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Amitié et bipolarité - de l'enfer des relations sociales

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ver00
(@ver00)
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C'est bizarre, Lucie, d'avoir encore des up avec le traitement, moi, ça ne m'arrive plus .


   
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Kratos
(@kratos)
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Posté par: Lucie

@kratos,

Je suis diagnostiquée depuis fin 2014, j avais arrêté le traitement et psy après 4 mois et repris tout fin 2017 après un passage à l HP, avec un traitement et psy qui me convient. Je suis bipolaire depuis l adolescence et la bipo c est aggravée avec les années, avec des troubles anxieux en plus et gros boom en 2011 sur ma qualité de vie. Je vis bien ma bipo depuis 2017 et le traitement me sauve la vie. Oui, c le combat quotidien et surveillance. Je vois assez rapidement, mes changements. Je suis en UP depuis quelques jours. Je m oblige à dormir, me réveille au bout de 4h, mais m oblige à re dormir pour avoir 6-8h de sommeil. Je viens de reprendre du seresta aujourd'hui pour gérer mon hyperactivé, je m oblige à m arrêter, ne pas commencer trop de choses, ne pas suivre toutes les idées de mon cerveau. Les choses sont bcp plus facile à faire. Certains bloquages, évitement ont disparus et TOC disparu. ça fait du bien, mais je sais que je dois faire attention de ne pas monter dans l irritabilité, le stress. Pour le moment, je gère, très bien. Je vais m appuyer sur le seresta. Un peu déçu, car je m en était sevré, mais il vaut mieux. Ça me démange de faire plein de choses, ça m énerve de ne pas les faires, mais je vais gérer entre travail et détente, enfin, je l espère 😉

Je me retrouve dans ce que tu décris  et ça fait du bien de ne pas se sentir seul 🙂 

De ce que je lis, tu sembles mieux dompter la maladie, c'est top. 

En espérant que le récit de ce que nous traversons aidera ceux qui liront ces lignes. Pour info, je me suis créé un compte auprès es d'une association pour les personnes dites hypersensibles. Apparemment, certaines d'entre elles sont bipolaires. Je pense que ça peut aider d'aller à la rencontre d'un groupe de parole. Ça peut être libérateur et aider à entrevoir des solutions.

Je pense notamment à l'insertion ou réinsertion professionnelle qui n'est pas évidente. Tu arrives à te stabiliser professionnellement ? 


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
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@jean, je ne comprends rien ! Tu as rencontré une autre personne ?


   
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ver00
(@ver00)
Famed Member
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@Jean, tu as voulu te suicider ? Sois plus simple, je ne comprends rien .


   
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icetiben
(@icetiben)
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Posts: 13
 

Salut

Idem pour ma part. Un à deux amis que j'ai rencontré au sport.

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J'aime aller vers les gens mais je suis assez "pot de colle" car je veux toujours être entouré. J'envoi des messages régulièrement, je propose des choses et je pense que je peux être saoulant. 

J'avais essayé de créer des liens avec des couples d'amis dans notre entourage mais cela n'a duré qu'un temps. Plus de nouvelles aujourd'hui à part à l'école de ma fille. Et encore, c'est parce que je demande.

Par contre, en phase dépressive, je ne souhaite voir personne et ça ne me dérange pas d'être seul.

Plus on prend de l'âge et plus c'est compliqué de se faire des amis. Les gens ont leur vie, leur parcours, leurs habitudes surtout. Pas facile de rentrer dans la vie de quelqu'un. 

Aprés, je ne remet pas la faute seulement sur la bipolarité. Il y a aussi le comportement à adapter. Je me suis retrouvé tout seul trés tôt en me renfermant (dû à internet dans les 2000). Je suis même devenu accros au porno donc c'est pour dire à quel point j'ai délaissé le côté amis et même amoureux.

Bon courage.


   
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Samuelle5
(@samuelle5)
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Avant que la bipolarité se déclare j'étais douée en amitié, je me faisais plein d'amis même affligée d'une grande timidité que je masquais par l'humour et beaucoup de questions posées aux autres et qui les intéressaient. A chaque phase maniaque j'ai perdu un grand nombre d'amis. Je me suis faite des potes ayant des problèmes psychiques grâce à internet vers 2008. Idem je les ai perdu au fur et à mesure. Pourtant j'ai construit deux forums psy qui ont bien marché et que j'ai chaque fois faits exploser en vol, à cause de conflits interne. Je me demande à présent que je suis stabilisée comment me faire des potes ? Je suis tellement isolée...


   
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Lenore
(@lenore)
Trusted Member
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Je relance ce topic qui correspond pile poil à une des problématiques de ma vie : la capacité (ou plutôt l'incapacité) à garder des amis et une vie sociale "normale" quand on est bipolaire.

