Bonjour Jean-Christophe
Nous les bipolaire quand en aime on aime a 200% rien nous arête!Je sais de quoi je parlé,2 relation raté avec les femmes bipolaire et schizophrène.Mais dans ton cas je pense que il faut ce déconnecté de ta ex copine.C'est mieux surtout pour toi,profite de tes enfants et refaire ta vie.
Je te souhaite bon courage!!!
Dans ce cas et dans cette période ce n'est pas de l'amour, c'est de la nymphomanie...une quête insensée à la recherche d'un plaisir qu'elle ne trouve pas puisqu'à orgasmique à ce moment là... Ce trouble est une vraie chienlit...
Jean Christophe bonjour,
Faut pas que de ton coté tu aies ces idées noires, tu as une famille, pense à eux...
Je sais ce que tu ressens car je me bats tous les jours aussi avec une personne Bipolaire,ce n'est pas facile je le conçois bien, je comprends ta douleur, j'en pleure aussi pratiquement tous les jours, des qu'il est dans sa phase UP, je suis son pire ennemi mais des qu'il redescend, il est fous amoureux et s'excuse...mais un moment donné bien sur que c'est épuisant, nous avons aussi besoin d’être aimé, qu'on nous soutienne, mon ami lui est suivi par un psy et prend un traitement mais malgré cela il ne veut admettre qu'il est Bipolaire, donc tant qu'ils seront dans le déni malheureusement nous ne serons pas de grande aide...
Courage a toi.
Bonjour.
Je suis désespéré. Il y a 7 ans je me suis fait aborder par une femme dont je suis tombé éperdument amoureux. Père de deux enfants j'ai quitté mon appartement pour vivre chez elle. Au bout d'un an, estimant que j'étais une entrave à sa liberté elle m'a prié de partir. Ce que je fis. Je la retrouvais sur Meetic. Elle cherchait quelqu'un qui pouvait profiter de sa retraite comme elle pour voyager. Pourquoi pas. Chacun est libre. Je ne lâchais pas l'affaire. Mes enfants ne l'aiment pas, ne lui ont pas pardonné. Elle est très attachante sur bien des points et nous avons de belles affinités. Petit à petit je suis revenu vers elle. Travaillais pour un salaire plus décent car son principal reproche était des revenus trop faibles. Un an et demi plus tard rebelote. elle s'était amourachée du père de sa belle fille de 20 ans plus agé qu'elle. Elle a vécut une histoire avec lui. Je lui ai dit que c'était son droit mais que nous ne nous verrions plus. Elle m'a choisi. Je n'ai pas la force de vous en raconter le détail. Une de ses amies avait évoqué sa bipolarité. Puis elle décidait qu'elle ne l'était pas mais que c'était un effet indésirable de la maladie de Lyme. De grands moments de déprime où j'ai toujours été présent. Elle ne cesse de contredire tout ce que je dis et lui en fis la remarque ce qui eut pour effet de la mettre dans une colère noire. Ejecté à nouveau, borderline à la limite du suicide. Une analyse transactionnelle avec un psy me fit plus d'effet que 7 années de psychanalyse infructueuse. Ma problématique peur viscérale de l'abandon. Je me rapproche à nouveau d'elle. Je développe une nouvelle activité basée sur l'aide à la personne. Je suis en train de monter mon cabinet qui a de la peine à démarrer. A nouveau une grande déprime, et il y a quelques semaines rebelote. C'est fini mais elle désire que je demeure son meilleur ami. Elle est à nouveau sur Meetic avec une foule de prétendants. Je ne lui ai pas dit que je le savais. Je n'en peux plus. J'ai changé ma manière d'être et supporte mal cette fois la concurrence. Tous mes amis, mes enfants, mes proches me disent de rompre absolument. Je dors mal fais des cauchemars. J'ai du mal à venir en aide à ma propre personne alors que c'est devenu mon métier. Je suis têtu à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Je suis amoureux de cette femme qui a bien des qualités que je n'énumère pas me complaisant dans mon rôle de victime. A chaque minute j'oscille entre voir cette quatrième séparation comme une bénédiction et l'instant d'après comme un tsunami. J'ai l'impression que quoi que je fasse à nouveau je ne la retrouverai pas. Et quand je me