Bonjour à toutes et à tous,
Étudiante en Master 2 de psychologie clinique à l'université Paris Descartes, je me permets de vous écrire aujourd'hui dans le cadre de la réalisation de mon travail d'étude et de recherche. En effet, je mène cette année une étude sur le rôle de conjoint aidant auprès de patients souffrant d'un trouble bipolaire. L'objectif de ce mémoire est de mettre en lumière le ressenti des conjoint dans leur rôle d'aidant, afin d'être plus à même d'imaginer, et potentiellement de proposer des actions préventives et de prises en charge adaptées.
Alors, je vous mets à disposition un questionnaire d'une quinzaine de minutes, pour les personnes intéressées. Chaque participation est anonyme, et il n'y a aucune obligation à continuer le questionnaire si vous souhaitez ne plus y répondre.
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Cordialement,
Lorianne Amsellem
Moi je n'ai pas vraiment du faire correctement puisque ma femme me quitte mais ce que je sais c'est qu'elle ne voulait pas être surprotégée et devoir rendre des comptes. Elle recherchait un compagnon de vie et non un père.
Bonjour à toutes et à tous,
Étudiante en Master 2 de psychologie clinique à l'université Paris Descartes, je me permets de vous écrire aujourd'hui dans le cadre de la réalisation de mon travail d'étude et de recherche. En effet, je mène cette année une étude sur le rôle de conjoint aidant auprès de patients souffrant d'un trouble bipolaire. L'objectif de ce mémoire est de mettre en lumière le ressenti des conjoint dans leur rôle d'aidant, afin d'être plus à même d'imaginer, et potentiellement de proposer des actions préventives et de prises en charge adaptées.
Alors, je vous mets à disposition un questionnaire d'une quinzaine de minutes, pour les personnes intéressées. Chaque participation est anonyme, et il n'y a aucune obligation à continuer le questionnaire si vous souhaitez ne plus y répondre.
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Cordialement,
Lorianne Amsellem
Bonsoir Lorianne.
On est paraît-il souvent originaux ... alors je ferai original et j'espère judicieux.
Environ 12000 suicides en France et par an environ (me semble t'il). Et les "vagues"de ceux qui se sont données la mort sur leurs lieux de travail sont difficiles à compter. Alors:
1) La famille dénonce les conditions de travail qui ont conduit à l'acte fatal.
2) La Direction induit que le "suicidé" rencontrait des problèmes de famille.
Mon avis ? C'est que les deux disent la vérité. Si le désespéré avait bénéficié d'un des deux environnement pour s'épanouir et "s’attacher", il serait encore de ce monde.
Je vais répondre à votre enquête ... sachant que moi aussi j'ai fait la mienne ... il vous suffirait d'observer les arrivées des malades avec leurs conjoints le lundi matin, à l'établissement Psy spécialisé bipo. Idem observation, l’après-midi du vendredi, pour les départs en WE des malades. (j'ai observé ce manège 3x2 fois, je voulais rester en clinique). Et devinez quoi? la deuxième fois, j'ai fait une adepte, la troisième observation, là nous étions 4 à nous "régaler" des attitudes des uns et des autres (débile et conjoint (e)). Je crois qu'il y avait dans ce "défilé" une parenté avec le comportement de ceux qui assistent aux obsèques de ceux précédemment cités ... un gout de "Sniff sniff ... On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
Je pense à l'instant que je n'ai fait que les observer ... à voir si un entretien confirmerait les impressions perçues. Attention au "fou rire" si relativement courant et si difficile à contenir ... comme lors d'un enterrement.
PS: Je bataille avec ce mot ... "débile" signifie seulement et en substance "faible, fatigué ..."
On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
joliment dit 🙂 disons je partage ton point de vue
On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
joliment dit 🙂 disons je partage ton point de vue
Bonjour à toutes et à tous,
Étudiante en Master 2 de psychologie clinique à l'université Paris Descartes, je me permets de vous écrire aujourd'hui dans le cadre de la réalisation de mon travail d'étude et de recherche. En effet, je mène cette année une étude sur le rôle de conjoint aidant auprès de patients souffrant d'un trouble bipolaire. L'objectif de ce mémoire est de mettre en lumière le ressenti des conjoint dans leur rôle d'aidant, afin d'être plus à même d'imaginer, et potentiellement de proposer des actions préventives et de prises en charge adaptées.
