Sara bipolaire type...
 
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Sara bipolaire type 1

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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
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Début du sujet  

Bonjour,

je m'appelle Sara et je suis italienne. J'habite en France depuis 5 ans. Il y a 4 ans j'ai eu mon premier épisode psychotique avec hospitalisation d'une semaine. Ça été une période difficile pour moi car mon frère venait aussi d’être hospitalisé en Italie et j'avais les préparatif de mon mariage à finaliser. A l’époque les médecins ne savaient pas trop me faire un diagnostique. Ils m'avait fait entendre que le risque c’était la schizophrénie. J'ai passé trois ans sous abilify 10 mg sans vraiment réussir à dormir et avec beaucoup de moments d'angoisse. Je ne prenait pas des anxiolytiques car j'avais l'impression que ça ne me faisaient rien. Mon mari et ma famille ne me reconnaissent pas mais j' était  rassurée à l'idée d'avoir un médicament qui m'aident.  Après 2 ans et 1/2 de traitement nous avons convenu avec le psychiatre de enlever l'abilify. Après quelque mois mon père tombe malade et meurt, peu de temps après le jour des mes 30 ans. Deuxième hospitalisation en deux temps sans diagnostique. Ma mère décide de me faire visite par un psychiatre spécialisé dans les troubles de l’humeur en Italie et la finalement le diagnostique et posé. Vous la régularité des épisodes et las antécédents familiaux, il n'avais pas double sur ma bipolarité. Maintenant je vive dans une situation difficile, entre deux psychiatres qui sont d'accord sur le diagnostique me non sur les médicaments. Je suive ce qui à su me faire un diagnostique mais que je vois très peu, et je cache des choses à l'autre qui peux me faire le ordonnances. Voila en bref les éventements qui me portent à vous écrire aujourd’hui sur ce forum. Depuis que je suis en France et que j'ai eux ces expériences j'ai vraiment du mal à me faire des amitiés. Je aurais besoin de parler et pas seulement à ma psychologue. Je me sent très seule et je sent que personne me peut comprendre. Je sente que je ne peux même pas faire quelque chose pour me faire comprendre car je n'ose pas parler de certains choses avec les autres. Ma famille je doit la rassurer, mon mari aussi et mes collègues ce n'est vraiment pas le cas. Pour ce qui concerne les amitiés je ne sais plus comment faire pour n'avoir.

J'ai pu lire des discussions sur ce forum que j'ai vraiment apprécié. Je vous serait reconnaissant pour n'emporte quel bon conseil.  

Merci d'avance!


   
Mosis and ver00 reacted
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ver00
(@ver00)
Famed Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 3016
 

Bienvenu  Rosadeldeserto,

 

Tu peux trouver du réconfort ici . Aucun médecin ne donne les mêmes traitements . C'est particulier aussi d'en avoir deux, il faut choisir . Et je ne suis pas qualifiée pour t'aider, mais kust, mon grand ami saura le faire . En fait, c'est toi qui aura le dernier mot, car on ne peut pas savoir comment tu réagis au traitement, mais il saura t'aiguiller, c'est sur, c'est son taf .

Si tu veux parler de quelque chose, je suis là, je ne travaille pas aujourd'hui, je suis à peu près libre . je suis aussi bipolaire de type 1 et je prends 10 mg d'abilify .

 

 


   
Melo reacted
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 3991
 

Bonjour et bienvenue.

C’est quoi ton traitement maintenant? Parfois il faut changer deux trous fois avant de trouver le bon. Comment tu te sens avec tes psy, ça joue aussi, il faut se sentir à l’aise pour pouvoir tout leur dire afin qu’ils traitent le patient au mieux.

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bô courage 🙂


   
ver00 reacted
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 18
Début du sujet  

Actuellement je prends du Téralithe. Je me trouve beaucoup mieux. C'est le médecin du diagnostique à me l'avoir prescrit et l'autre l'as accepté avec réticence mais il l'a accepté avec du Abilify 10 mg en plus. Moi ça fait 6 mois, même plus, que je ne prends plus du 10 mg. Je suis passe à 5, puis à 2.5 puis à 0. J'ai repris du 2.5 juste pour ma période difficile être janvier et mars toujours sous avis du médecin italien. Le problème est que je voudrais avoir seulement lui mai il ne peut pas me faire les ordonnances vu que je n'habite pas en Italie.  J'ai décidé de dire la vérité au médicine française, qui j'apprécie mais voila, je ne lui fait pas toute cette confiance… En plus si j'ai à nouveau une crise elle pense que j'ai toujours pris du 10 mg et elle vas me donner plus.. uffh


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
Inscription: Il y a 6 ans
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Désolée, je ne sais pas quoi te dire, je suis infirmière mais pas spécialisée dans la pharmacologie . Je dois partir, a plus . 


