te prends pas la tete avec ton passe, mets le de cote on en parlera plus tard ou pluto gu en parleras plus tard avec un analyste
pour l instant on est dans l urgence , tu n es pas en etat de voir un analyste
il faut se concentrer sur aujourdh ui et on en a rien a foutre que tu sois type 1, type 2, ou type 3,1416
l approche therapeutique dans l urgence est la meme
apres quand tu iras mieux on s occupera de ta realite interne
pour l instant on s occupe de ta realite externe
ceci s appelle la therapie bifocale
un psy s occupe de la prescription medicamenteuse donc de la realite externe
un autre psy procede a l analyse et s occupe de la realite interne
ça arrange les psychiatres car a force de nous bassiner avec leurs histoires de transfert et du faait qu il fallait concerver une certaine distance avec le patient en sont arrives a ne plus pouvoir etablir une relation medecin malade normale
c est pour ça que ce sont de gros prescripteurs medicamenteux, le medicament est lleur seul lien avec le patient
@cachette : je prend pas d'antidépresseur, juste du xanax (anxiolitique)
parce que mon père à forcé les choses.
Ensuite, je ne suis plus chez ma mère et en plein délire.
Quand je tombe enceinte: je suis concentré sur bébé et je ne compte pas , j'encaisse tout, je suis super maman !!! pas besoin de psy.
et ainsi de suite, jusqu'à ce que je croule en 2012, je les enchaine, aucun ne me conviens, j'aime pas ce qu'ils me disent et revivre mon enfance me fais souffrir !
Du psy qui me dit " je vous écoute" et n'en place plus une ensuite sauf pour un petit "et" pour relancé si tu arrête de parler pour finir par "la séance est terminé, on se revoit la semaine prochaine a la même heure"
Le psy version " vous dites donc que .... " et il répète la fin de ta dernière phrase.
Le psy complice "et qu'avez vous pensé ?" - " quel sentiment cela vous a fait ressentir?
ouaf ouaf gwen,c est exactement ça
les psy que tu as connus sont less jumeaux des mien
le psy ne sont que la caricature d eux meme
Le psy professeur, celui la tu écoutes, surtout ! parce que c'est LUI qui parles .
Le psy "vous attendez quoi de moi ?"
J'en ai vu 2 comme vous dites, et la 3eme fut la bonne, j'ai eu de la chance on dirait...
Prozac: le scandale prend de l’ampleur
(Photo : AFP)
Un document datant du 8 novembre 1988 met en évidence les modifications comportementales et de sédation, ou manifestation inverses telles que l’agressivité, l’agitation ou la desinhibition dues à la prise de fluoxétine, principe actif du Prozac. Les études cliniques révèlent que les risques liés à la prise de cet antidépresseur -de la famille des «inhibiteurs sélectifs de la re-capture de sérotonine» (ndlr: messager chimique du cerveau)- étaient signalés par «38% de la population sous Prozac (sujette à) des accès d’excitation motrice, contre 19%, par des personnes sous placebo (ndlr: substance inactive), soit une différence de 19% attribuable à la fluoxétine». Joseph Glenmullen, un psychiatre américain, souligne que ce n’est guère surprenant, en raison des «effets similaires de la fluoxétine à ceux de la cocaïne sur la sérotonine». Le British Medical Journal vient de remettre le document à la Food and Drug administration («l’administration américaine chargée des médicaments», (FDA), laquelle n’aurait pas eu accès à ces données il y a 16 ans, lorsqu’elle étudiait le dossier pour autoriser la prescription du produit.
Longtemps médicament vedette contre la dépression, jusqu’à l’apparition des génériques en 2001, le Prozac est prescrit à plus de 50 millions de personnes dans le monde. La société américaine s’appuie sur ce chiffre pour légitimer le médicament qui a «aidé à améliorer de façon significative des millions de vies, assurant que: «sa sécurité et son efficacité sont bien établies». Dans un communiqué, le groupe pharmaceutique affirme : «Lilly a systématiquement fourni aux autorités du médicament du monde entier les résultats de ses essais cliniques et des enquêtes de surveillance menées après la mise sur le marché du produit, y compris celles concernant la fluoxétine. Lilly estime qu’il n’y a pas de nouvelles informations scientifiques concernant cette question».