Alors, je vous mets à disposition un questionnaire d'une quinzaine de minutes, pour les personnes intéressées. Chaque participation est anonyme, et il n'y a aucune obligation à continuer le questionnaire si vous souhaitez ne plus y répondre.
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Cordialement,
Lorianne Amsellem
Bonsoir Lorianne.
On est paraît-il souvent originaux ... alors je ferai original et j'espère judicieux.
Environ 12000 suicides en France et par an environ (me semble t'il). Et les "vagues"de ceux qui se sont données la mort sur leurs lieux de travail sont difficiles à compter. Alors:
1) La famille dénonce les conditions de travail qui ont conduit à l'acte fatal.
2) La Direction induit que le "suicidé" rencontrait des problèmes de famille.
Mon avis ? C'est que les deux disent la vérité. Si le désespéré avait bénéficié d'un des deux environnement pour s'épanouir et "s’attacher", il serait encore de ce monde.
Je vais répondre à votre enquête ... sachant que moi aussi j'ai fait la mienne ... il vous suffirait d'observer les arrivées des malades avec leurs conjoints le lundi matin, à l'établissement Psy spécialisé bipo. Idem observation, l’après-midi du vendredi, pour les départs en WE des malades. (j'ai observé ce manège 3x2 fois, je voulais rester en clinique). Et devinez quoi? la deuxième fois, j'ai fait une adepte, la troisième observation, là nous étions 4 à nous "régaler" des attitudes des uns et des autres (débile et conjoint (e)). Je crois qu'il y avait dans ce "défilé" une parenté avec le comportement de ceux qui assistent aux obsèques de ceux précédemment cités ... un gout de "Sniff sniff ... On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
Je pense à l'instant que je n'ai fait que les observer ... à voir si un entretien confirmerait les impressions perçues. Attention au "fou rire" si relativement courant et si difficile à contenir ... comme lors d'un enterrement.
PS: Je bataille avec ce mot ... "débile" signifie seulement et en substance "faible, fatigué ..."
Bsr, ou tu veux en venir ? Chacun fait ce qu'il peut, non ? S'il y a un pb familial , que faire ? La bipolarité est peut être extériorisée à cause de ce pb ? Mais le conjoint alors, est impuissant ! Non ?
Et avec un autre conjoint ce serait idem ! Ou pas ? Allez savoir, y'a pas d'études dans ce sens ...
On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
joliment dit 🙂 disons je partage ton point de vue
c est quoi ça Minimax ? 🤣
@ver00 Je te cite ver00 (pour éviter tout le déroulant):
"Bsr, ou tu veux en venir ? Chacun fait ce qu'il peut, non ? S'il y a un pb familial , que faire ? La bipolarité est peut être extériorisée à cause de ce pb ? Mais le conjoint alors, est impuissant ! Non ?"
"où je veux en venir ?" Si tu sais pas, c'est bien que c'est sans intention. Tu es libre d'aller où tu veux, de penser surtout ce que tu veux.
Le "conjoint" comme tu dis ... n'a pas été forcé de choisir le ou la bipo ... diagnostiqué(e) ou pas, les "qualités de ce(te) dernier(e) ont bien été je pense été appréciées, consciemment ou pas.
Je mets les pieds dans le plat ... je trouve en majorité de la perversion dissimulée dans des intentions bienveillantes de la part des "aidants" ... l'impression que j'ai d’après les observations que j'ai faites : C'est que les "sains d'esprits" ne le sont pas tant que ça. Qu'ils renforcent même leur estime de soi, assouvissent leur besoin de reconnaissance, et ce aux dépens du bipo qui à mon sens n'est pas si fragile que ça. Tant son pouvoir sacrificiel vis à vis des autres est important.
Alors vous me direz que les soignants aussi peuvent se sentir concernés. Je réponds que oui. Seule la décantation peut apporter une réponse quant à ceux qui sont réellement bienveillants. Et vous savez quoi ? Vous le saurez jamais ... vous croirez le savoir, mais vous vous tromperez le plus souvent tant vous attendez que les autres soient aimables avec vous...
