupais bcp des enfants, les taches ménagères, je laissais bcp de tps à ma femme pour ses hobbies car je ne voulais pas qu'elle retombe en dépression. Et là c'est moi qui m'effondre car un choc pour moi.
Le choc c'est que ma femme a changé complétement en 2 semaines... plus peut etre je ne m'étais pas rendus compte. Changement de look, de style, façon de parler, elle est sûre d'elle, donneuse de leçon... je ne la reconnait plus.
Et là pdt que je m'effondre elle sort tous les soirs avec des potes d'une copine a elle... une bande de jeune... Elle qui a la quarantaine , 2 enfants. Elle emmène de l'alcool, pue la cigarette en rentrant, cache les choses.
Elle emprunte des voitures a ses potes, roule vite, conduit la nuit car elle rentre avant que les enfants se lèvent. Donc pas de confinement pour elle, elle est au dessus de ça. Me dit qu'elle a commencé sa recherche de plan cul. Elle me ment car en fait, c'est plan cul tous les soirs je pense. Je la trouve en danger. Et j'ai peur pour elle et pour mes enfants.
Mon estime de moi est au plus mal, je me dis que tout est de ma faute, et tombe sur la description de cette maladie : BIPOLAIRE. je m'y retrouve, c'est exactement ce que j'ai vécu.
En fait ma dépression est lié au fait que j'ai passé mes années à l'aider... et que la elle a arrêté ses médocs, et est en phase maniaque.
Je dois voir un psy demain mais je suis perdu car pas en colère contre elle. Ni contre moi cette fois-ci. D'habitude je me rabaissais.
La je la sais malade et en danger selon moi. On dirait une ado...
Je ne sais plus quoi faire:
- rester avec elle en essayant de lui demander de reprendre son traitement. Mais j'ai cru comprendre que cette phase allait durer des mois. Et donc vivre a coté d'elle qui fait la fete et moi qui doit gérer la vie des enfants, le bien être de tout le monde alors qu'il faut que je guèrisse de mon burn out.
- partir, se répartir les enfants comme tout les divorcés. En sachant que personne ne l'aidera car personne ne sait qu'elle est bipolaire dans son nouveau groupe d'amis.
- me ressourcer ailleurs que chez moi pendant combien de temps ??? et lui laisser les enfants alors qu'elle fait n'importe quoi avec ses potes??? A la maison, elle s'occupe peu des enfants, elle donne à manger, et puis ils se demerdent, elle ne veux plus se prendre la tête. Elle les aiment mais privilégie la "qualité" du moment.
Je ne dors plus depuis 1 semaine, je somnole. L'entends rentrer... on se croise
Elle me dit qu'elle me laisse réfléchir car elle veut cette nouvelle vie, car l'autre elle s'emmerdait. A moi de choisir, elle m'aime, je reste à la maison avec les enfants, et puis c'est cool.
Qu'en pensez vous??
Pas cool du tout.
Prenez soin de vous et de vos enfants.
Prendre le temps de vous soigner avant tout.
Peut-être faire un break aussi. Vous n'êtes pas responsable d'elle. Alors advienne que pourra.
C'est difficile surtout s'il lui arrive quelque chose mais c'est elle qui se met en danger toute seule en ne prenant pas son traitement. C'est de plus semble-t-il une mère abandonnante....
Il peut être utile de téléphoner à son psy
Désolée pour ces paroles durs...
Salut,
Ça doit vraiment être difficile pour toi de découvrir une nouvelle femme après si longtemps. Si elle est bien bipolaire, il y a l'âge qui peut jouer aussi. J'ai vu plusieurs femmes "péter un câble" à quarante ans. Les enfants ont grandi, on a le temps de faire le point sur notre vie et d'un seul coup, on veut revivre notre jeunesse. Changement de boulot, rencontres d'un soir, boites de nuit, piercings, colorations exubérantes, tatouages... Je connais des femmes qui sont passées par là, certaines bipolaires, d'autres non. Et c'était dur pour les conjoints et les enfants.
Si elle est bipolaire en phase maniaque, la solution est de lui faire voir un psychiatre et de la remettre sous traitement. Elle pourrait refuser parce que cette phase semble lui procurer du plaisir. Mais avec un traitement, on peut vite faire redescendre l'humeur, et c'est quand elle sera dans un état stable que tu pourras découvrir ce qui est dû à la maladie ou non.
J'espère que tu trouveras la force de rester pour tes enfants en attendant qu'elle accepte de reprendre un traitement. Si cet état maniaque s'estompe et qu'elle choisit malgré tout de continuer à vivre comme une ado sans s'occuper de ses enfants, là, tu pourras avoir une discussion sérieuse avec elle. A l'heure actuelle, si elle est maniaque, autant parler à un mur. Quand elle ne le sera plus, elle sera à même de discuter avec toi de ce qu'elle peut continuer à faire ou non.