Un accord secret avec la partie adverse
Très récemment, une mise en garde générale a été faite contre le risque accru de tendances suicidaires chez les jeunes traités avec des antidépresseurs. Mais en ce qui concerne le Prozac proprement dit, un rapporteur de la FDA en charge de l’autorisation de commercialisation du médicament, le docteur Richard Kapit, a indiqué au British Medical Journalqu’il n’avait pas eu connaissance de ces données en 1991: «Ces données sont très importantes. Si ce rapport a été fait par ou pour Lilly, la firme se devait de nous le transmettre et de la publier». Un membre démocrate du Congrès, Maurice Hinchley, va désormais examiner ces documents afin de savoir si le laboratoire a délibérément dissimulé ou minimisé les risques sanitaires liés à la prise de ce médicament.
La suspicion, autour de la transparence des essais cliniques, s’installe d’autant aujourd’hui que ces documents confidentiels auraient fait défaut en 1994 lors du procès qui a opposé Lilly aux victimes d’une tuerie survenue en 1989 dans le Kentucky (huit morts, douze blessés et le suicide de l’auteur, Joseph Wesbecker). Les proches des victimes ont accusé à l’époque le Prozac d’être responsable de cette «rage meurtrière», et le laboratoire de savoir depuis des années qu’il pouvait avoir des effets secondaires graves. La firme pharmaceutique, Eli Lilly, a gagné le procès, mais avoué en 1997 avoir conclu un accord secret avec la partie adverse d’indemnisation avec les victimes.
Y aurait-il eu dissimulation des études défavorables à la molécule à de seules fins commerciales ? L’étude du dossier le dira. Toujours est-il que cette affaire vient grossir la série de scandales. Selon l’hebdomadaire British Medical Journal, l’affaire du Prozac n’en serait que le dernier avatar: en juin 2004, le procureur de l’Etat de New York, Eliot Spitzer, accusait le laboratoire Glaxo Smith Kline d’avoir caché des études cliniques concernant les risques de pulsions suicidaires chez les jeunes sous l’antidépresseur Deroxat. En septembre 2004, l’américain Merck retirait du marché son anti-inflammatoire Vioxx –pouvant provoquer des accidents cardio-vasculaires; et dix semaines plus tard, après l’avoir nié, le laboratoire Pfizer devait reconnaître que son médicament appartenant à la même classe thérapeutique, le Celebrex, provoquait les mêmes effets.
Oh purée, Roland ! Tu me fais flipper là... J'ai déjà pas trop confiance dans les médocs mais ça va pas s'arranger... 🙁
Arff, le prozac, c'est lui que j'ai eu à chaque fois ! son générique est une horreur sur moi, je veux même plus en entendre parler ni du prozac ni de la fluoxetine !
Résidus d'antidépresseurs: un robinet à autisme?
Le 13 juin 2012 par Romain Loury
La présence de résidus d'antidépresseurs dans l'eau potable pourrait en partie expliquer l'augmentation des cas d'autisme dans la population, selon une étude publiée dans la revuePLoS ONE.
Plusieurs de ces antidépresseurs ont été liés à un risque d'autisme chez l'enfant exposé in utero, principalement lorsque le traitement est pris au cours du premier trimestre de grossesse. Mais cet usage, marginal, peine à expliquer la hausse inquiétante de ce trouble du comportement: à l'âge de 8 ans, l'autisme concernait 1 enfant américain sur 88 en 2008, contre 1 sur 150 en 2000.
Plus inquiétante que le médicament lui-même, sa présence dans l'eau pourrait suffire à déclencher l'autisme chez les enfants génétiquement disposés, selon l'étude publiée par Michael Thomas, de l'Idaho State University School, et ses collègues. Les chercheurs ont utilisé un modèle génétique simple, le poisson appelé vairon à grosse tête (Pimephales promelas), plongé dans une eau contenant trois substances psychoactives bien connues: deux antidépresseurs, la fluoxétine et la venlafaxine, et un antiépileptique, la carbamazépine [1].
Selon une analyse d'expression génétique, les 10 ensembles de gènes associés à l'autisme chez l'humain se trouvaient surexprimés chez le poisson, dont 5 de manière statistiquement significative. Même constat pour un lot de gènes associés à la maladie de Parkinson, à la différence d'autres maladies (Alzheimer, troubles de déficit de l'attention avec hyperactivité, schizophrénie, etc.), qui ne montraient pas d'effet particulier.
«Si d'autres chercheurs ont suggéré un lien de causalité entre les médicaments psychotropes et l'autisme, nous avons été très surpris de voir que cela pourrait survenir à de très faibles niveaux, tels que ceux trouvés dans le milieu aquatique», commente Michael Thomas, cité par un communiqué de PLoS ONE.
S'ils restent prudents quant à la réalité du phénomène chez l'homme, les chercheurs rappellent que l'autisme a déjà été lié à un taux sanguin élevé de sérotonine. Or la fluoxétine et la venlafaxine agissent toutes deux en inhibant la dégradation de ce neurotransmetteur. Et leur mise sur le marché -en 1987 pour la première, en 1994 pour la seconde- coïncide avec l'envolée des cas d'autisme.
