Notre fille vient d...
 
Notifications
Retirer tout

Notre fille vient de nous apprendre qu'elle était diagnostiquée bipolaire

11 Posts
3 Utilisateurs
2 Likes
942 Vu
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Bonjour,
Je parle en mon nom de mère, mais nous nous sommes inscrits sur ce forum avec mon mari en tant que parents d'une jeune femme de 23 ans, qui vient de nous apprendre qu'elle avait été diagnostiquée bipolaire par un psychiatre, et qu'elle avait démarré un traitement (avec le Lamictal) depuis un peu plus d'un mois à présent.
Elle est en arrêt de travail et d'études depuis plus d'un mois, -ce que nous ignorions jusque là-, héberge un petit ami sans papiers du même âge qu'elle qui ne travaille pas, elle se dit très amoureuse de lui, ils vivent à 800kms de chez nous dans son logement d'étudiante de 18m2...
Il y a 1 an l'an passé, fortement alcoolisée, elle a subi un viol perpétré par un inconnu rencontré dans un bar ou une discothèque et qu'elle avait invité chez elle pour un "after" avec un autre "ami"... (elle a porté plainte et a été reconnue victime par la police, le jugement est en cours)

Depuis que notre fille nous a confié avant hier qu'elle était bipolaire et prenait ce médicament (elle nous a dit faire beaucoup de cauchemars depuis qu'elle a commencé le traitement), nous nous renseignons sur cette maladie.
Les renseignements que nous trouvons nous éclairent sur bien des choses ! :
Notre fille était brillante, intelligente, suivait les hautes études commerciales qu'elle avait choisies, gagnait bien sa vie en alternance, plus aide parentale....Mais se retrouvait à découvert, dormait très peu, sortait beaucoup même si elle devait se rendre à son travail sur Paris le lendemain matin....Elle qui ne fumait pas vivant chez nous, fumait à présent, buvait des boissons énergétisantes, de l'alcool....Ses fréquentations avec le monde de la nuit et des hommes plus âgés qu'elle étaient fort douteuses....Elle avait une conduite très à risque qui a débouché sur le viol de l'an passé, et nous ne pouvions rien faire pour l'aider à part la conseiller de consulter un professionnel, ce qu'elle heureusement  accepté de faire.
Les symptômes que nous avons lus concernant la bipolarité sont autant de réponses face aux comportements de notre fille qui nous ahurissaient jusque là, mon mari et moi, et m'angoissaient terriblement en tant que mère.

Nous espérons trouver sur ce forum, l'aide qui pourrait nous être utile et l'entraide qui pourrait m'être précieuse en pareil cas...

Merci de m'avoir lue.

Ce message a été modifié Il y a 5 ans par DomiSyl

   
Citation
seb
 seb
(@seb40)
Estimable Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 225
 

Bonsoirr et bon courage

ma mere a été voir l'unafam pour l'aider

http://www.unafam.org/-L-Unafam-en-France-.html


   
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Bonsoir,

Je vous remercie beaucoup pour le lien Seb, je vais regarder, d'autant qu'ils sont dans notre région...
Bon courage à vous aussi, un jour à la fois. 🙂

Annonce

Nous venons d'avoir notre fille au téléphone il y a quelques minutes, la conversation se déroulait au mieux jusqu'à la fin où j'ai eu la sensation de me prendre une porte en plein coeur. 🙂 (j'en souris de vous l'écrire 🙂 )
Une fois le téléphone raccroché, mon mari m'a dit "N'oublie pas Sylvie, que c'est à la maladie que tu as à faire lorsque notre fille nous parle et pas à elle"....
J'ai encore du mal avec ça....:)
Ma propre mère s'est défenestrée la veille de son rendez-vous avec un psy, rendez-vous que j'avais pris pour elle avec son accord. Depuis petite, j'avais toujours connu ma mère maniaco-dépressive suicidaire -la grand-mère de notre fille donc-.
Décidément, pas facile de se sentir occuper la place du jambon entre deux pareilles tartines de pain.... ça fait mal !
Mais bon...C'est la vie, n'est ce pas...Et c'est comme ça....
Heureusement, mon mari-beurre (je ne vais pas le traiter de cornichon quand même 🙂 ), est là pour rendre le goût du sandwich moins austère...^^
Et puis je me dis que l'avancée dans cette histoire, comparée avec l'histoire de ma mère, c'est que contrairement à sa grand-mère, notre fille est suivie par un psychiatre....

