Bonjour, Je suis arrêté depuis deux semaines pour hypomanie. Le dernier entretien avec les infirmières du CMP, j'étais tiraillé entre culpabilisation et impression de profiter du système (on en a parlé avec les infirmières). Aujourd'hui, je vois le psy dans l'aprem et je sais qu'une part de moi a envie de travailler (avec moins d'investissement car c'est une partie qui m'a fait partir en hypo) et de retrouver les collègues tout en sachant que maintenant certains savent ce que j'ai. Par ailleurs, les infirmières m'ont dit que j'étais susceptible d'être prolongé et là, je culpabilise car cette part de vouloir et pouvoir reprendre le travail est présente et en même temps je fais confiance aux psy et infirmières. Merci pour vos témoignages
Bonjour bats,
Tu dois faire ce qui est le mieux pour toi. Si les infirmières disent que tu n'es pas prêt à reprendre le travail, tu ne dois pas culpabiliser et plutôt te dire que tu vas en profiter pour te reposer, faire les choses que tu aimes, en attendant d'être assez en forme pour travailler.
Bon courage !
Bonjour, Je suis arrêté depuis deux semaines pour hypomanie. Le dernier entretien avec les infirmières du CMP, j'étais tiraillé entre culpabilisation et impression de profiter du système (on en a parlé avec les infirmières). Aujourd'hui, je vois le psy dans l'aprem et je sais qu'une part de moi a envie de travailler (avec moins d'investissement car c'est une partie qui m'a fait partir en hypo) et de retrouver les collègues tout en sachant que maintenant certains savent ce que j'ai. Par ailleurs, les infirmières m'ont dit que j'étais susceptible d'être prolongé et là, je culpabilise car cette part de vouloir et pouvoir reprendre le travail est présente et en même temps je fais confiance aux psy et infirmières. Merci pour vos témoignages
bonjour, je n'ai pas compris vis à vis de quoi vous culpabilisez 😛
j'imagine pas une seconde que c'est de "profiter" d'un arrêt de travail vis à vis de la société, le trouble bipolaire étant dans le top 5 des maladies chroniques les plus handicapantes ( je vous laisse vérifier ), ça donne suffisamment de boulot sans s'encombrer avec ce genre de préoccupations, vous imaginez bien que le top 5 a le droit à des arrêts de travail de temps en temps - surtout si ça permet d'éviter des hospitalisations
du coup, c'est quoi qui vous fait culpabiliser ? 🙂
Bonjour, Je suis arrêté depuis deux semaines pour hypomanie. Le dernier entretien avec les infirmières du CMP, j'étais tiraillé entre culpabilisation et impression de profiter du système (on en a parlé avec les infirmières). Aujourd'hui, je vois le psy dans l'aprem et je sais qu'une part de moi a envie de travailler (avec moins d'investissement car c'est une partie qui m'a fait partir en hypo) et de retrouver les collègues tout en sachant que maintenant certains savent ce que j'ai. Par ailleurs, les infirmières m'ont dit que j'étais susceptible d'être prolongé et là, je culpabilise car cette part de vouloir et pouvoir reprendre le travail est présente et en même temps je fais confiance aux psy et infirmières. Merci pour vos témoignages
bonjour, je n'ai pas compris vis à vis de quoi vous culpabilisez 😛
j'imagine pas une seconde que c'est de "profiter" d'un arrêt de travail vis à vis de la société, le trouble bipolaire étant dans le top 5 des maladies chroniques les plus handicapantes ( je vous laisse vérifier ), ça donne suffisamment de boulot sans s'encombrer avec ce genre de préoccupations, vous imaginez bien que le top 5 a le droit à des arrêts de travail de temps en temps - surtout si ça permet d'éviter des hospitalisations
du coup, c'est quoi qui vous fait culpabiliser ? 🙂
Ce qui me fait culpabiliser c'est d'être mieux et d'être plus en forme pour travailler mais je suis prolongé jusqu'au 2 mai comme quoi je sais écouter le médecin et moi-même(il m'a dit que j'avais l'air mieux mais quand même). Ce qui me fait culpabiliser c'est que je me suis donné à fond depuis 4 ans dans ce boulot qui me plaît jusqu'à y laisser des plumes puisque j'ai ouvert ce sujet et que j'ai envie quand même de reprendre une activité normale. Ce qui me fait culpabiliser c'est qu'à côté je fais un travail d'écriture qui me fait du bien (et je suis payé pour ça mais là n'est pas le plus important) et pourtant j'ai plus de temps pour cela et personne ne sait que je fais cela au boulot, bref...je culpabilise aussi pour ça, mais j'ai pris cher à cause notamment du boulot en 2018 donc je balance entre culpabilisation et savoir que cet arrêt est primordial...
