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Bonsoir

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a-isb
(@a-isb)
Eminent Member
Inscription: Il y a 5 ans
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Début du sujet  

Bonsoir,

Je ne sais pas à qui m'adresser 

J'ai arrêté mon traitement et je filtre ma psy je pense que je ne suis pas malade finalement. Mais je suppose que l'arrêt brusque de médicament à conduit à une rechute 

Je ne dors plus je suis harcelée par des cauchemars. Je me sens seule et je me sens mourir.

Je ne me supporte plus, crise après crise je suis totalement épuisée et à vif. Je n'en peux plus je ne vois pas la porte de sortie. ça fait si longtemps que je suis comme ça 

Je suis simplement inadaptée à la vie ou au bonheur. Je ne vis plus que pour mon entourage qui m'y force malgré mes supplications. je vivrais la vie d'un autre ça n'y changerai rien, je n'aime simplement pas ça.

Mes parents m'ont imposé la vie pour combler la vacuité de la leur, c'est infligeant. Je ne supporte plus cette  injonction au bonheur.  Je ne supporte pas cet abrutissement médical pour répondre à cette obligation du bonheur. Nous les mal vivants nous sommes mis au banc d'une société qui nous méprise et qui a honte de nous.

Non je n'ai pas envie d'être heureuse, non je n'ai pas envie de vivre. J'ai toujours été comme ça. Je pensais que j'étais malade comme vous mais je n'ai pas guéri et je n'en n'ai pas la patience. Je ne veux pas mourir, je ne veux simplement pas vivre : c'est insupportable.

On m'a fait tellement de mal, on m'a souillé on s'est approprié mon corps maintenant je vais récupérer ce qu'il en reste et partir dignement, je crois. 

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Dans mes rêves je suis attachée, je me dévore les poignets pour mourir.

C'est cela vivre ? 

 


   
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YooY
 YooY
(@yooy)
Honorable Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 648
 

Bonjour, ton récit est poignant et tu as une très belle plume même si c'est sombre ce que tu dis.

Pour répondre à ta question, je pense que c'est plutôt survivre.

Un jour en étant très mal je demandais ce qui était mieux entre sous vivre et survivre...

As tu des moments où tu te sens bien depuis l'arrêt de ton traitement? Avant ça allait?


   
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Samuelle5
(@samuelle5)
Trusted Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 62
 

Je n'arrêterai plus jamais mon traitement puisque oui je sais à présent que je suis malade, alors que je n'y ai jamais cru jusque-là, même après 30 ans de souffrances diverses et variées. Je ne veux plus connaître ce qui s'appelle la bouffée délirante. J'ai incendié tout mes proches, à juste titre parfois. Ils m'ont laissé seule (mes frères et sœur) après la mort de ma mère qui était la seule à avoir de l'indulgence pour moi et jugeait elle qui avait été souvent malade physiquement que la maladie psychique était douloureuse. Mon psy m'a dit que les proches avaient peur d'une contagion qui n'existe pas. J'ai quitté Paris pour m'occuper de ma mère. Je crois que ça les a culpabilisé car aucun d'entre eux n'avaient l'intention de le faire. Maintenant dans cette ville, je suis plus seule que je ne l'ai jamais été. Mais je ne veux pas me laisser couler mais c'est un boulot de chaque heure, chaque jour. Super!!


   
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(@feenyx)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 6 ans
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 Coucou 

Ce que tu écris est exactement ce que je ressentais il y a 2 ans. Je veux pas mourir je veux que ça s arrête disparaître. Je ne veux plus vivre. 

Si vivre c est cet enfer alors merci mais non merci. 

Il se trouve qu un jour ma mère est venue me voir ( je pensais être un boulet néfaste pour elle) elle m a dit je sais ce que tu penses et je t en supplie ne le fais pas je t aime on t aime tu le vois plus mais c est la vérité.

