Je connais aussi les missions sans être payée plus. L'année dernière j'ai eu d'énormes responsabilités. Mes chefs se sont confondus en remerciements c'est tout.
C'est un long travail que de savoir décrocher, je ne sais pas si j'en serai capable un jour. Actuellement, je suis démotivée et lente, mais, je sais que lorsque j'aurai bien remonté la pente, je repartirai dans les même travers...
Sinon Mesdames, les craquages devant des films étaient plaisants hier soir 😉?
Je suis comme toi. Je donne trop et je craque, à tout point de vue. Je ne pense pas pouvoir changer mais on devrait essayer !
Parce que si c'est pour le payer pendant des mois ensuite, ça n'en vaut pas la peine.
Puis au final, on est bien vus par nos supérieurs, certes, mais on ne gagne pas mieux notre vie pour autant...
Ça m'étonnerait. D'ailleurs le suspens est maintenu sur ton travail!
C'est difficile de trouver le juste milieu entre trop en faire et pas assez, tout en étant épanouis au travail
J'ai été élevée dans la culture du travail et de l'effort, quel que soit le travail et la rémunération. Je garde cette empreinte de la nécessité de travailler, donc ne pas travailler est inenvisageable. Et cela, bien que j'ai des angoisses en travaillant comme en ne travaillant pas.
@ellibipbip
Glace terminée ce soir devant un autre film!!!! Du coup, il va falloir que je refasse le stock.
Chez moi aussi le travail était primordial, pas question de manquer ...
Je reprends dans 3 semaines, j'espère réussir à m'en tenir à mes "bonnes résolutions". Si ce n'est pas le cas je verrai pour changer de poste, ça aidera déjà.
Tu n'es pas trop fatiguée ? Ça fait de longues journées !
Tu n'es pas trop fatiguée ? Ça fait de longues journées !
Ben si, je suis fatiguée, c'est pour ça que je ne fais rien d'autre . Je me préserve en fait pour le taf . Heureusement , je dors bien sans médicament, j'ai juste mon abilify 15 mg . Et, comme j'ai une grande coupure, je fais une sieste , lol .
J'ai été élevée dans la culture du travail et de l'effort, quel que soit le travail et la rémunération. Je garde cette empreinte de la nécessité de travailler, donc ne pas travailler est inenvisageable.
Moi aussi et cette culture, c'est à double tranchant. Quand j'étais "up", mon employeur me faisait travailler comme un dingue, profitant de mon impression d'avoir de l'énergie à revendre. J'ai été jusqu'à bosser trois jours sans dormir, y-compris chez moi.
Par contre, quand je me suis effondré lors du monumental "down" qui n'a pas manqué d'arriver, ils m'ont tourné le dos, je me suis retrouvé en arrêt de travail (congé longue durée), puis mis d'office à la retraite pour cause d'invalidité, avec toutefois un taux insuffisant pour toucher une allocation et, étant "jeune" et ayant été assez mal payé avant mon dernier job, j'ai une retraite ridicule, ne me permettant pas de vivre. Je trouve ça très injuste et vis mal mon inactivité professionnelle.
Attention aux employeurs-salauds ; ils sont nombreux !
Et bien, voilà un bel exemple de courage et d'insertion malgré le trouble bipolaire. Bravo à toi!
J'espère être bientôt capable d'en faire autant. Enfin, plus raisonnablement en ce qui concerne le travail.
Merci, mais heureusement que mon mari à la retraite pallie à mes lacunes ...
Il faut avouer que ma fatigue vient surtout de la mal bouffe et de l'alcool, j'ai perdu 10 kgs en 3 semaines et j'avais une pêche du tonnerre ! Il me faut la volonté de recommencer avec plus de douceur, pour ne pas tomber en manie et ne pas recraquer .
Ce soir, pulco citron, c'est bon pour le moral et le physique ! Hummmm
Attention ça reste très sucré 😉
En effet, l'alimentation joue un grand rôle dans l'énergie. Il y a quelques années j'avais fait un gros régime et ne mangeait quasi que du poulet et des crudités, ou des choses très légères, je ne m'étais jamais sentie aussi en forme !
Le problème, quand je déprime, c'est que je compense par la bouffe et en ai rien à faire de mon apparence... C'est le poisson qui se mord la quête!
Mais bon, on fait comme on peut pour se remonter le moral 😉