Merci Seb

Ce message a été modifié Il y a 5 ans parDomiSyl

   
seb reacted
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  
Posté par: DomiSyl

/Quote/Une fois le téléphone raccroché, mon mari m'a dit "N'oublie pas Sylvie, que c'est à la maladie que tu as à faire lorsque notre fille nous parle et pas à elle"....
J'ai encore du mal avec ça..../Quote/

J'ai beaucoup de mal avec cela et ça me fait encore souffrir, même si grâce au diagnostic de bipolaire, certains dysfonctionnements de notre fille se sont éclairés :
J'ai mis au monde une enfant, pas une maladie....


   
RépondreCitation
 Anonyme
Inscription: Il y a 54 ans
Posts: 0
 

Bonjour, 

J'imagine que ça doit être particulièrement douloureux à vivre, surtout qu'avec la bipolarité, il n'y a pas d'aide "pratico-pratique" à apporter. Je sais que maman me demande souvent à taton comment je vais (je ne suis pas encore très stabilisée, mais ne suis diagnostiquée que depuis 6 mois), parce que trop grand nombre de fois je devenais insupportable quand elle me demandais.   

Par contre, c'est très bien que vous vous renseigniez au sujet de la maladie, pour que vous ne preniez pas tous ses commentaires au premier degré et pour apprendre ausssi à reconnaitre les signes des changements d'humeurs, etc... ca peut etre utile! Ma dernière phase mania, j'avais une amie à la maison et ça m'a beaucoup aidé. 

Peut-être que votre généraliste pourrait vous aider à trouver un groupe de conseil, ou un thérapeute pour que vous aillez le soutient dont vous avez besoin? 

bon courage et bonne journée à vous 

 


   
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Bonjour Céline,

Je vous remercie pour votre réponse et votre soutien.:)

Mon vécu passé auprès d'une mère maniaco-depressive suicidaire et suicidée (défenestration), m'a amenée, pour ne pas me suicider à mon tour ou perdre la raison, à entamer une longue thérapie auprès de groupes de parole d'anonymes. Le programme de rétablissement en 12 étapes qui constitue la colone vertébrale de ce type d'association, m'a conduite à apprendre à m'occuper sincèrement et vitalement de moi, à changer ce que je pouvais changer, à accepter ce que je ne pouvais pas changer, et à savoir en faire la différence.

Je ne peux plus, comme j'ai fait avec ma mère depuis mon enfance, mettre à présent le spot de mon attention sur ma fille parce qu'elle souffre du même trouble bipolaire de sa grand-mère....
Non, je dois m'occuper de moi et de moi seule à présent.
Et que qui m'Aime me suive.
A partir de moi, je peux aider ma fille de la juste manière, très certainement. 🙂
Je ne m'inquiète plus depuis ce diagnostic posé sur son trouble et depuis notre inscription sur ce forum : J'ai enfin lâché (pas abandonné, "lâché")notre fille de 24 ans . Et je sens que c'est bien ainsi.
Je continue de l'Aimer, certes, mais détachée (pas indifférente hein 🙂 ).
Et ça change tout.
Je me sens juste et à ma place, ainsi.

Bonne vie à vous par-delà ses difficultés (inhérentes aux vies de chacun, la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais pour chaque problème il existe une solution)

Avec ma sympathie
Sylvie


   
seb reacted
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Rebonjour,

Le père biologique de ma fille (dont j'ai divorcé), lui verse une pension alimentaire chaque mois pour suivre des études en alternance dans une école de commerce.
En 2017, à ma demande, et après en avoir parlé avec ma fille et  être tombés d'accord au téléphone sur le montant de la pension avec mon ex mari, le tribunal aux affaires familiales a revu à la hausse le montant de l'aide.
Or à l'heure qu'il est, notre fille est en arrêt de maladie depuis plus d'un mois, et son psychiatre vient de prolonger son arrêt de maladie d'un mois de plus.
Depuis sa rentrée de Septembre, elle n'a assisté qu'à une seule semaine de cours et ne va donc plus à son travail en alternance.
Elle m'a confié au téléphone (elle ne vient pas chez nous à part pour Noël ou férias de l'été)  "aider" son petit copain du moment qui ne travaille pas, il vit avec elle dans son studio d'étudiante.
Les nouvelles de ma fille me tombant sur la tête en cascade, j'essaie d'appréhender les choses selon leur importance un jour à la fois.
Aujourd'hui, le moment est venu où je me pose la question (son père biologique n'est pas au courant de sa bipolarité, de son arrêt de travail, de son viol de l'an passé...Elle ne veut pas que mon mari actuel et moi lui en parlions) : Etant donné que je suis l'instigatrice de la réévaluation de la pension alimentaire de notre fille, qu'elle utilise cette pension pour elle certes, mais aussi pour entretenir son petit copain actuel. Je ne dois pas faire quelque chose ?
Ma fille va conserver son studio d'étudiante alors qu'elle est en arrêt de maladie pour plus de 2 mois ?
Elle a confié à mon mari actuel avoir pris en début d'année une assurance étudiante au cas où elle stopperait ses études en alternance en cours d'année.
Ok. C'est bien déjà, elle s'est "couverte" de ce côté là.
Mais qu'en est-il du côté de la pension alimentaire versée par son père biologique pour suivre ses études en alternance, pour laquelle j'ai fait intervenir le tribunal aux affaires familiales, et qui sert à entretenir un petit copain sdf ?
Si cette pension concernait uniquement ma fille et son père biologique sans que j'y sois mêlée d'une quelconque manière, je ne ressentirais aucun cas de conscience.
Mais ce n'est pas le cas.
C'est MOI qui ai demandé cette réévaluation de pension. Avec l'accord de ma fille, certes, mais c'est moi, en tant que sa mère, qui ai fait la démarche.
Je suis coincée.
Ce serait très certainement plus simple si nous pouvions parler avec notre fille face à face chez nous ou chez elle.
Mais elle ne veut pas qu'on "monte" la voir sur Paris, ni "descendre" chez nous alors qu'elle peut bénéficier de trains gratuits grâce à un abonnement spécial...:/