Je suis retournée a l hôpital. Je leur ai dit d entrée que si je me rendais c était pour ma mère. Qu au moins je vivrais jusqu au lendemain. Ça fait 2 ans. Il a fallu tester dixferznt traitement entre ceux qui marchaient pas et ceux qui me rendaient malade. Te dire que je suis guérie est un mensonge. Te dire que je revois les couleurs de la vie que je vais bien 330 jours par an en revanche c est la réalité. 

Pourquoi ne pas parler de ce la' être avec un psy ? Il ne t hospitaliser à pas forcément. Tu ne finiras pas en isolement pour avoir osé demander de l aide 


   
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Nath
 Nath
(@modocool)
Noble Member Admin
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 2279
 

@a-isb

Depuis combien de temps as tu arrêté ton traitement ?

Tu filtres ta psy, mais n'aurais tu pas son mail par hasard si tu n'oses pas l'affronter au téléphone ? De toute façon, elle doit bien se douter que tu as arrêté ton traitement si tu ne vas plus la voir pour le renouvellement.

Tu penses que tu n'es pas malade, mais tu te sens mal. Est-ce qu'il n'y aurait pas une autre alternative qu'en finir ? Est-ce qu'accepter de se faire hospitaliser quelques jours, voire quelques semaines ne te permettrait pas de souffler un peu, d'être bien entourée et de tester un autre traitement, si celui que tu prenais ne te soulageait pas assez ?

Tu as perdu espoir, mais il est là quelque part et il t'attend.

Bon courage à toi 😘 


   
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a-isb
(@a-isb)
Eminent Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 34
Début du sujet  

Au tout début ça allait mais là c'est vraiment une agonie.

Je pleure toute la journée, je bouge pas du lit, j'ai quitté mon copain, je ne veux voir personne. Je refuse d'être malade comme je refuse de prendre des médicaments dégueulasses qui me rendent plus malade qu'avant et me mettent en danger.

Je pense que ma psychiatre s'en contrefout. Quand je parle d'hospitalisation je me fais incendier par mes parents.

C'est exactement ça : je suis entre la survie et la sous vie. 

Je deviens complètement parano j'ai l'impression que tout le monde ment, presque comme si j'étais dans un Truman show.  J'ai arrêté le traitement brutalement il y a un mois. Au début je me disais que le syndrome de sevrage c'était des conneries puisque je me sentais très bien et que j'allais pas faire de rechute.

Je suis vraiment fatigué j'ai l'impression que même si je réussi mes objectifs qui sont pourtant pas très grandiloquent je ne serai jamais satisfaite et ma vie n'aurait quand même aucun sens.

J'ai l'impression d'être en permanence en décalage et seule. La vie pour moi n'a pas de goût & pas de couleur. C'est pas comme si j'essayais de redécouvrir quelque chose que j'avais déjà connu.

En tout cas merci à tous pour vos messages. 


   
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Erreur 404
(@feenyx)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 6227
 

euh juste si tu veux te faire hospitaliser ca ne regarde pas tes parents mais que toi . 

 Bon sang j'ai vécu ce que tu vis . 

J'aimerai tellement te dire qu'avec quelques jours ou semaines a l hopital on peut avancer on peut retrouver les couleurs , l'envie de voir du monde ( petit a petit ) . 

Mais justement pour avoir été à ta place je sais que tu ne m ecouteras pas 


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
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Posts: 3016
 

Je voudrais t'aider, te dire que j'ai été très mal, à m'oublier dans une camisole physique pour emmerder un monde qui me dégoutait, que je ne voulais plus .... Et maintenant, je revis , j'ai un traitement qui me convient, je travaille , ce n'est pas parfait, mais c'est normal non ? Je vis, et j'essaie de passer au dessus de ma sensibilité extrême, je viens de  perdre ma mère, et ma fille va accoucher dans 15 j , c'est la vie . Il ne faut pas la perdre, il faut la négocier du mieux possible .... et dans nos cas, ça passe par un traitement, j'en suis persuadée . Ne gâche pas ta vie, car, c'est toi qui la gâche, elle, elle t'attend impuissante, à la fois belle et moche, mais elle vaut le détour ...Passe par là ! 


