Salut @bipolaire07
De mon point de vue, je prendrait l'addiction spontanée comme un symptôme de la maladie, quand une phase haute (manie/hypo) est en train de monter. Je dis bien, si elle est spontanée, car elle représente une cassure radicale d'un état donné à un autre.
ses autres addictions sont alcool et stupéfiants mais celles si sont vaincues.
Très très bonne nouvelle 👍
Étonnant même.
plus étonnement, elle s’est inscrite et pratiqué des sites d’escorte girl. Peut on associer ce comportement comme une addiction ?
Ça sent l'hypersexualité tout ça. Lors d'un phase haute, et selon les personnes (chacun sa bipo pour rappel), on peut libérer sa libido d'une façon complètement folle. Pour te donner un exemple grivois, mais clair et net. J'avais la gaule au travail, à mon bureau, juste en pensant deux secondes aux fantasmes qui m'habitaient à ce moment. Je pensais au sexe même quand mon boss me parlait. Sifredi pouvait retourner au vestiaires. et prendre son chèque. Pour les mensurations, c'est pas ça (toujours pas d'ailleurs) mais sur la dispo, c'était dingue. Je ne te dit pas l'ambiance à la maison, petit satire diabolique et infatigable que j'étais devenu.
C'est vraiment ce symptôme, ainsi que celui de l'irritabilité qui cherchait ses limites, qui m'a fait prendre conscience que ça n'allait vraiment plus du tout. Quand tu as la chance de t'en rendre compte.
Bon voilà, j'ai fais un peu de 3615 C MA VIE (si tu captes, t'es mi-vieux déjà).
Bon, pour répondre à ta question, sans digresser :
avez vous d’autres types d’addiction connus hors ceux précédemment cités ?
Les addictions sont, pour faire simple, la dépendance à un produit ou à un rite (par exemple), dont tu ne peux pas te passer.
Donc, que se soit un produit, ou le sexe, ils restent la même maladie.
La bipo peut contenir ça, pour commencer les hostilités.
Mais il y a beaucoup d'autres symptômes, qui s'expriment plus ou moins : sommeil perturbé ou nul, addiction variables, débit de parole rapide, mouvements rapides et difficulté à se tenir en place, etc. Il y en a beaucoup d'autres
Le diagnostique est-il posé ? J'imagine qu'elle ne suit pas de traitement ?
Si tu es ici, c'est que cette situation devient intenable. Idéalement, il faudrait qu'elle consulte mais elle va vraisemblablement refuser. As-tu une aide familiale ?
Tu peux te renseigner à l'UNAFAM ou à ARGOS2001. Ils ont des n° de tél.
Tu dois prendre le problème dans son ensemble, car je pense que tu découvres la chose et tu dois avoir à peu près un million de questions en suspend.
Il est inutile de discuter avec elle en phase haute, à moins qu'elle aie conscience du malaise.
Au plaisir de te lire, n’hésite pas !