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
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Posté par: @ver00

Désolée, je ne sais pas quoi te dire, je suis infirmière mais pas spécialisée dans la pharmacologie . Je dois partir, a plus . 

C'est vrai, qu'on ne voit pas souvent les deux molécules ensemble ....

 


   
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 18
Début du sujet  

OK, bon.. Merci!


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 3991
 

Et le lithium tout seul ça donne quoi?


   
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
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Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 18
Début du sujet  

En faite, c'est toujours difficile de comprendre si c'est seulement mérite du médicament ou aussi des circonstances mais je trouve que depuis que je prends le lithium j'ai retrouvé le sommeil, je n'ai plus d'angoisses. J'ai toujours des changements d’humeurs mais je vive mieux je trouve..  La méditation et le yoga m'aident aussi.


   
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Elona
(@elonawasikowska)
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Posts: 381
 

@rosadeldeserto

Bonjour Sarah, et bienvenue. Tu pourras venir parler et trouver du réconfort ici, on est pour ainsi dire dans les mêmes galères.

J'allais justement suggérer de dire la vérité à l'autre psychiatre. J'ai appris à mes dépens que cacher des choses, voire mentir à un médecin est une très mauvaise idée, dans la même veine que l'idée de modifier ou arrêter ton traitement. Après si comme tu dis tu n'as pas confiance, rien ne t'empêche de changer de médecin. Ma psychologue disait que les médecins et les psys, c'est comme des paires de chaussures: Il faut en essayer plusieurs avant de trouver celui qui nous convient vraiment. C'est pareil aussi pour le traitement, ça prend des années, des galères et des rechutes pour trouver les bons médicaments à la bonne dose.

 


   
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
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Début du sujet  

Merci beaucoup! Oui je pense que t'as raison. Mardi j'ai rdv avec mon médecin et je vais l'informer de tout et on verra bien. 🙂

 


   
Mily, ver00 and marlasinger reacted
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Mosis
(@mosis)
Reputable Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 495
 

Bonjour @rosadeldeserto

Bienvenue. Votre histoire à l'air difficile et je suis content que vous veniez poster ici. 

Si je comprends bien ce qui vous pose principalement problème en ce moment c'est de ne pas pouvoir discuter avec votre famille de votre maladies et de vos ressentis, et la difficulté à lier de nouvelles relations amicales ? 

C'est compliqué la famille car il y a parfois une forme de déni sur la maladie, sa gravité et son impact sur la vie du malade. Avez vous la possibilité de discuter avec eux de votre envie de vous ouvrir plus sur le trouble et sur vos craintes de les inquiéter ? 


   
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Francesco74
(@francesco74)
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Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 10
 

Bonjour Sara,

Tout d’abord je te félicite pour ton français et tous les efforts que tu fais pour apprendre notre langue.

Moi j’essaie d’apprendre l’italien car c’est la langue de mon grand-père, je l’ai étudiée au collège et au lycée et depuis peu je prends des cours privés.

En ce qui me concerne je suis enseignant en histoire. Il est évidemment impossible d’en parler à mes collègues, je risquerais d’être licencié et mis de côté par la société.

Ce qui est difficile à comprendre mais que nous sommes malheureusement obligés d’accepter c’est que la société dans son ensemble nous méprise et nous déteste.

Un diabétique qui prend de l’insuline tous les jours, un handicapé physique aura toujours de la compassion, de la compréhension et du respect. Un malade mental jamais ! C’est trop tabou car cela touche au cerveau et les gens ignorants qu’ils sont ont peur.

Je n’oublierai jamais ce que les nazis ont fait aux malades mentaux, ni que la France de Vichy les a laissés mourir de faim par milliers. Mais nous n’aurons jamais de reconnaissance.

Par contre nous avons de la chance d’avoir des médicaments qui donnent de très bons résultats malgré les effets secondaires parfois difficiles. Et nous avons aussi la reconnaissance des psychiatres. 