   
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Nath
 Nath
(@modocool)
Noble Member Admin
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 2279
 

@a-isb

Continue à nous écrire, confie nous tout ce qui te mine, ça ne peut que te faire du bien. Tu n'es peut être pas encore prête à te faire hospitaliser, mais penses y quand même. Noush a raison : ça ne regarde pas tes parents. Ils croient sûrement bien te conseiller, te protéger, mais leur méconnaissance te met en danger. Tu as besoin d'aide. La maladie essaie de prendre le contrôle, mais tu trouveras la force de l'en empêcher, avec un nouveau traitement, des gens qui prendront soin de toi à l'hôpital.

Tu n'es pas inadaptée à la vie ou au bonheur, c'est juste que tu n'as pas encore trouvé le bon chemin, mais sois sûre qu'il existe 😘 


   
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Lili33
(@lili33)
New Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 1
 

Bonjour,

J'ai ete diagnostiqué bipolaire depuis 3 semaines, apres une hospit de 11j, que j'ai extremement mal vecu les 1ers jours, je ne voulais pas me meler aux autres, j'avais honte, je ne me sentais pas a ma place.

Je suis infirmiere, et j'ai eu bcp de mal a accepter l'idee que je sois finalement malade. Mais avec du recul cela me rassure et m'a permis de deculpabiliser et de comprendre mon mal etre depuis 2 ans, mes idees noires, ma parano, mes sautes d'humeurs, ma tristesse permanente etc... tout ca n'est pas moi mais la maladie.

J'etais sous anti depresseurs depuis 2 ans ce qui n'a fait que me faire plonger un peu plus.

Maintenant je suis sous abilify.

Ca va bien et cette hospit a ete au final benefique et positive.

Attention au syndrome de sevrage, il peut etre tres dangereux avec une augmentation de tous les signes de la depression et notamment le risque de passage a l'acte.

Je l'ai connu avec l'arret brutal des anti depresseurs, et plus jamais je ne ferai cette grosse erreur. Je vomissais tous les matins, je vivais en permanence dans la peur et l'angoisse de tout, je ne pouvais meme plus aller faire mes courses toute seule. Tout est rentré ds l'ordre quand j'ai compris et que j'ai repris mon medicament.

Je pense que l'hospit est une etape vitale et necessaire a l'acceptation et au mieux vivre. La principale therapie se fait au contact des autres personnes hospitalisees atteintes du meme trouble, je l'ai bien ressentie.

Ne crois plus que ton devenir est une fatalité, tout ton mal etre, ta tristesse, tes idees negatives....

 Aussi anciens soient ils ne sont pas toi mais cette maladie, et tu PEUX t"en sortir, crois moi.

N'hesites pas a revenir vers moi si tu as des questions.

Je te souhaite du courage tout plein et surtout prends toi en main une bonne fois pour toute.

Lili.


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 3016
 

Bonjour tout le monde,

Toutes les réponses ici sont vraies , le traitement nous sauve , sans nous sommes anéantis . Excuse moi si je suis un peu trop cash ,  a-isb, mais ton traitement n'était surement pas adapté, il faut en trouver un autre, mais pas arrêter !

Lili33, moi aussi, je suis infirmière, et j'ai mis plus de temps que toi à accepter, 8 ans, les malades c'était les autres mais pas moi !


   
yannoff reacted
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Aurore83
(@aurore83)
Active Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 11
 