Lors de travaux publiés en 2011 sur les résidus de médicaments dans l'eau, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a montré que la carbamazépine était le médicament le plus souvent détecté dans l'eau, suivi de l'antidépresseur oxazepam. La fluoxétine et la venlafaxine n'ont en revanche pas été analysées.
[1] Si toutes ces molécules disposent de médicaments génériques, la fluoxétine est plus connue sous le nom de marque Prozac (laboratoire Lilly), la venlafaxine sous celui d'Effexor (laboratoire Wyeth, groupe Pfizer).
beaucoup de gens se foutent de l environnement de l avenir de la planete
mais si vous leurdites que leur gamin est autiste parce qu il abouffe du prozac contenu dans son biberon, ils vont peut etre change leur optique
c est pour ça qu il faut faire circuler ce genre d informations
Donc, Roland, là elle fait un up, elle en a déjà fait pendant son adolescence (hallu et fugue...) si je comprends bien, et quel que soit son type, c'est urgent de s'en occuper, non ? L'antidépresseur seul qu'elle prend en ce moment n'arrange pas les choses si je comprends bien ?
oui cachette c est il est urgent de s en occuper ou plutot il est urgeant qu elle s en occupe
la subtance qu elle prend n est pas un antidepresseur mais un anxiolytique
donc demain
arretons de tergiverser
gwen je t ai dit ce qu il fallait faire
libre a toi de contempler ton nombril ou de te bouger le cul
arretons de tergiverser
gwen je t ai dit ce qu il fallait faire
libre a toi de contempler ton nombril ou de te bouger le cul
Ok, bon c'est clair, faut agir Gwen, allez, pas évident, c'est vrai, mais faut le faire, courage...
PS : même écrire sur le forum devient un défi, j'oublie des mots en frappant mon texte, ça se souligne en rouge de partout parce que j'ai oublié les espaces ou une lettre !!!!!! waouh !!!!! je voudrais une connexion entre ma tête et l'ordi, comme ça il écrit ce que je pense et ça ira a la bonne vitesse parce que ma tête va plus vite que mes petites mains a taper !!! mdr
A tout de suite les ami(e)s
il suffit que tu actives la transcription orale de ton smartphone ou pc
il suffit pour ça de taper sur le petit micro situe en haut a droite
du clavier virtuel
J'ai pas de micro en haut à droite ! C'est pour ça que tu fais plein de fautes, Roland ? ça me rassure !
ceci dit il faudra quand meme que tu relises ta copie pour corriger les fautes de l ordinateur qui ne seront pas soulignes en rouge par l ordinateur qui ne considere pas ça comme des fautes
nul n est infaillible surtout pas l ordi
quand tu dis l or en barre il peut ecrire Laurent Barre ou l or en bar
l or en bar existe, c est un restaurant a Terrebone au quebec
beaucoup de gens se foutent de l environnement de l avenir de la planete
mais si vous leurdites que leur gamin est autiste parce qu il abouffe du prozac contenu dans son biberon, ils vont peut etre change leur optique
c est pour ça qu il faut faire circuler ce genre d informations
Compte sur moi...
Je suis épuisé a l'idée de tout recommencé une nouvelle fois, mais je le ferais parce qu'il le faut pour avoir une suite favorable a ma vie
il faut le faire tout de suite sinon il n y aura pas de suite favorable a ta vie
Je vais chercher une clinique privé, l'HP me fais peur après l'aventure horrible qu'a raconté Rachla, et les autres que j'ai lu ici, ça fait pas envie du tout...
OK, Gwen, occupe-t-en rapidement 🙂
J'ai trouvé 4 cliniques, pas une seule prés de chez moi ! mais bon ça peux le faire tout de même, sauf que il faut que mon médecin traitant (ou mon psychiatre) me fasse un mot pour m'y adresser apparemment !
Bon, Gwen, pas de problèmes que des solutions 😉 Donc, regarde si ton medecin traitant a un remplaçant, sinon cherche un autre généraliste du côté de chez toi, ou tu te déplaces ou tu telephones pour expliquer ton cas ds les grandes lignes et en demandant si tu vas le consulter si tu peux espérer une demande de prise en charge psy en sortant... Sinon, il te reste plus qu'à rappeler la clinique pour leur Expliquer que ton mt est en vacances... Comme je pense que tu as du le faire et qu'ils ont du te renvoyer sur l'hp... Trouve un generaliste 😉