Pour ma part, j’ai été hospitalisé 5 fois entre l’âge de 16 et 21 ans, je ne pensais qu’à la drogue, à l’alcool et au suicide. 
Puis j’ai réussi à reprendre des études universitaires, j’ai obtenu un doctorat en sciences humaines. C’est une satisfaction quelque part mais je ne suis pas inconscient et je sais que mon seul vrai statut c’est celui de bipolaire. On ne guérira jamais de ça mais nous aurons de bons moments et nous devrons nous montrer forts et solidaires dans les moments tristes.

Personnellement je n’ai plus d’amis non plus, et je ne veux pas d’amis en bonne santé mentale car il deviendra toujours un traître ou un lâche. Ce que je dis est dur mais je l’assume et je ne m’intéresse qu’aux personnes malades mentales car elles seules peuvent me comprendre, partager ce que je ressens et ce sont des gens créatifs. 

Courage à toi et soyons solidaires !


   
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Melo
 Melo
(@malette)
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Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 3991
 

C’est pour ça que je veux pas reprendre l’enseignement. En plus je suis bcp plus laborieuse dans mes réflexions depuis que je prends un traitement. Bref. Quelle reconversion pour un ex prof contractuelle?


   
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Francesco74
(@francesco74)
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Posts: 10
 

Bonjour,

La vie professionnelle est déjà redoutable pour des personnes que l’on pourrait qualifier de valides, elle est encore plus dure pour nous. J’ai l’impression de me battre chaque jour pour ma survie dans cette jungle.

J’ai 45 ans, je suis déjà propriétaire de mon appartement uniquement grâce au fruit de mon travail.

Mon objectif d’ici 5 ans et d’ouvrir un gîte dans le Val d’Aoste. J’économise autant que je peux pour ce projet, je ne veux plus dépendre que de moi même 

Ce message a été modifié Il y a 4 ans parFrancesco74

   
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kust
 kust
(@kust)
Famed Member
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Posté par: @francesco74

Bonjour Sara,

Tout d’abord je te félicite pour ton français et tous les efforts que tu fais pour apprendre notre langue.

Moi j’essaie d’apprendre l’italien car c’est la langue de mon grand-père, je l’ai étudiée au collège et au lycée et depuis peu je prends des cours privés.

En ce qui me concerne je suis enseignant en histoire. Il est évidemment impossible d’en parler à mes collègues, je risquerais d’être licencié et mis de côté par la société.

Ce qui est difficile à comprendre mais que nous sommes malheureusement obligés d’accepter c’est que la société dans son ensemble nous méprise et nous déteste.

Un diabétique qui prend de l’insuline tous les jours, un handicapé physique aura toujours de la compassion, de la compréhension et du respect. Un malade mental jamais ! C’est trop tabou car cela touche au cerveau et les gens ignorants qu’ils sont ont peur.

Je n’oublierai jamais ce que les nazis ont fait aux malades mentaux, ni que la France de Vichy les a laissés mourir de faim par milliers. Mais nous n’aurons jamais de reconnaissance.

Par contre nous avons de la chance d’avoir des médicaments qui donnent de très bons résultats malgré les effets secondaires parfois difficiles. Et nous avons aussi la reconnaissance des psychiatres. 

Pour ma part, j’ai été hospitalisé 5 fois entre l’âge de 16 et 21 ans, je ne pensais qu’à la drogue, à l’alcool et au suicide. 
Puis j’ai réussi à reprendre des études universitaires, j’ai obtenu un doctorat en sciences humaines. C’est une satisfaction quelque part mais je ne suis pas inconscient et je sais que mon seul vrai statut c’est celui de bipolaire. On ne guérira jamais de ça mais nous aurons de bons moments et nous devrons nous montrer forts et solidaires dans les moments tristes.

Personnellement je n’ai plus d’amis non plus, et je ne veux pas d’amis en bonne santé mentale car il deviendra toujours un traître ou un lâche. Ce que je dis est dur mais je l’assume et je ne m’intéresse qu’aux personnes malades mentales car elles seules peuvent me comprendre, partager ce que je ressens et ce sont des gens créatifs. 

Courage à toi et soyons solidaires !

Des cognitions dysfonctionelles comme on en voit rarement 


   
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Francesco74
(@francesco74)
Active Member
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Posts: 10
 

@kust


Je suis certainement dysfonctionnel.

Néanmoins, les études montrent que les malades mentaux sont cinq fois plus victimes de violence et d’homicides que les valides. Ces valides, puisqu’il faut bien leur donner un nom, nous considèrent au mieux comme des cinglés dont on se moque allègrement, le plus souvent comme des dangers publics ou des parasites. 
Et pourtant statistiquement nous sommes plutôt inoffensifs vis-à-vis des autres.