Merci de m'aider si vous le voulez bien.
Parfois, avec du recul, on perçoit mieux certaines difficultés...
Merci encore si c'est votre cas, très sincèrement.


   
RépondreCitation
seb
 seb
(@seb40)
Estimable Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 225
 

Bonjour a vous Domisyl

a mon avis mais je suis pas a votre place..

C'est trop frais pour refaire la procédure au tribunal

vieux mieux lui laisser le temps de se remettre dans le bon chemin plutot que lui rajouter des difficulté financiere

Par contre pourquoi isoler le pere des ses difficultées ?

Mettez un ultimatum ou Imposer lui que son copain se bouge ou bouge sinon de l'appart


   
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Bonjour Seb et Adrien, je vous remercie pour votre présence et réponses rapides 🙂

Je ne comptais nullement relancer une procédure auprès du tribunal, je me disais seulement que je pourrais parler de mon cas de conscience à ma fille (qui perçoit directement la pension alimentaire versée par mon ex mari), mais avant cela, je voulais y voir plus clair auprès de personnes atteintes de ce trouble.
Je sens bien qu'il est trop tôt pour lui parler de ce "détail" pratique financier, c'est pourquoi plutôt que de commettre une bêtise en me précipitant, je suis venue "parler" ici de mon cas de conscience.
Au fil des heures, je comprends que mon cas de conscience est vraiment secondaire, qu'il passe après ma fille. Et qu'il me serait invivable de risquer d'avoir sur la conscience un acte suicidaire parce que j'aurais invitée ma fille à devenir autonome par rapport à la pension alimentaire versée par son père biologique... :/
Peut-être que si ma fille ne pouvait plus entretenir son petit copain par manque d'argent, elle repartirait dans des comportements très risqués comme l'an passé qui mettraient sa vie en danger ou la pousserait vers un acte irréversible....
Dans le doute, je préfère m'abstenir et rester l'Aimer.
Ma fille est une belle personne.
J'ai les larmes aux yeux en vous écrivant cela.
Je l'Aime, et il n'y a que ça qui compte, par-delà ses difficultés bipolaires du moment.
Je ne retiendrai que mon Amour pour elle aujourd'hui.
Et m'abstiendrai de tout autre chose qui risquerait de mettre sa vie en péril.
De tout mon coeur, et avec toute ma sincérité : Je vous remercie !
Grâce à vous, j'ai pu faire mon point.

Je vous souhaite une bonne vie un jour à la fois, Seb et Adrien, et vous souhaite tout le courage dont vous pouvez avoir besoin pour parvenir à une stabilité dans vos vies respectives.

PS : *Seb, j'ai suggéré à ma fille de pousser son ami à travailler, ou de se mettre une échéance avant de lui demander de quitter son logement s'il ne travaillait pas. Elle m'a répondu qu'elle s'était donné 2 semaines, mais qu'en même temps ça lui allait bien qu'il soit là lorsqu'elle rentrait le soir de son travail et que s'il travaillait dans la restauration métier qu'il connaît, ils ne serait pas là à son retour le soir...^^ (là elle ne va plus travailler, ça règle des choses... ). Elle a 24 ans, ça m'est difficile de lui "imposer un ultimatum" comme si elle était mineure, ou intervenir dans sa vie et faire intrusion dans son studio pour mettre dehors son petit copain sans travail ...
C'est pour cette raison que je suis venue essayer de trouver quelques repères ici..."J'isole" son père biologique des difficultés de notre fille parce que c'est elle qui nous le demande. Et c'était là toute ma difficulté avant que je trouve ma sulution en parlant avec vous... 🙂

