Notifications
Retirer tout

Compatibilité entre travail et mode de vie

8 Posts
7 Utilisateurs
0 Likes
1,252 Vu
Bulky
(@bulky)
Eminent Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 38
Début du sujet  

Bonjour bonjour

Je suis en remontée, mais je n'ai toujours pas les idées qui fusent. Alors plutôt que de glander, je viens vous proposer de faire du brainstorming détaillé

L'idée est de faire un étalage des métiers qui peuvent être compatibles, ou non, avec le fait d'avoir un traitement neuroleptique et d'avoir des périodes invalidantes. A des fins d'utilité publique (des nouveaux tomberont peut-être sur le sujet), je vous demande de ne partager que du concret, à savoir des retours sur expérience vécue

Enfin, à cause des effets secondaires de certains médocs (membres lourds, baisse de tension, surexcitation...), des précisions sur vos heures d'éveil/sommeil, ainsi que sur l'heure de prise de votre traitement sont à prendre en compte afin de rester objectifs et pertinents

En espérant que cela serve de repère à ceux qui en ont besoin


   
Citation
kust
 kust
(@kust)
Famed Member
Inscription: Il y a 7 ans
Posts: 3055
 

Moi : 50h par semaine 

Travail a très haute responsabilité 

Xeroquel avant le coucher 

 

Mon expérience : j ai vu des chefs d entreprise et des médecins sous psychotropes "lourds", aucun problème 

Annonce

 


   
RépondreCitation
esmeeweatherwax
(@esmee)
Noble Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 1328
 

 39h par semaines, variable. pas des masses de responsabilités. arret maladie d'au moins un mois 2 ou 3 fois par an, j'ai l'immense chance d'avoir un prevoyance en beton armée (je suis payée à taux plein en arrêt ).

seroplex 5 mg depuis 2 ans le matin, je viens de rajouter 5 mg le soir. je dors parfois 14h par jour, parfois 5h.


   
RépondreCitation
 Anonyme
Inscription: Il y a 54 ans
Posts: 0
 

Je travaille dans le domaine administratif (secrétaire - bas de l'échelle), entre 35 et 37,5h par semaine. Responsabilités variables selon les entreprises, j'ai connu l'ennui profond comme la surcharge de travail. Arrêt maladie annuel pour dépression au moment de l'hiver, généralement de décembre à avril-mai.

Les plus : 

- Heures fixes, 8h-18h, possibilité de conjuguer le rythme de travail avec un rythme de sommeil stable (Pas comme dans la restauration où on peut te faire débaucher à 7h du matin comme à 16-17h),

Les moins :

- En général on travaille dans un service, avec des collègues au sein d'un open space. Pas facile de conserver des relations cordiales avec des gens qui nous voient au quotidien passer littéralement de l'entrain fébrile et la bonne camaraderie au renfermement social.

- Jusque là je ne suis pas tombée sur une hiérarchie compréhensive. Virée plusieurs fois à cause de mes arrêts maladies à répétition.

 

Je suis à 650 mg de Xeroquel par jour + 3 mg de mélatonine pour favoriser le sommeil au coucher. Je peux dormir 14h par jour comme 2h. 

Ce message a été modifié Il y a 5 ans par

   
RépondreCitation
Bulky
(@bulky)
Eminent Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 38
Début du sujet  

Traité depuis 2 ans, mémoire effective depuis 1 an,
Quétiapine/Xeroquel 2h avant le coucher

Pas d'emploi actuellement

Expériences passées, avec et sans traitement : 

- Téléconseiller (de 18 à 28 ans, sans traitement) : 
Métier facile d'accès, quotidien répétitif, tendance au travail solitaire, en contact verbal permanent, en position assise (fragilise le dos)

- Aide-soignant (6 mois, sans traitement) :
Sur examen, quotidien diversifié, tendance au travail en équipe, en contact physique permanent, en position debout, port de charges lourdes (fragilise le dos)  

- Menuisier (1 an, sans traitement) :
Facile d'accès, quotidien diversifié, tendance au travail solitaire et en équipe, en contact physique permanent, en position debout, port de charges lourdes (fragilise le dos)

- Cuisinier (6 mois, avec traitement) : 
Très facile d'accès, quotidien répétitif, tendance au travail en équipe, en contact physique permanent, en position debout, port de charges lourde (fragilise le dos)

- Travail saisonnier (fleuriste) : 
Facile d'accès, quotidien répétitif et diversifié, tendance au travail solitaire et en équipe, en contact physique permanent, en position debout, port de charges


   
RépondreCitation
ver00
(@ver00)
Famed Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 3016
 

Je fais une moyenne , je dirais 66 h par semaine . Je suis infirmière libérale, bipo de type 1, le pire ; que des grosses manies, addictives . Je ne prends que 10 j de vacances par an , pas d’arrêt depuis ma dernière hospi en 2010, abilify 10 mg le soir . 


   
RépondreCitation
Purasana1733
(@purasana1733)
Eminent Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 33
 

Moi je suis dans la même boîte depuis le début ou j' étais comptable et une belle carrière devant moi puis tout s'est écroulé après 3 crise et des absences de 6 mois a chaque crise.

jesuis encore dans la même boîte avec le statut d handicapé mais plus aucune responsabilité je continue a bosser pour me donner et m'imposer un rythme de vie. Je suis redescendu aide comptable. Avec du temps accordé en plus pour réaliser les tâches.

Je suis laissé a part dans l entreprise.

On m a proposé de rester chez moi.

En étant MDPH mais je préfère continuer a bosser.

Très peur de m ennuyer car je suis seule

Je fais 40h par semaine 


   
RépondreCitation
veve
 veve
(@veve)
Trusted Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 97
 

@purasana1733

Salut

je comprends ce que tu vis pour le vivre moi-même...Là je suis en arrêt depuis janvier mais je me sens incapable de reprendre le rythme du travail,angoissée à  mort de retrouver les collègues qui me mettent systématiquement à l'écart;je dois voir l'expert le 5 septembre en espérant qu'il me mettra en CLD;ça aurait l'avantage que je ronge pas mon frein au point d'envisager de prendre un arbre et d'en finir sans le dire à personne.


   
RépondreCitation
Annonce
Annonce
Annonce