 Bonjour je me permets de vous écrire car je pense que le message que je viens de faire n’est pas passé. Voilà je suis diagnostiquée depuis 2008 bipolaire au cours de ces années j’ai fait beaucoup de rechute et d’hospitalisation car pour moi je n’étais pas malade et je n’acceptais pas cette maladie et donc a chaque fin de sortie d’hospitalisation je me sentais mieux dans mon corps et dans ma tête du coup j’arrêté les médicaments et il suffisait d’un élément perturbateur une année plus tard  pour que je refasse une rechute. Mais pour moi c’était difficile de me dire que j’étais bipolaire car après une hospitalisation en février 2012 j’ai arrêté mes traitements pendant trois ans et je n’ai fait aucune rechute jusqu’à Qu’il y est un événement perturbateur  en mai 2015 . Depuis janvier 2017 je suis très bien stabilisé et je prends correctement mon traitement je suis sous lamictal  un comprimé le matin et le soir. Pourquoi je me suis mis sur ce forum car depuis plusieurs mois même une bonne année beaucoup de questions fusent dans ma tête concernant une grossesse avec cette maladie. Mon mari est vraiment impliqué dans ce projet et son désir  de la conception d’un enfant dans les mois à venir est très grand. Moi le désir Y est aussi  mais je panique énormément. Car pour moi je suis pas dans l’optique de vouloir prendre mes traitements durant ma grossesse car j’ai peur de malformation donc d’avoir un enfant handicapé ou un enfant qui aura de gros problèmes de santé.  Car lors d’une grossesse on conseille bien aux femmes de ne pas prendre de médicament quel qu’il soit même du Doliprane ou un Spasfon.  Nous avons quand même des médicaments bien plus fort du coup ça me fait très peur. Avant de quitter la région parisienne j’ai été voir trois psy quatre donc dans le privé et j’ai évoqué ce projet à les écouter pour eux il faut prendre le traitement et d’un autre côté ce qui me pose beaucoup de questions c’est que ma belle-sœur est bipolaires sont psychiatre lui avait dit que si vous désirez avoir un autre enfant vous me  prévenez Et nous arrêter votre traitement de trois mois à l’avance. Donc les discours des psychiatres peuvent être différent pour moi c’est très compliqué dans ma tête car soit je prends le risque de faire une grossesse sans médicaments et tout se passe bien lors de ma grossesse et donc aucun risque pour l’enfant mais possibilité d’une rechute après la grossesse. Ou soit je prends un traitement durant ma grossesse et des risques de malformations pour enfantsOu autre à la naissance je ne sais vraiment pas quoi faire je suis perdu si vous pouviez m’aider un peu à y voir plus clair ou me partager vos expériences merci de vos réponses.


   
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kust
 kust
(@kust)
Famed Member
Inscription: Il y a 7 ans
Posts: 3055
 
Posté par: Aurore83

 Bonjour je me permets de vous écrire car je pense que le message que je viens de faire n’est pas passé. Voilà je suis diagnostiquée depuis 2008 bipolaire au cours de ces années j’ai fait beaucoup de rechute et d’hospitalisation car pour moi je n’étais pas malade et je n’acceptais pas cette maladie et donc a chaque fin de sortie d’hospitalisation je me sentais mieux dans mon corps et dans ma tête du coup j’arrêté les médicaments et il suffisait d’un élément perturbateur une année plus tard  pour que je refasse une rechute. Mais pour moi c’était difficile de me dire que j’étais bipolaire car après une hospitalisation en février 2012 j’ai arrêté mes traitements pendant trois ans et je n’ai fait aucune rechute jusqu’à Qu’il y est un événement perturbateur  en mai 2015 . Depuis janvier 2017 je suis très bien stabilisé et je prends correctement mon traitement je suis sous lamictal  un comprimé le matin et le soir. Pourquoi je me suis mis sur ce forum car depuis plusieurs mois même une bonne année beaucoup de questions fusent dans ma tête concernant une grossesse avec cette maladie. Mon mari est vraiment impliqué dans ce projet et son désir  de la conception d’un enfant dans les mois à venir est très grand. Moi le désir Y est aussi  mais je panique énormément. Car pour moi je suis pas dans l’optique de vouloir prendre mes traitements durant ma grossesse car j’ai peur de malformation donc d’avoir un enfant handicapé ou un enfant qui aura de gros problèmes de santé.  Car lors d’une grossesse on conseille bien aux femmes de ne pas prendre de médicament quel qu’il soit même du Doliprane ou un Spasfon.  Nous avons quand même des médicaments bien plus fort du coup ça me fait très peur. Avant de quitter la région parisienne j’ai été voir trois psy quatre donc dans le privé et j’ai évoqué ce projet à les écouter pour eux il faut prendre le traitement et d’un autre côté ce qui me pose beaucoup de questions c’est que ma belle-sœur est bipolaires sont psychiatre lui avait dit que si vous désirez avoir un autre enfant vous me  prévenez Et nous arrêter votre traitement de trois mois à l’avance. Donc les discours des psychiatres peuvent être différent pour moi c’est très compliqué dans ma tête car soit je prends le risque de faire une grossesse sans médicaments et tout se passe bien lors de ma grossesse et donc aucun risque pour l’enfant mais possibilité d’une rechute après la grossesse. Ou soit je prends un traitement durant ma grossesse et des risques de malformations pour enfantsOu autre à la naissance je ne sais vraiment pas quoi faire je suis perdu si vous pouviez m’aider un peu à y voir plus clair ou me partager vos expériences merci de vos réponses.

