A l'hôpital, une nutritionniste n'est pas remboursée ?
Vaut mieux pas que j'y aille moi. La prise de tête à l'HP à chaque repas, j'étais infecte, mais ils ont à respecter les convictions.
C est plutôt les diététiciennes qui gèrent ça à l hôpital
Oui parceque faible poids on peut vite avoir des complications
En surpoids ça vient 20 ans plus tard
Si on veut apprendre à équilibrer ces repas, on va voir une nutritionniste ou diététicienne ? À l hôpital, c remboursé à 100% ? C pris en charge par l Ald ?
au CMP etc ça doit t'être proposé la diététicienne
y'a pas mal de nutritionnistes qui font plus de prise en charge de réduction pondérale, je commencerais par la diététicienne mais il en faut une bonne :p
Oui parceque faible poids on peut vite avoir des complications
En surpoids ça vient 20 ans plus tard
Vite, faut pas exagérer, quand c'est juste quelques kilos en dessous.
On a plus de liberté quand on a une pathologie psy. Il faut tjs marcher droit, si on ne veut pas atterrir à l HP. Surveiller ces paroles, son comportement, prendre un traitement.
taratata, si on t'a parlé d'anorexie mentale et qu'on a proposé une hospitalisation, c'est que ça allait beaucoup, beaucoup plus loin que quelques kilos en dessous
y'a plein de personnes maigres et la psychiatrie les emmerde pas, l'anorexie mentale c'est tout autre chose :p
Tu n es jamais du côté patient toi 😫.
Je suis bien d'accord avec toi Lucie. J'ai l'impression que les médecins s'en foutent! Ils ne se rendent pas compte que cela peut complètement altérer l'image que l'on a de soi et que c'est très difficile aussi de supporter le regard des autres quand on se sent mal dans son corps. Les conséquences psychiques peuvent être en effet désastreuses.
Ah bon? Qu'est-ce qui te permet d'affirmer cela?
@lucie
Ne manger que le soir ne te pousse pas à manger deux fois plus, du coup ? 🙄
Ah non, c est très rare :-p
bah j'ai pas compris, je suis patient avant tout 😀
Ah non, c est très rare :-p
bah j'ai pas compris, je suis patient avant tout 😀
Moi aussi, j'suis très patiente 🙄
les critères d'hospitalisation pour une anorexie c'est quand le pronostic vital est en engagé à cours/moyen terme; quand une hospitalisation est faite, c'est qu'il n'y a pas trop d'autre façon de faire
chose importante à savoir, le cerveau c'est principalement…. du gras; quand on atteint des maigreurs extrêmes, on commence à voir des raisonnements qui ne tiennent vraiment plus du tout la route, tout simplement parce que le cerveau est en souffrance, c'est la maladie qui parle et non le malade
de la même façon, il y a des poids extrêmes où la dépression est tout simplement inévitable, parce que le cerveau ne peut pas fonctionner comme il faut, et donc une anorexie qui vient si elle est dépressive, il y a un poids à partir duquel le seul traitement c'est la reprise de l'alimentation, les traitements n'ont quasiment aucun effet
et donc en fait lucie c'est très simple:
- soit tu juges très mal les niveaux d'hospitalisation d'une personne anorexique
- soit tu relèves vraiment d'une hospitalisation, et c'est la maladie qui te permet de dire des choses contradictoires comme " le poids est un problème qui doit être écouté " et " je dois me taire parce que je veux quand même continuer à perdre du poids "
Moi, l anorexie est plus pour me détruire, m en aller doucement, un abandon de la vie, de la souffrance de ma maladie. Le défi d avoir tjs un poids et un imc plus bas aussi
et du coup des pensées comme ça tu relève pas d'une aide ?
je comprends plus rien 🤔 🤨
Bonjour à tous,
je reviens vers vous pour vous dire que depuis une semaine, j'ai réduit ma dose de Xeroquel par deux. J'étais à 300mg, je suis donc à présent à 150 mg. Pendant trois jours, j'ai eu des maux de tête violents, un sommeil perturbé et des frissons, ce qui correspond sans doute à des symptômes de sevrage. Depuis, néanmoins, je suis plus éveillé, je dors moins et me réveille bien plus tôt naturellement, je suis plus active car j'ai plus d'énergie et mon ventre a dégonflé!!! (je pense que j'ai un "syndrome métabolique" depuis que je suis sous traitement, à savoir que mon ventre a exagérément gonflé/grossi). Par ailleurs, je mange sainement, marche un peu et médite chaque jour. Pour l'instant, ce sevrage est donc une libération pour moi!!! Je vais poursuivre et vous tiendrai au courant. Belle journée à tous.
Aïe aïe aïe !
🙄
COURAGE!!!!
J'oserais prendre position et dire qu'il y a une possibilité de considérer l'arrêt d'un traitement! Mais pour cela, je ne peux me fier qu'à ma propre expérience! J'ai été diagnostiqué bipolaire de type 1 en mars 2018 suite à une hospitalisation pour manie psychotique!
On m'a mis sous Invega Sustenna pendant 2 mois!
Je le trouvais très lourd a supporter alors j'ai arrêter!