Essayez de dire lors d’un entretien d’embauche que vous êtes bipolaire... votre niveau d’employabilité sera bien plus faible qu’un diabétique.


   
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Nicolas ide
(@nicolas-ide)
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Posts: 30
 

Bonsoir Sara, personnellement de mon côté l'abilify me met direct en hypomanie sévère.

Nous sommes bien tous différents. Je te trouve très courageuse d'affronter la maladie avec ce gros sentiment de solitude. 

Pour la stigmatisation assez incroyable que cela puisse paraître ma bipolarité m'a ouvert à beaucoup de personnes. J'ai annoncé ma pathologie à toute ma famille et mes amis. C'est juste génial. Je peux les appeler quand je ne vais pas bien ou trop bien. Ce sont mes garde-fous. Moi je reste prudent au niveau professionnel je me protège même si je ne travaille pas actuellement.

J'ai aussi franchi le pas pour représenter les troubles bipolaires et stigmatisation dans des conférences et ciné débat par le biais de mon association. Je défends les malades et je montre ceux qu'ils vivent à travers mon regard de soignant et de patient avec mon psychiatre. 

  • C'est rigolo de voir les têtes de vos anciens collègues dans la salle. En fait ils sont plus mal à l'aise que moi. 

   
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
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Début du sujet  

Merci beaucoup pour tous ces beaux messages. Mon mari forcement connait la situation car c'est lui à m'avoir amené à l'hôpital deux fois (sur ma demande) et ma famille aussi. Dans ma famille ça fait plus d'une génération que quelqu'un est malade. Le premier était mon grand-paire et à l'époque il y avaient d' autres méthodes que les médicaments malheureusement. En famille le meilleur c'est mon frère pour en parler. Il est aussi Bipolaire type 1 mais quand j'étais enfant nous n'avons pas un grand rapport. Je peux dire que c'est la maladie qui nous à rapprochés. Mon mari il y adorable pour plein de raisons mais il est plutôt en déni. Ma mère est plutôt dépressive. Elle prends des antidépresseur depuis 30 ans. Elle essaie de m'aider au max vraiment, comme elle aide aussi mon frère… c'est une maman quoi! 🙂 Mais bons de fois je vois quel 'elle s'inquiète pour des petites choses.  Même si ma famille me supporte elle est loin. Maintient avec ce confinement je ne la vois plus depuis Noel. 

Je trouve que sa fait du bien d'avoir un forum comme celui-ci pour pouvoir parler. :):):):)


   
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Ange27
(@ange27)
Active Member
Inscription: Il y a 3 ans
Posts: 10
 

Je m'appelle Gwenaelle,

Je suis bipolaire depuis l'âge de 7 ans mais c'est seulement depuis l'année dernière qu'ils ont vu que j'étais bipolaire de type 1 comme toi. Elle m'a mis sous abilifly 400 mg mais comme je prenais un hypotenseur ça m'a donné de l'hypotension donc j'ai du arrêter en plus ça me rendais zombie. Jusqu'à ce que les gens et la police sont venus me voir. Il croyait que c'était mon copain qui me droguait alor que c'est les psychiatres.

J'ai été hospitalisée deux fois a cause de mon compagnon car je ne prenais plus quietapine et la troisième c'est la psychiatre car j'étais sous contrainte médical et je n'ai pas respecté le contrat. 

On m'a diagnostiqué surdouée hypersensible après borderline.il a fallu que le covid vient pour que je fasse une crise maniaque. J'en ai vu plein de psychiatre. Il ne me croyais pas que j'étais bipolaire. Maintenant je suis sous xeplion 50 mg en piqure. J'ai posté pour expliquer ma vie un peu dans "je suis bipolaire depuis 26 ans" si tu veux savoir et discuter avec moi.


   
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Rosadeldeserto
(@rosadeldeserto)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 18
Début du sujet  

@ange27 merci beaucoup pour ton témoignage. Ça du être difficile. Ce n'est jamais bon quand on ce sent pas bien soignés. 

Moi j'ai fini pour changer de psyquiatre. Maintenant je trouve qu'il 'écoute et il est de bon conseil. Je suis sous lithium et pour un bref period sans abilify. J'ai du constater moi-même que j'ai besoin de ce médicament finalement. Mais il me prescrits une petite dose de 5mg. Je me sent stable maintenant. J'espère que tu trouvera aussi un bon psychiatre. J'avais peur de changer mais finalement c'était la bonne chose à faire. 


   
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