Je passe par la pour pas polluer le tchat.
Me suis achetée un bouquin sur la bipolarité et je suis de moins en moins certaine que ce soit mon cas.
Depuis que je suis revenue de l'hopital ou on n'a trouvé nécessaire de me laisser l'abilify, je suis sure et certaine que je suis entrain de m'empoisonner avec ce médoc. Je pense qu'il est entrain de me flinguer le cerveau. Alors oui c vrai je suis plus posée, moins speed mes pensées sont plus lentes, je suis plus au claire. Mais j'ai un sentiment de lenteur qui maintenant m'accable, parfois une douleur en moi ou je peux rester recroquevillée dans un coin des heures. Je ne me reconnais plus.
Ce matin et depuis quelques jour je sens que je pourrais moins dormir, je parle plus par textos, j'écris aussi plus, je mangue 2 bananes/jours et j'ai pas faim, mais la ce soir c la déprime totale. Depuis quelques jours j'ai envie d'arrêter mon traitement car je pense qu'il me fait plus de mal que de bien. Mais personne ne veut etre d'accord avec moi ni les médecins, ni mon mari. Je sais pas quoi faire pour les convaincre que ces nocifs pour moi et j'ose pas non plus arrêter car si je repars je vais gacher ma vie de famille.
Bonsoir Elo,
Patiente encore un peu pour voir sur la durée avec cette molécule.. Et repenser peut-être aussi à la possibilité d'être évaluée en Centre Expert Bipolaire, même si tu dois te déplacer. Il te faut un diagnostique clair pour pouvoir envisager un traitement qui pourrait éventuellement mieux te convenir sur le plan de tes ressentis...
prends soin de toi..
Je passe par la pour pas polluer le tchat.
Me suis achetée un bouquin sur la bipolarité et je suis de moins en moins certaine que ce soit mon cas.
Depuis que je suis revenue de l'hopital ou on n'a trouvé nécessaire de me laisser l'abilify, je suis sure et certaine que je suis entrain de m'empoisonner avec ce médoc. Je pense qu'il est entrain de me flinguer le cerveau. Alors oui c vrai je suis plus posée, moins speed mes pensées sont plus lentes, je suis plus au claire. Mais j'ai un sentiment de lenteur qui maintenant m'accable, parfois une douleur en moi ou je peux rester recroquevillée dans un coin des heures. Je ne me reconnais plus.
Ce matin et depuis quelques jour je sens que je pourrais moins dormir, je parle plus par textos, j'écris aussi plus, je mangue 2 bananes/jours et j'ai pas faim, mais la ce soir c la déprime totale. Depuis quelques jours j'ai envie d'arrêter mon traitement car je pense qu'il me fait plus de mal que de bien. Mais personne ne veut etre d'accord avec moi ni les médecins, ni mon mari. Je sais pas quoi faire pour les convaincre que ces nocifs pour moi et j'ose pas non plus arrêter car si je repars je vais gacher ma vie de famille.
Tu peux aussi poser la question d un changement de traitement voir ce qu ils te disent
J'ai basé mon abilify a 5 aujourd'hui ca peux poseur pb? je me sens mieux comme ça. ca va pas me générer une dépression/manie?
Je pense que je ne supporte pas les neuroleptiques en règle générale. peut etre passer sur un antiisthaminique.
le risque de rechute maniaque ou hypomaniaque est énorme oui
les antihistaminiques n'ont aucune action thymorégulatrice (par contre pour le poids et les troubles cognitifs, ils sont au RDV)
C'est quoi les signes auxquels je dois faire attention et qui m'indiqueront que je dois remonter la dose vite fait?
dépend des gens, c'est des choses que tu apprends avec les rechutes et que à mon avis tu dois travers toi-même avant de vraiment savoir les gérer, pour ma part c'est de l'irritabilité, il y a des patients qui commencent avec une hausse franche de la libido, d'autres avec une insomnie sans fatigue, d'autres avec des dépenses à la hausse..
vu ton statu de "fraîchement diagnostiquée" je prends pas trop de risque en disant que si tu réduits les doses le scénario dans lequel tu fais une rechute est beaucoup plus probable que celui dans lequel tu mets le doigts sur des signes précoces
ce qui en soit n'est pas forcément une mauvaise chose, il y a des patients qui ont besoin de tomber plusieurs fois comme ça pour adhérer au traitement pleinement (moi le premier), l'expérience ça ne se partage pas
j'en informerai néanmoins mes proches ou au moins mon conjoint, vu la maladie inclure l'entourage n'est pas vraiment un choix et si tu as la chance d'avoir un entourage soutenant c'est probablement eux qui t'aideront le plus dans ta démarche de soin
Mon mari est au courant et il ne veut pas que je diminue, je ne sais pas quoi faire. Je suis prise entre deux feux : mon bien être personnel et celui de ma famille.