*Adrien, notre fille nous a demandé de ne pas parler à son père biologique de ce qui lui arrive et lui est arrivé l'an dernier, nous ne pouvons pas la trahir...
Nous lui avons proposé de participer à une thérapie familiale si elle le souhaitait, auprès de son psychiatre, lorsqu'elle nous avait dit qu'il en existait. Et ce malgré les 800kms qui nous éloignent, nous aurions fait le trajet. Mais notre fille nous a dit que non, qu'elle ne le souhaitait pas, car "elle n'avait pas de problème avec nous" (dixit) .
Donc en effet, c'est à elle de trouver ses solutions...Comme c'est à nous de trouver les nôtres...:)


   
RépondreCitation
 Anonyme
Inscription: Il y a 54 ans
Posts: 0
 

Je suis entièrement d'accord avec ce que les autres bipotes vous ont déjà dit: de une, il faut mettre un ultimatum à son petit ami, votre fille étant en difficluté elle n'a pas besoin d'une charge mentale et financière supplémentaire, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux pour elle, et cela risque de l'embourber davantage. 

Pour ce qui est du logement, vous n'avez rien à craindre, si de une elle est assurée, mais surtout si elle est en arrêt maladie. L'avis du médecin la couvreva, ce n'est pas comme si elle avait arrêté d'aller en cours mais continuait de profiter du logement. 

Pour ce qui est de la pension alimentaire, il me semble, que c'est à votre fille d'en parler à son père. C'est une histoire entre eux deux, même si c'est vous qui s'est occupée des démarches. Il serait peut être pas mal d'insister auprès de votre fille de parler de son état à son père, au moins pour qu'il sache que pour le moment, elle est dans l'incapacité de suivre les cours. Elle n'a pas besoin de rentrer dans les détails, juste lui dire qu'elle est malade et qu'elle est suivie (ce qui est déjà un excellent point!!) puis qu'elle a été arrêtée pdt quelques temps devrait suffir à votre ex. Elle pourra lui en dire plus quand elle sera prête. Mais disons que ce serait plus honnête ainsi. Maintenant, (je suis également divorcée avec 2 loulous à la maison et la pension alimentaire n'est vraiment pas donnée de bon coeur croyez moi!) si votre ex lui verse une pension sans de difficulté, c'est que sa fille reste sa priorité . Si c'est donc le cas, ce serait absurde qu'il arrête de l'aider alors qu'elle est en difficulté, d'où l'importance qu'elle soit honnête avec lui (en même temps je ne connais pas votre ex donc difficile de m'avancer là dessus) 

Bonne journée 


   
RépondreCitation
DomiSyl
(@domisyl)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 7
Début du sujet  

Merci pour votre réponse et présence Céline

Le père biologique de notre fille (mon ex mari), n'a aucune difficulté financière, il voyage beaucoup pour son seul plaisir.
Par acquis de conscience avant de demander une réévaluation de la pension alimentaire l'an dernier auprès du tribunal, j'avais demandé aux impôts quel était le montant de ses revenus (sans donner les détails, ils sont forcés de communiquer cette information, je m'étais renseignée avant de les contacter.)
C'est une personne qui préfèrera "pleurer sa mère" plutôt que de donner de l'argent  qui pourrait profiter à qui que ce soit d'autre que lui même.
En 20 ans de divorce, il me versait royalement et quand il y pensait, 150 euros de pension alimentaire pour 2 enfants dont j'avais la garde exclusive à mon domicile, alors que je lui avais laissé notre entreprise sans recevoir de dédommagement financier professionnel de sa part -il s'était engagé seulement oralement avec moi à me verser une pension puisque je lui laissais l'entreprise et m'occuperais de nos enfants. Dès le divorce prononcé, il s'est empressé de s'en tenir à ce qui était écrit (150 euros), et à ne plus me verser ce à quoi il s'était engagé oralement ^^-)
C'est une personne particulière qui a un rapport à l'argent et aux responsabilités qui lui incombent très particulier aussi...
Je crois que notre fille ne se sent peut-être pas suffisamment en confiance avec son père biologique pour lui confier certaines choses intimes de sa vie, ce qui expliquerait ses réticences à parler à son père biologique de sa bipolarité et de ce qui lui est arrivé l'an dernier...
Mais petit à petit certaines informations filtrent...Notre fille parlera peut-être à son père, "gouttes après gouttes"... Je ne sais pas. C'est leur affaire, en effet.

Bien à vous


   
RépondreCitation
Annonce
Annonce
Annonce