Oui l'éducation, le milieu familial... C'est l'environnement
Prenons l'exemple de la schizophrénie. Un parent proche est schyzo donc en tant qu'enfant tu as un terrain. Ton éducation avec des parents qui vont dire/faire des choses étranges font peut etre faire que tu vas devenir schizo par déclenchement ou mimétisme en fait?
Sachant que si t additionne les risques de développer tous les autres troubles psychiatriques c est plus élevé que celui de développer une schizophrénie
Le " mimétisme" c est surtout l apprentissage sur les comportements délétères par sur la maladie (pessimisme, compétences sociales etc etc), un patient schizo aura du mal a transmettre des compétences sociales correctes s il est lui même en difficulté
Est-ce pareil pour les bipolaire?
Bah c est fréquent ce genre d histoires oui
Avec violences sexuelles et tout et tout
Le modèle s'applique à a peu près toutes les pathologies
Par exemple un enfant avec un terrain allergique ne déclenchera de crise qu'en présence d'un allergène
Bah c est fréquent ce genre d histoires oui
Avec violences sexuelles et tout et tout
Tu me rassure un peu, j'ai l'impression parfois d'être un stéréotype de la psychologie ^^
Le modèle s'applique à a peu près toutes les pathologies
Par exemple un enfant avec un terrain allergique ne déclenchera de crise qu'en présence d'un allergène
t as un peu trop simplifié là quand même :p
C'est difficile de trouver la limite de la simplification
Hello Bulky et bienvenu, félicitation pour ton parcours et tes conseils bienveillants dans le topic prise de poids suite aux différentes molécules que l'on est obligés d'ingérer. J'espère que tu trouveras ta place ici la grande plupart des membres sont extrêmement bienveillants.
Gracias l'ami
Bonjour a vous.
Je suis bipo1 +crises psychogenes non épileptiques.
Mettre un nom sur ce trouble, il n'y a rien de pire pour stigmatiser et nous isoler .
Sans trop de certitude, je dirais que je suis plutôt de type 2.
Mettre un nom sur ce trouble, il n'y a rien de pire pour stigmatiser et nous isoler .
Les mots ont l'importance qu'on leur donne
Faut juste pas s'arrêter à du vocabulaire, y'a un océan d'émotions derrière
Mettre un nom sur ce trouble, il n'y a rien de pire pour stigmatiser et nous isoler .
Personnellement, j'ai eu besoin qu'on mette un nom sur ce que je vivais. Avant ça, je me sentais perdue et livrée à moi-même. C'est épuisant de savoir que quelque chose cloche, mais de ne pas avoir de piste : est-ce que ça vient de moi, est-ce que ça vient des autres, est-ce que ça vient de ce travail ? Ce sont des questions qui m'ont taraudé toute ma vie, j'ai donc été soulagée d'avoir enfin un diagnostic et de pouvoir bénéficier du suivi et du traitement adapté.
Je me doute que tout le monde ne le vit pas de la même façon ; pour certains, c'est un véritable couperet qui leur tombe sur le coin de la tronche et beaucoup refusent d'accepter la maladie, mais ce n'était pas mon cas.
comment faire une evaluation de nos sante nous-meme? est-ce que c'est une site disponible. Si, s'il vous plait indiquez le lien.
Bonjour
j'ai quitté un peu le forum car trop out;des idées qui filent, l'impression d'être dans un monde parallèle...bref;j'avais rdv chez ma généraliste suite à un arrêt de travail et je suis prolongée mais j'ai l'impression de pas être prise au sérieux;elle m'a dit" vous voulez être arrêtée parce que vous n'avez pas envie de travailler";j'ai pris ça en plein dans les dents...Je suis suivie par le psy mais je dois passer devant l'expert et le psy ne veut pas me faire de certificat pour "ne pas influencer l'expert"!!!du coup je suis encore plus angoissée parce que c'est pas que j'ai pas envie de travailler mais que je suis incapable pour l'instant de supporter ce stress perpétuel avec les collègues hyper imbus d'eux-mêmes et qui ont encore toujours refusé de bosser avec moi.
Je pense qu'il n'y a qu'un bipo qui puisse me comprendre...donc je cherche un psy et un toubib bipo!!!!(je blague...)
Est-ce que vous avez aussi fait ces expériences?
Salut.
Oh oui j ai fait cette experience ! Le généraliste m avait arrêtée pour dépression. Il a voulu que je reprenne. J en était incapable. J ai été hospitalisée le soir même et finalement diagnostiquée après des années d arrêts ponctuels et d hospitalisation. Mon psy 'est pas bipolaire pourtant il sait que je refuse tous les arrêts et que donc si j accepte 15 jours c est que je suis au fond du trou
Moi c'est le psy qui veut que je reprenne parce qu'il dit que plus on reste en arrêt plus c'est dur après mais moi c'est pas le sentiment que j'ai;quand ça va mieux j'ai envie de reprendre et c'est quand j"ai pas envie" càd que je sens que je ne PEUX plus que j'ai besoin des arrêts;j'ai fait une fois l'expérience de retourner bosser en étant à moitié bien ça a été la cata:je me suis retrouvée illico presto chez la généraliste parce que ça n'allait plus.Je vous laisse imaginer l'ambiance au boulot..."Elle est de nouveau en arrêt"!..Cette maladie est un cauchemar pour soi d'abord et l'entourage qui trinque, on en peut rien mais c'est très dur à vivre et on passe pour des tire au flanc d'après les échos que j'ai eus...
Je suis mixte. Le bordel intégral. Vraiment.
Type 1 confirmé il y a peu
Comme c’était il y a longtemps tellement longtemps qu’on disait encore maniaco-depression ça doit être type 1 🤣🤣🤣🤣🤣