retrouve seul, j'élabore ma propre fin. Tant que je suis actif j'arrive à surmonter cette détresse. Elle m'autorise à passer deux soirées dans la semaine avec elle. Les seuls moments où je me sens vivre. je vous assure elle est par ailleurs merveilleuse. Une artiste avec un égo incroyable. Je devine qu'elle attends de trouver quelqu'un pour me lourder sans états d'âme, sans regrets. Je m'entends bien avec ses enfants, sa famille qui ne connaissent pas notre situation. C'est extrêmement pénible à vivre. comme une éternelle épée de Damoclès au dessus de la tête. A chaque fois je vis des souffrances que je ne m'imaginais pas supporter. je n'en peux plus et n'arrive plus à verser une larme. Je fais comme si de rien n'étais, remets mon costume de scène chaque matin et affecte une bonne humeur factice. Peut on mourir d'amour, je le crois. pourquoi je viens là, je ne sais pas. Trouver des réponses, du réconfort, une explication rationnelle qui m'aide ou simplement laisser un témoignage avant d'en finir.. Je ne sais pas. J'ai beau utiliser des protocoles de PNL ou d'hypnose, ça ne dure pas longtemps. je fais de l'ordre dans mes affaires pour n'avoir plus qu'un minimum, ne pas laisser derrière moi un fatras d'affaires. J'ai 58 ans, elle en a 62 et je l'aime avec une force qui confère à la folie....
Je te suis, tu me fuis
je te fuis, tu me suis.
Sinon, C’est quoi son pseudo, âge, ville sur meetic?
(je suis aussi un artiste 😉)
Détrompez vous ce n'est pas comme cela que ça se passe. Elle me vire, reprends sa liberté ce qui est son droit et j'attends, ne lâche pas l'affaire, suis son ami, puis son frère, puis son compagnon dans une sinusoïde infernale pour qui ne connait pas ses fluctuations. Ce n'est même pas une affaire de sexe, un lien presque indéfectible. je la respecte, suis son complice et partageons des moments de bonheur. Juste faire attention à ne pas la contredire, elle gamberge, sommeil en pointillé, peut se mettre en rogne avec une fulgurance déconcertante, pense fort à sa personne et ne se considère pas comme une bipolaire. Je ne l'ai jamais fui. Fuir la personne qu'on aime par dessus tout est une pensée insupportable qui me tente et me cause d'insupportables tourments. Je pense qu'il n'y a que moi qui puisse comprendre le ressenti qui m'aveugle certainement. Je me laisse aller aux confidences sur ce site mais n'en parle pas dans ses termes avec mes proches qui ne sont pas dupes par ailleurs. Chaque jour au réveil je ris de mes souffrances et remets mon habit de scène. Chaque rupture est de plus en plus dure pour moi. pour elle je ne sais pas puisque c'est elle qui reprends sa liberté en ne tolérant aucune réflexion à ce sujet. Quand elle replonge je suis toujours là. Pour le moment je suis en crise et ne trouve pas de mots censés pour m'en expliquer plus rationnellement. Une impasse, un profond trouble qui affecte ma personnalité et ma vie quotidienne. J'ai l'espoir de réussir un jour à trouver une solution. J'ai des pistes et dois, ou pas, juste tenir la distance. Je ressent depuis peu quelques vertiges et le burning-out n'est pas loin. J'irai au bout de mon histoire quelle que soit son issue. Pourquoi je m'accroche comme un beau diable défit toute ma propre logique.
Quand vous me demandez son pseudo et sa ville, je ne comprends pas où vous voulez en venir ????
Je ne considère pas que ça soit une maladie mais un trouble incertain c'est certain. j'imagine une solution pour qu'elle puisse mettre en phase ces personnalités divergentes. Alors je m'interroge. Une autre solution que le chimique...
Jean-Christophe,
Laurent demande l'adresse et le téléphone de tous les incrits...ou non inscrits...parce-qu'il aime tout le monde 😉
C'est tout à votre honneur d'être toujours là pour votre amie, mais pas au point de vous perdre vous même. Vous vous détruisez à petits feux. Ces vertiges dont vous souffrez sont des messages d'alertes que vous allez bientôt succomber. Et vous ne serez alors plus d'un grand secours à votre amie.