Ensuite j'ai eu été de répit sans médication ou j'ai pu reprendre le cours normal de ma vie et de mon travail
A l'automne 2018, je me suis senti tombé en dépression, alors j'ai demandé à mon médecin de famille de débuter le lithium
Au bout d'un mois je l'ai arrêté!
J'ai continué à déprimer
J'ai ensuite pris du Effexor 150mg pendant un mois, cela a accentué mon anxiété alors j'ai arrêté!
En novembre 2018, j'ai consulté un psychiatre qui m'a suggéré lamotrigine ou lithium
A cours de solution, j'ai décidé de reprendre lithium!
J'ai fait un suivi serré pendant 6 mois mais je n'ai pas senti de réel effet bénéfique!
Pendant tout ce temps par contre, j'ai tâche d'apprendre des techniques pour géré mon émotivité et mes pensées! Et j'y ai vu plus davantage d'effet bénéfique!
Et depuis juin 2019, j'ai arrêté mon traitement de lithium et je suis parvenu à gérer mon émotivité et arrêté le flot de mes pensées ce qui dissout mon état bipolaire!
Oui, Jean-François ? 🤨 Je ne suis pas intervenue récemment sur ce topic 🤔
Chacun peut prendre position, oui.
Tout le monde peut arrêter son traitement quand il veut, oui.
Mais ce qu'il ne faut pas faire ici, c'est conseiller de l'arrêter.
Parce-que vous arrivez à vous en passer, c'est super et je suis contente pour vous. Mais pour beaucoup d'autres, ça va être l'enfer.
Donc chacun doit être maître de ses propres décisions et ne doit pas être influencé par qui que ce soit.
je suis parvenu à gérer mon émotivité et arrêté le flot de mes pensées ce qui dissout mon état bipolaire!
Lol
Ignorance is bliss
Arrêter le traitement ? Ma femme a expérimenté, sans doute pour la perte de poids... Elle a fait ça bien, en accord avec son psychiatre après 9 ans de stabilité. Diminution progressive pendant un an puis arrêt en mai/juin. 3 mois plus tard, crise, hospitalisation, et depuis c'est l'enfer pour moi (et sans doute pour elle) : insultes permanente, adultère, plainte, envie de divorce. Et pourtant avant sa décision d'arrêter, elle était allée voir une diététicienne et je ne l'avais jamais connue aussi mince (après 2 grossesses qui plus est). Donc arrêter le traitement parce qu'on maîtrise (ce qu'elle me disait) : je dirais non !
Ce que qui me déplait de votre personnalité mon cher est que vous êtes incapable de considérer un autre point de vue que le votre! Vous préférez prendre mon point de vue pour de l'ignorance plutôt que de pensez que cela peut être une possibilité!
Je suis parfaitement conscient que vous êtes bipolaires depuis très longtemps et que vous tâchez tant bien que mal d'aider les gens et avez accumuler beaucoup de témoignages et de connaissances en la matière! Mais vous ne devriez pas vous permettre de rejeter du revers de la main toute ce qui n'est pas conforme à votre schéma de pensée!
Car cela m'apparait égotique et non digne de la personne que vous êtes!
Vous parlez d'ignorance! Ce que vous considérez de l'ignorance je le vois davantage comme une incapacité à de votre part à saisir mon expérience en la matière même si elle ne s'étale pas sur autant d'Année que la vôtre!
Vous croyez donc vraiment que votre façon est la seule et la bonne et cela m'apparait bien désolant! Mais je ne peux vous en vouloir car je peux comprendre ce qui vous pousse à agir de la sorte!
Considérant ce que vous avez vécu, je suis parfaitement en accord avec votre point de vue! Mais il faut comprendre que puisse que j'ai vécu l'exacte opposé de votre femme, c'est ce qui me porte à avoir le point de vue que j'ai. Bien que certains me joueront la corde du temps qui est trop court pour conclure, moi je répondrais que je suis le mieux placer pour témoigner de mon état car je sens bien tout le changement qui s'est opéré en moi!
Cela ne veut pas dire que je rejette du revers de la main les risques loin de là! Mais dans mon cas, j'avais bien pris soin d'aviser mon entourage, j'étais célibataire donc il n'y avait pas de victimes potentiels immédiates (femme, enfant) et je me disais aussi que ma condition ne pouvaient être pire en terme de souffrance intérieur qu'elle ne l'était déjà! Mais je ne voulais pas non plus aller à la peur collective lié à ce type de comportement! Car il est loin d'être accepté de faire cela et j'en était aussi conscient mais étant que ma santé m'appartient à moi, je l'ai fais sans demander de permission.
Pour en revenir à votre femme, il m'apparait clair qu'elle ne maitrisait absolument rien à ce qui a trait à ses pensées et à son émotivité! Même durant ces 9 années! Ce n'est pas tout de tenter de ne plus prendre une substance chimique car il s'agit de produit très puissant et addictifs pour une bonne majorité! Donc, il y a tout une phase de sevrage qui entre en ligne de compte! Et plus, il ont été pris longtemps, pire cela est en ce que j'en ai déduis! Pour ma part, les délais avaient été très courts!