Deux fois ces dernières années, j'ai vécu une histoire malheureuse avec un groupe d'amis. La première a été de loin la plus douloureuse : je vivais véritablement une relation fusionnelle avec eux (surtout avec l'un d'entre eux), c'était ma meute, mon fragile équilibre dans ma vie. Malheureusement, je n'étais pas encore diagnostiquée bipolaire à ce moment-là et je ne me contrôlais pas bien (forcément, puisque j'ignorais ce que j'étais). Ils ont subi mes phases maniaques et dépressives, jusqu'au jour où ils ne l'ont plus fait. Rejet absolu, des mots très durs (l'un d'eux m'a dit que j'étais "toxique", je ne l'ai toujours pas digéré). Avec le recul, je ne peux pas leur en vouloir, je sais bien que cela venait de moi, mais... Ils me manquent terriblement.

Le second groupe était trop jeune, je pense. Même schéma : beaucoup de proximité, surtout avec l'un d'entre eux en qui j'avais une confiance absolue (grosse erreur). C'est quand ce dernier m'a abandonnée que j'ai été diagnostiquée bipolaire (après une tentative de suicide). Cette fois, c'est moi qui ai pris mes distances, car je voyais bien que l'histoire se reproduisait. Les choses étaient un peu différentes, ils savaient que j'étais bipolaire, mais personne n'a fait l'effort de se renseigner sur la maladie donc j'en ai conclu que ça n'en valait pas la peine, pour eux comme pour moi.

Mais maintenant, la solitude me pèse. J'ai vraiment besoin de vivre des moments de complicité avec des gens. Seulement, comment faire ? Dois-je faire passer des castings à des gens, en mode "attention je suis bipolaire, donc renseigne-toi sur la maladie, interro la semaine prochaine pour voir si tu prends la chose au sérieux" ? C'est d'autant moins simple que je suis jeune maman, mon compagnon est plutôt casanier, bref, je n'ai pas le climat idéal pour faire de nouvelles connaissances.

Si vous avez des idées, je suis preneuse ! 🙂


   
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 Anonyme
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C’est compliqué de se faire des amis quand on est dans la fusion. Je suis comme toi j’ai vécu des relations trop fusionnel les qui sont tombées à plat. Depuis j’ai appris à garder mes distances et je ne me fais que très peu d’amis en réalité. Je suis surtout avec ma petite famille et j’ai gardé le contacte avec de vieux amis d’il y a 20 ans.

peut être qu’avec l’aide d’une psychothérapie tu pourras apprendre à moins entrer en fusion avec les gens et ainsi avoir des relations plus sereines.


   
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Kratos
(@kratos)
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Posté par: Elo

C’est compliqué de se faire des amis quand on est dans la fusion. Je suis comme toi j’ai vécu des relations trop fusionnel les qui sont tombées à plat. Depuis j’ai appris à garder mes distances et je ne me fais que très peu d’amis en réalité. Je suis surtout avec ma petite famille et j’ai gardé le contacte avec de vieux amis d’il y a 20 ans.

peut être qu’avec l’aide d’une psychothérapie tu pourras apprendre à moins entrer en fusion avec les gens et ainsi avoir des relations plus sereines.

@Lenore,

Je partage le conseil d'Elo sur le fait d'en parler en psychothérapie, afin d'être moins en relation fusionnelle. 

A mon avis, il est bienveillant pour toi de prendre un peu de hauteur sur les relations que tu te fais, même si c'est dans ton tempérament de tout de suite accrocher et de vouloir faire plein de choses avec ces personnes. Je fais moi même cet exercice, et même si c'est moins exaltant que de faire plein de rencontres, c'est moins douloureux à l'arrivée. Ce qui ne veut pas dire que je me ferme. 

En faisant cela, tu te respecteras en tant que personne, qui peut avancer non pas avec le regard exclusif des autres, mais avec les soutien des autres. Il y a une nuance qui me paraît importante.

Je pense que ça requiert une confiance en soi et un amour de soi que tu pourrais travailler en psychothérapie, si tu en ressens le besoin 😉

Tout cela t'aidera peut être à appréhender les relations amicales différemment moins dans le besoin de l'autre que dans la volonté de créer un groupe soudé. En ce sens, il me paraît pertinent d'évoquer tes difficultés à tes nouveaux amis que tu estimeras de confiance. Je dis bien difficultés et non maladie car nommer la bipolarité peut faire peur. Alors que simplement évoquer les difficultés que tu rencontres à cause de cette maladie ne sera pas perçu de la même façon. J'en ai fait l'expérience. De plus, si ce groupe te rejette alors que tu parles de qui tu es intrinsèquement, avec tes difficultés, c'est que tu n'as pas perdu grand chose... C'est ma vision en tout cas 🙂 


   
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olivier
(@pistolstar)
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Posts: 368
 

Salut, je suis pas forcément un modèle en sociabilité.