Quel que soit le nom qu'on lui donne, maladie ou trouble, quelle importance. C'est quelque chose qui provoque de grandes souffrances et qui a besoin d'être soigné.
Vous avez certainement raison, je vais faire un break de quelques semaines... J'ai le cœur en berne..
Jean-Christophe,
Laurent demande l'adresse et le téléphone de tous les incrits...ou non inscrits...parce-qu'il aime tout le monde 😉
C'est tout à votre honneur d'être toujours là pour votre amie, mais pas au point de vous perdre vous même. Vous vous détruisez à petits feux. Ces vertiges dont vous souffrez sont des messages d'alertes que vous allez bientôt succomber. Et vous ne serez alors plus d'un grand secours à votre amie.
Quel que soit le nom qu'on lui donne, maladie ou trouble, quelle importance. C'est quelque chose qui provoque de grandes souffrances et qui a besoin d'être soigné.
En fait, il s’agit d’un trouble psychosomatique.
un message non exprimé du lointain, le temps qui passe, un comportement (addiction par exemple) à la place des mots mais jamais bien compris ou interprété et un jour le corps (cerveau) ,sous la pression, dérape en crise (manie « j’ai envie de vivre » ou dépression « ma vie est foutue »). Quand il faut que ça sorte...
un peu comme un burn out.
avec toi Jean Christophe, on se demande si c’est toi ou elle qui souffre. Tu peux cependant m’appeler 0663148606, j’essaierai de t’aider même s’il fallait pour cela que tu me présentes ta copine...😜
Vous avez certainement raison, je vais faire un break de quelques semaines... J'ai le cœur en berne..
Laisse la revenir, reste fier.
Ma fierté ça fait un moment que je l'ai rangée, bien repassée au fond du placard à balais..
Lol, retrouve tes couilles
Appelle moi maintenant en masqué puisque tu es connecté et je suis disponible là
Je ne vois pas comment pour te dire..
Je ne vois pas comment pour te dire..
Tu ne vois pas quoi? Il y a mon numéro au dessus et c’est moi qui vais te parler, ne t’inquiete Pas.
Merci Laurent pour ta confiance et tes mots qui ont su me sortir un peu de ma détresse....
Merci Laurent pour ta confiance et tes mots qui ont su me sortir un peu de ma détresse....
Je t’en prie Jean-Christophe, merci à toi, tu es le 1er à avoir osé m’appelet. 😊
le contact n'est pas pareil que l'on écrive, échange des propos que quand on parle, qu'on écoute...
Je vis au jour le jour. Mon entêtement finira par me perdre. Je le cherche sans doute. On est tous dans des cases, esclaves ou affranchis. Je cherche la mienne. A force de parler de bipolaire, je me demande si je ne le deviens pas moi même. J'arrive à me mettre dans des états qui frise l'inconscience, une irresponsabilité scandaleuse..
J'ai passé la soirée avec elle. J'étais heureux de la voir. Entendre sa voix, l'écouter me raconter ses tracas, ses promenades dans la forêt. La nuit comme elle dormait peu, j'ai tenté dans un demi sommeil de lui suggérer par l'intermédiaire de quelques métaphores d'induire un équilibre qui lui permettent de trouver du repos. Je n'ai pas respecté les formes de l'art. Ça n'a pas marché. Je lui ai alors fait quelques passes de magnétisation, ça l'a soulagé et s'est rendormie à mes cotés pendant que je cherchais la paix et goutais sa présence comme un privilège.