On a pourtant tout fait pour l'aider." Je vois la psychologie comme de la sociologie aussi ... et donc de l’investigation. A vous de voir ...
joliment dit 🙂 disons je partage ton point de vue
c est quoi ça Minimax ? 🤣
C'était pour le "t'étais où?" simplement ... je te voyais plus ...
C'était pour le "t'étais où?" simplement ... je te voyais plus ...
pourtant j étais pas mal dans le coin, suffit de cliquer sur un profil pour connaître son activité sur le forum.
C est cool d façon c est fréquent la disparition des uns et des autres sur le forum mis à part quelques habitués 🙂
Parfois le conjoint est juste amoureux de sa femme et serait prêt à tous pour la sortir de là, même à y laisser sa propre santé.
Parfois le conjoint est juste amoureux de sa femme et serait prêt à tous pour la sortir de là, même à y laisser sa propre santé.
C'est a peu près tout ce qu'il faut pas faire. Je vois pas à quoi tu seras utile quand tu seras déglingué. Un bipo c'est comme tout, c'est fidèle quand on lui est fidèle. Moralement s'entend ... le reste découle. Perso, j'ai jamais été "queutard" en phase maniaque ... je me prenais pour un chevalier ... Un chevalier sans tête (D Saez) ... Un chevalier quand même.
Bonjour à toutes et à tous,
Étudiante en Master 2 de psychologie clinique à l'université Paris Descartes, je me permets de vous écrire aujourd'hui dans le cadre de la réalisation de mon travail d'étude et de recherche. En effet, je mène cette année une étude sur le rôle de conjoint aidant auprès de patients souffrant d'un trouble bipolaire. L'objectif de ce mémoire est de mettre en lumière le ressenti des conjoint dans leur rôle d'aidant, afin d'être plus à même d'imaginer, et potentiellement de proposer des actions préventives et de prises en charge adaptées.
Alors, je vous mets à disposition un questionnaire d'une quinzaine de minutes, pour les personnes intéressées. Chaque participation est anonyme, et il n'y a aucune obligation à continuer le questionnaire si vous souhaitez ne plus y répondre.
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Cordialement,
Lorianne Amsellem
bonjour,
J'ai répondu au sondage, j'aimerai bien avoir les résultats si possible,
Merci
Bonjour à toutes et à tous,
Étudiante en Master 2 de psychologie clinique à l'université Paris Descartes, je me permets de vous écrire aujourd'hui dans le cadre de la réalisation de mon travail d'étude et de recherche. En effet, je mène cette année une étude sur le rôle de conjoint aidant auprès de patients souffrant d'un trouble bipolaire. L'objectif de ce mémoire est de mettre en lumière le ressenti des conjoint dans leur rôle d'aidant, afin d'être plus à même d'imaginer, et potentiellement de proposer des actions préventives et de prises en charge adaptées.
Alors, je vous mets à disposition un questionnaire d'une quinzaine de minutes, pour les personnes intéressées. Chaque participation est anonyme, et il n'y a aucune obligation à continuer le questionnaire si vous souhaitez ne plus y répondre.
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Cordialement,
Lorianne Amsellem
bonjour,
J'ai répondu au sondage, j'aimerai bien avoir les résultats si possible,
Merci
Vous donnez à Lorianne, l'occasion d'évaluer votre empathie, dévouement, patience, compréhension, humilité .. surtout, que des gens comme vous ne m'aident surtout pas, au contraire restez comme vous êtes ... c'est cela qui me conforte et développe mon estime de moi ...
Bien d'accord avec toi, ma femme est bipolaire depuis plus de 20 ans et nous sommes ensemble depuis 35 ans, l'amour est toujours là malgrés des passages très durs, mais j'ai compris au fil du temps qu'il fallait aussi faire des concessions et savoir aussi prendre du plaisirs a certaines situations
Dani
Au final c'est elle qui me quitte.
Est-ce une crise ou la suite de sa vie sans moi?
Seul l'avenir me le diras.
JérômeS91.