 

le Lamictal peut se continuer pendant tous les stades de la grossesse

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ver00
(@ver00)
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Bonjour  Aurore83,

 

C'est pas compliqué, il y a des médicaments tératogènes et d'autres non . Le spasfon et le doliprane ne le sont pas, donc pas dangereux pour le bb, c'est connu tout ça ! Ma fille est enceinte, et pharmacienne, elle a pris du spasfon , pour ton médicament regarde s'il est dangereux pour le bb .


   
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Aurore83
(@aurore83)
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Mercii de ton retour c’est gentil . mais bon quand tu vois le gros triangle égal danger avec une grossesse pour se médicament sa laisse à désirer et bcq de réflexions 


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
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Les femmes enceintes ne veulent pas prendre de médicaments, c'est une peur ancestrale, bien sur quand on n'en a pas besoin c'est bien . Mais quand c'est nécessaire, il ne faut pas avoir peur de les prendre, c'est idiot, des études sérieuses sont faites pour ça, chez les animaux , il faut avoir confiance .


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
Inscription: Il y a 6 ans
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Bah oui, si le médicaments est dangereux, tu ne le prends pas, c'est tout . Ton psy peut peut être te donner autre chose ? Sinon, tu t'en passes le temps de la grossesse, tu sais que tu prends un risque, mais ça se passera peut être bien, j'ai entendu que pas mal de femmes enceintes font ça .


   
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kust
 kust
(@kust)
Famed Member
Inscription: Il y a 7 ans
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Le lamictal peut se continuer pendant tous les stades de la grossesse 


   
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Aurore83
(@aurore83)
Active Member
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 Quand vous dites des femmes qui ont fait ça  vous parler  Des femmes bipolaire qui ont arrêté Leur traitement ? Pour l’instant je viens de déménager je suis en attente pour un psy car c’est très compliqué pas mal de psychiatre ne prennent pas de nouvelles patientes.


   
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a-isb
(@a-isb)
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Début du sujet  

Mon traitement était plus ou moins adapté je n'avais quasiment pas d'effet secondaire 

Cependant je ne fais pas d'épisode maniaque en principe et depuis la prise de tous ces médicaments, je me suis retrouvée dans des états vraiment dangereux tant pour moi que pour mon entourage. 

Le Lamictal n'a pas été étudié suffisamment longtemps pour savoir si il n'y a pas de dommages irréversibles sur le long terme. En France on n'en parle pas beaucoup mais j'ai lu des articles en anglais où ils disent que ça provoque des des problèmes de mémoire et d'angoisse.

 


   
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kust
 kust
(@kust)
Famed Member
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Posté par: Aurore83

 Quand vous dites des femmes qui ont fait ça  vous parler  Des femmes bipolaire qui ont arrêté Leur traitement ? Pour l’instant je viens de déménager je suis en attente pour un psy car c’est très compliqué pas mal de psychiatre ne prennent pas de nouvelles patientes.

 

et bah vous tracassez pas la tête, votre psy une fois que vous en aurez un se renseignera et il verra que le Lamictal pendant la grossesse pose pas de soucis

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et bah

   
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