Je te souhaite bon courage et tiens-nous au courant.
@renate, je suis en arrêt. Je cogite bcp, je lis bcp. je m'occupe des enfants apres et avant l'école mais ça me prend bcp d'energies. J'essaye d'aider ma femme en lui disant que je tiens à elle, que je comprend son choix... elle pourrait aller plus loin encore.
@lyleith, t'es remarques me donnent du courage. Je pense vraiment qu'elle est bipolaire. Elle est sans arret sur son tel a rigoler avec sa copine, car oui elle prefere les femmes maintenant, mais veux les mecs aussi. Elle veux s'amuser.
J'ai vraiment eu un choc hier en lisant les infos sur les bipolaire en phase maniaque, c'est exactement ça que je vis... Et pareil pour les depressions...
Elle arrete pas de parler de voiture de luxe, de fric, de depenses... c'est fou, elle qui était il y 4 mois de ça en train de me dire qu'elle aurait bien tout vendu pour vivre dans un cabanon.
Il faut faire attention sur les phases maniaques, ça peut mal se terminer vite fait. L'exubérance, l'attrait pour le sexe, l'alcool et la vitesse ça peut basculer rapidement dans l'accident ou pire. C'est bien d'avoir un suivi psy de votre côtés, il pourra vous conseiller. Personne de l'entourage famillial et/ou amical pour vous soutenir ?
Vous avez les coordonnées de son psy ?
Il faudra peut-être demander une admission à l'hôpital si elle se met en danger. Il y a des troubles bipolaires dans sa famille ?
@mosis-7, personne avec moi. Je suis seul a supporter. Je vois la psy qui la suit demain, je vais demander ce qu'on peut faire rapidement. Sa famille ne s'est rendu compte de rien. Une tante a elle etait en hopital psy. J'ai deja vu sa soeur peté un plomb pour pas grd chose.... de la à dire qu'elle est malade je ne pense pas...
Mais ma femme ne me parle pas, se méfie, pense que je la manipule. Elle me dit que je suis jaloux de ses amies. Je préfére ne pas dire grand chose pour la voir et avoir des nouvelles.
Bonsoir Pacopo,
Quand elle reviendra de sa phase maniaque, elle risque de s'effondrer en dépression. La phase haute, c'est être cocaïnomane, et donc il faudra payer le prix d'une redescente par une récupération physique et mentale très importante. Pour faire simple voire simpliste, la phase maniaque est l'inverse trait pour trait de la dépression, son reflet exact.
Il n'y a qu'à ce moment là que vous pourrez peut-être discuter (attention à l'irritabilité), pendant qu'elle se dépêtrera dans la fosse de culpabilité dans laquelle elle sera tombée.
Tant qu'elle ne verra pas sérieusement de psy, vous allez devoir subir. Son traitement précédent risque aussi de ne plus être adapté après cet épisode, d'où ce besoin supplémentaire de renouer avec un pro. Sans comptez que le temps d'action du régulateur est long, elle devra recevoir des benzo ou autres.
Je n'ai pas de conseil à vous donner sur une solution possible, je suis le malade de mon couple et rien n'est comparable à votre cas, chez moi. Si je reste rationnel et pragmatique, il ne reste "qu'à" attendre sa descente (elle ne restera pas perchée des années), ou l'internement. Cet avis n'engage que moi.
Ne restez pas seul, sinon votre propre monture ne vous mènera plus très loin. Qui sera alors là pour vous sauver, vous ? Et donc elle ?
Si vous ne pensez pas à vous en priorité, c'est le début de la fin qui se profile.
A vous lire
@noon, j'ai vu la psy. Pas grands choses à faire. Elle n'est peut être pas Bipolaire, elle ne sait pas trop.
Il faut attendre...
Je suis KO pour l'instant, plus d'énergies.
On doit revoir la psy ensemble semaine prochaine. Ma femme ne veut plus me parler de sa nouvelle vie, seulement du quotidien des enfants (rdv, écoles).
Je dois tenir jusque là. Et après je ne sais pas.