Petit matin difficile. Elle part travailler et je prépare le petit déjeuner. Je tente de ne pas montrer mon trouble. Elle amorce une série de liaisons avec trois hommes pour ce que j'ai pu découvrir sans chercher. Elle me raconte des histoires quand elle me dit qu'elle était avec son amie en forêt. Elle avait un autre rendez vous avec un homme dont je ne suis pas jaloux. Triste de ne plus être sur sa liste, son carnet de bal. Pourquoi me ment elle puisqu'elle me dit que nous avons changé de statut. Que je ne suis plus son petit ami et qu'elle pense que je suis dans le déni de cette décision. J'aimerai bien l'être. D'un coup je chope un mal au bide comme jamais et une oppression dans la poitrine qui me fait espérer l'extinction des lumières et qui ne m'ont pas quitté à l'instant où j'écris. Pourquoi cette duperie. Pour me ménager? Impossible. Pourquoi dissimule t'elle la vérité, ce n'est pas dans ses habitudes. Quelle est donc cette folie d'accepter de la revoir une à deux fois par semaine alors que je ne sais pas ce que je représente à ses yeux, qui je suis. Elle me parle de Noël. Je lui parle de vacances à imaginer. C'est loin, on verra dit elle. Puis elle me dit que nous en reparlerons, que je n'ai pas compris, que je ne suis plus son compagnon. Mais alors qui suis je pour dormir tout contre elle? Je deviens fou ma parole. Je lui rétorque que ce qu'elle n'a pas compris c'est que j'étais sur le point de sortir définitivement de sa vie. Silence. Elle change de conversation. Nous partirons chacun de notre coté. Je rentre chez moi, vidé. Je vais m'oublier dans quelques occupations importantes d'un avenir que je peine à imaginer sans elle et laisse mes réflexions sans pudeur sur cette page. Je cherche à comprendre ce qui arrive, lui arrive, m'arrive. Je ne puis me résoudre à sortir de moi même de sa vie. Sans elle je ne serai pas ce que je suis devenu aujourd'hui et sans elle si je ne le reste pas je ne serai plus rien, autant dire inutile... Il y a deux êtres en moi qui se combattent avec férocité et je ne fais pas grand chose pour les séparer. J'ai tenté un protocole de PNL pour tacher de l'oublier, de me défaire d'une autre. Je deviens froid. Vivre sans passion m'est impossible...Je ne comprends pas cette femme. J'ai peur qu'elle me garde sous la manche, n'être là que pour lui assurer un réconfort que les jours de tempêtes. c'est toujours ça je me dis, mais en toute raison inacceptable quand on tacherai de gagner en dignité et en intelligence, à vrai dire je ne sais pas. Mes enfants qui ne sont pas dupes ne comprennent pas ce que je fais avec elle. Ma fille me traite de petit chien qui accoure quand on l'appelle. Mes problèmes avec cette femme sont moindre par rapport à d'autres d'entre nous qui vivent des situations bien plus difficiles. Je sais juste qu'il n'y a pas de degré dans la souffrance. Et que la seule chose qu'on doit, c'est mourir un jour... Une belle journée à toutes et à tous. Je ne sais plus ce qui est beau, je suis mélancolique et triste...
Rien de plus têtu et tenace que l'espoir, cette illusion, cette chienlit qui repousse quand on l'arrache. Peur que si je n'en ai plus, la fin du jour soit annoncée. Passerai-je le reste de ma vie à la chercher? Cette maladie ou je ne sais quoi est une horreur pour tous... Ceux qui l'ont et ceux qui la subissent. A force de fréquenter et d'aimer ma bienaimée, je le deviens moi aussi...Dépressif grave quand elle est en montée, attentionné et bienveillant quand elle est en position basse.... Tout supporter, tout surmonter pour être du jour au lendemain, désavoué. J'ai le moral dans les chaussettes et comme elles sont trouées j'ai bien peur de ne pas le retrouver. Ça m'apprendra. Non aucun bonheur, la moindre des satisfactions devient une montagne... En réalité si j'en parle ainsi c'est parce que ma tristesse est abyssale. Vous n'imaginez pas ses talents et ses qualités. On peut être bipolaire et formidable. En période haute surtout pour soi.... Quand je vois l'état du monde je me dis qu'il y a bien plus malheureux...Ce monde n'est plus le mien et une envie terrible de baisser les bras. Usé ma résilience. Au panier du linge sale. Ne pas craquer. Ah bon??? Et pourquoi pas? Partir avec un souvenir difficile certes, l'illusion du bonheur, mais une belle illusion....Je vais y réfléchir...
Bonjour
Je parte pour pris du sang.La nuit ça va aller.
bonne matinée a tous!!
