Bonjour à tous,
Après pas mal de temps d'hésitation je franchis le pas de me présenter ici. Diagnostiqué bipolaire le jour du 1er confinement (!), à 38 ans, après avoir ruiné mon mariage à cause d'une phase up. Avec le recul et le soutien d'une psychiatre et de mon ex-femme, j'analyse un peu mon comportement et je cherche à me construire. Des études brillantes jusqu'au doctorat, un poste dans l'enseignement supérieur et la recherche, mais au quotidien des variations d'humeur pas toujours faciles à vivre apparemment. Beaucoup de projets jamais menés à bien. Une forte tendance au repli sur soi. Une libido importante. Une timidité maladive qui a mis des années à se résorber. "Une grande solitude" comme a dit ma psychiatre à la lecture de ma frise de vie. Je pourrai en écrire des pages, mais voici une entrée en matière. Je suis sous dépamide depuis septembre. ça me lisse, mais ça m'agace car je me trouve moins efficace que d'habitude.
Bienvenu ici, les médicaments ont des effets secondaires difficiles à supporter mais c'est toujours mieux que de gâcher sa vie ! Après, perso, j'ai préférer l'abilify 5 mg que la dépamide . Faut voir ...Bon courage .
Bienvenu ici, les médicaments ont des effets secondaires difficiles à supporter mais c'est toujours mieux que de gâcher sa vie ! Après, perso, j'ai préférer l'abilify 5 mg que la dépamide . Faut voir ...Bon courage .
préféré, dsl pour la faute !
Bonjour vt59500,
Je suis sure que tu vas te reconstruire, dès lors qu'on accepte la maladie, et c'est le plus difficile, on accepte de prendre un traitement, et c'est salvateur ! ( le tout est de trouver le bon, celui qui nous convient bien ) On peut même rebondir, et faire de la résilience, faire d'une faiblesse, une force . Car il n'y a pas que des désavantages à cette maladie, elle nous murit , nous grandit en sagesse.