Bonjour, par expérience par ce que je vis depuis des années, mettez la priorité sur vous! Prenez du recul, prenez soin de vous, écoutez votre corps qui vous dit combien vous êtes fatigué! Moi j’ai tout donné à mon conjoint, j’en ai fait ma priorité et au final je me suis oublié en tant que femme ! Prévenez son psy de la situation, Dites à votre femme que vous l’aimez mais qu’il y a des comportements que vous n’accepterez pas et prenez du recul. Occupez vous de vous et de vos enfants. Sans vouloir vous effrayer, cette phase sans médicaments à durer 2 ans chez moi, avec des passages très difficiles qu’avec le recule je n’aurais pas dû accepter. Après attention, chaque histoire est différente et je vous souhaite que tout rentre dans l’ordre rapidement.
bin courage à vous
Bonsoir,
On doit revoir la psy ensemble semaine prochaine.
Quand vous dîtes "on", c'est bien tous les deux ? Je l'espère pour vous. C'est déjà un bon signe que vous parliez encore du quotidien, un lien est toujours présent.
Si votre psy n'est pas sûre de son diagnostic, nous ne pourrons malheureusement pas vous aider sur ce point ici.
Si ça peut vous "consoler", ma femme (très introvertie) a eu un effet "jeunette" qui avait duré un peu plus d'un an, où elle était allée sans moi à tous les concerts d'un artiste (27 environ), sans compter ses innombrables nouvelles copines qu'elle a totalement perdu de vue depuis. On en avait parlé rétrospectivement et elle n'a toujours pas compris pourquoi elle était allée jusqu'à cette extrémité. C'était il y a 10 ans.
En ce qui me concerne, la crise de la quarantaine était le bel alibi auquel je croyais dur comme fer, avant d’atterrir en HP. Si ça n'avait été que ça, je ne serais pas sur ce forum à vous écrire...
Comme d'autres vous le disent, et mon poste est là pour insister lourdement sur ce point, pensez à vous, c'est vital. Nous ne sommes "que" de humains, pas des machines.
Portez-vous bien
NooN
En fait elle avait prévu un point avec sa psy pour nous 2, et moi étant complétement dans la dépression le week end dernier, j'ai demandé à d'abord la voir seule. Puis redemander un second rdv pour tous les 2.
Il semble que ma femme n'ai pas apprécié que j'aille voir sa psy, et elle m'en veut de ne pas lui avoir répondu de manière précise à sa demande de coucher avec des femmes il y a 1 semaine.
De mon côté je lui avais répondu oui, mais qu'il fallait qu'on reflechisse à nous...
Elle ne souhaite plus en parler, et moi je me morfonds. Je ne connais pas cette femme. J'ai peur pour mes enfants, je fais tout ce que je peux pour eux, mais vu mon état c'est difficile d'être un père attentifs avec eux.
Il faut que je m'occupe de moi, mais la j'ai trop peur pour mes enfants. Pour ma femme, je commence à me dire qu'il faut qu'elle redescende de son rêve toute seule.
Je vais laisser ce forum car je ne sais pas si c'est le bon diagnostique. Merci
Pour le diagnostic, vous verrez bien. Ne vous laissez pas guider par elle, vous avez autre chose de plus urgent à faire :
Protéger-vous et vos enfants, c'est l'essentiel. Rien d'autre.
Bon courage, le temps fera l'affaire. De façon positive, je vous le souhaite.
NooN
J'ai réfléchis cette nuit. Bon je ne dors pas de toutes façons.
Vu que ma femme vie des aventures sexuelle avec pleins de personnes dans la semaine, comment se comporter face au covid?
Elle va rentrer à la maison et je souhaiterais la mettre face à ses contradictions.
Elle met en danger notre famille car elle peut rapporter le covid à la maison, est ce que je peux le lui dire, est ce que je peux aller jusqu'à lui dire qu'on risque de perdre nos enfants à cause de la maladie et que ce sera à cause de son besoin sexuel???
Je voudrais lui prouver qu'elle n'a plus de discernement, qu'elle ne peux pas réfléchir correctement et que se sont ses envies qui passent avant la sécurité de la famille. Sans oublier les dangers des maladies sexuelles ou autres, mais bon ça n'atteindra pas les enfants... enfin pas directement.
De plus elle laisse ses enfants seuls avec un mari en pleine dépression (qui essaye de gérer) et ça ne lui fait pas peur... Et elle n'a pas d'empathie...
Est ce qu'elle peut l'entendre et comprendre ou alors non, elle est dans son délire et personne ne peux l'en faire sortir.... un choc émotionnel???
merci
Si elle est en up ça lui passe au dessus. Elle est dans son tripe et il n’y a que ça qu’elle calcule.
malheureusement si elle est dans son délire elle ne vous écoutera pas et elle risque même de s’en prendre à vous.. et ne lui parlait pas de maladie mais de comportement, vous pouvez aussi appelé la permanence de l’un Adam qui vous conseillera dans cette situation.
bon courage
Je voulais écrire l’UNAFAM 😊
Bonjour,
Votre cas me touche, comme bien d'autres personnes qui sont venues "s'échouer " ici.
Pour le Covid, ne vous inquiétez pas pour vos enfants. L'école de mes gamines a été un cluster il y a 3 semaines, et absolument aucun problème ou séquelles pour aucun des enfants contaminés (une de mes 2 filles a été un cas contact). J'ai eu plus de peur pour ma petite personne, découverte comme à "haut risque cardiaque", en même temps que la bipo, à 43 ans. VDM.
Si elle est vraiment bipo et semble en phase haute, n'attendez absolument rien d'elle en retour, vous êtes une barrière sur le chemin de sa liberté. Pour prendre un exemple concret, le mien par hasard, je me rappellerais jusqu'à la fin de mes jours quand j'ai crié sur ma femme, alors qu'elle était à terre, en pleurs, sur le sol des urgences psy. Comme on le dit à l'armée, on "neutralise" un "personnel", pas un humain. J'étais une bête sauvage en état mixte. Même sous valium (et ça tarte, je vous l'assure), j'ai attendu qu'elle revienne me voir en HP le lendemain pour la défoncer encore. Ce que j'ai fait avec brio. J'étais le chirurgien de sa torture mentale, je savais où taper, et j'ai été im-pi-toy-able. J'aurais dû avoir une médaille, pour le monstre que j'ai été à ce moment.
Encore une fois, protégez vous et vos enfants. Allez voir un psy en urgence, faites-vous prescrire des benzo ou autres afin de dormir, sinon...
Ha, autre chose, contactez l'UNAFAM ou ARGOS2001, ils ont des n° d'écoute. Vous n'êtes pas seul.
Courage, je comprends ce que vous vivez, c'est un bourreau qui vous le dit.
C'est vrai, si elle est en phase up, en sachant que tu es une personne très proche avec laquelle elle peut ne pas prendre de pincettes, à l'heure actuelle tu n'es qu'un obstacle à son délire. Si une personne extérieure essaie de dialoguer avec elle, elle pourra peut-être avoir un peu plus d'inhibition, on est toujours plus soft avec un étranger qu'avec nos proches. Là, à chaque fois que tu essaieras de lui reprocher son comportement, quels que soient les arguments, ça va la remonter davantage contre toi. Et comme elle te connait, elle saura où frapper.
Pour le covid, tes enfants sont quasiment hors de danger, ils sont souvent vecteurs du virus, mais pas victimes. En revanche, si elle contamine tes enfants, c'est toi qui seras en danger.
Tu es épuisé, déprimé et tu as des enfants sous ta responsabilité. Si tu craques, tu es en danger et tes enfants aussi.
Il faut absolument que tu demandes une aide extérieure, et nous on ne peut rien faire à part te conseiller de trouver quelqu'un. C'est urgent! Dans la situation actuelle, il peut se passer deux choses: soit ça va continuer sur cette ligne pendant des mois et tu vas finir par craquer, ce qui serait horrible pour toi et tes enfants, soit ta femme va se mettre davantage en danger. Dans son état, si rien ne la freine, elle pourrait faire un coma éthylique seule quelque part, avoir un grave accident de voiture dû à la vitesse/le verglas/la sensation d'être invincible (j'ai déjà fait demi-tour sur l'autoroute alors qu'en temps normal je roule comme une mamie!), rencontrer un type pas net et lui faire confiance, prendre de la drogue ou finir par vouloir sauter du cinquième étage pour prouver à tout le monde que ça ne va rien lui faire (vécu aussi!).
Ce qui ne risque pas d'arriver, c'est qu'elle se calme d'elle-même ou que tu réussisses à lui faire entendre raison. Il faut absolument que tu trouves une aide extérieure. Un psychiatre, une hospitalisation sous contrainte, une association, peu importe mais il te faut vraiment de l'aide.
@lyleith, oui je commence une psychothérapie lundi pour moi avec un nouveau psy.
Je laisse ma femme faire sa vie. On verras plus tard. Je dois m'occuper de moi et mes enfants.
Un psychiatre est la meilleure option par rapport à l'urgence et la partie médicamenteuse pour rétablir votre sommeil immédiatement.
Quand votre voiture ne démarre plus, vous n'allez pas dans une station service mais dans un garage, non ?
Si vous ne dormez plus, ce n'est pas avec de bons sentiments que ça va revenir rapidement. Un bon sommeil vous procurera une meilleure résilience.
Oubliez ce que vous pensez sur les médicaments, ils m'ont sorti de l'ornière et je remercie mon hospitalisation en partie pour ça.
N'oubliez pas : les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
A bon entendeur