Souvent j'aime être seul, mais comme tout le monde je pense j'ai besoin d'un environnement sociale.

Au sortir de 5 ans de total instabilité émotionnelle, entre manie et dépression, il me restait une amie , mon ex. Et petit à petit, au sortir de la dépression, au début avec les sorties au travail, puis avec les amis d'amis, etc, depuis 3 ans j'ai reconstruis, à 400km de ma ville natal, un groupe d'amis viable et pérenne. Bon c'est un peu folklorique parfois mais c'est pour ça que c'est cool, c'est ce qui me plais.

Je cultive plusieurs type de relations je dirais :

Des relation distendues (certains anciens amis que j'appelle un fois par ans), ce sont d'ancien très bon amis avec qui j'ai gardé le contact. J'en ai deux trois comme ça vraiment proche et loin à la fois. Quand on se revoit notre relation broute un peu avant qu'on se retrouve, on voit comment on a évoluer et on se respecte c'est cool.

Des relations proche, deux trois amis très proche que je vois minimum une fois par semaine.

Et une myriade de relations de potes. Des gens que je connais que je côtoie mais qui ne sont pas des amis. Des potes de soirée ou de sport ou des relations de travail.

Mon problème a moi c'est plutôt un blocage avec les nanas. Dès que je sens qu'il y a quelque chose je me bloque. Bref c'est pas le sujet même si du coup ma solitude a moi est plutôt affective. Et ouais les potes ça fait pas l'amour et ça s’emmitoufle pas avec soit en matant un film...

Bref.

C'est clair que plus on grandit plus c'est dur de trouver des vrais amis. Avec l'experience des années notre personnalité s'est affirmé, et on sait très vite reconnaitre chez les autres les défaut que l'on souhaite éviter. On choisit pas sa famille mais on choisit ses amis comme on dit.

J'aime bien les nouvelles rencontres mais c'est sûr que mes amis très proches sont assez fixe. Et parfois je sens chez quelqu'un ce forcing pour rentrer dans ma vie. Et c'est clair que directement quelqu'un qui nous appel tout les jours et qu'on connais depuis deux semaines, ça fait peur.

Au final les amitiés fortes se construisent entre ceux qui sont a leur recherche, c'est comme les couples. Si on arrive au milieux d'un groupe de potes soudé c'est très dur d'y rentrer et de s'y faire une place. Mais si on côtoie un peu de gens même sans chercher a se faire des amis pour la vie, forcément au bout d'un moments des liens se créent.

Par contre deux personne esseulée peuvent très vite devenir comme cul et chemise. Mais attention dans ces moments là l'amitié c'est encore plus dur a doser que l'amour. Il ne faut pas étouffer la relation, savoir être là sans être dans l'excès. Faire gaffe à la jalousie, ça peut faire peur un amis jaloux qu'on ne soit pas tout le temps avec lui.

En gros pour moi comme dans beaucoup de relation humaine,  l'amitié c'est comme un feu, en même temps que de la chaleur et de la matière il lui faut de l'air pour brûler.

Mais alors pour rencontrer des gens, surtout si on bosse pas. C'est là que ça se corse. Des activités, sport collectif, club de fitness, jeux de sociétés (il y a pas mal de club en ville), OVS (on va sortir pour ceux qui connaissent) ça permet de rencontrer des gens, et à la fin d'une séance de sport lâcher un petit "on va boir un coup ?".

Cas extrême, si vous voulez rencontrer des gens et que vous habitez un bled de 200 quidam à 50 bornes de la première grande ville, que vous bossez pas, avez pas de voiture, pas d'activité. Alors il faut se donner les moyens de ses ambitions, ça peut paraitre gros, mais déménager, acheter un voiture, s'inscrire dans des clubs, se mettre dans un environnement propice aux rencontres c'est déjà une bonne base. 

Ensuite les humains on est des animaux grégaires, on aime ce qui nous ressemble, alors si vous voulez être pote avec des sportif soyez des sportifs, avec des geek soyez geek. Rencontrer quelqu'un et le prendre d'un coup comme grand modèle de la vie aussi c'est un truc qui peut être très flippant. Avoir une personnalité affirmé dans ses hobbit et dans ses convictions c'est pas mal. Mais du coup ça filtre.

Je redis pour moi le truc de base de l'amitié (et de l'amour) c'est le fuis moi je te suis. Si on est trop collant c'est vraiment pas bon. Vivre et laisser vivre c'est un principe de base dans l'amitié. Si les deux s'attirent trop tout le temps au bout d'un moment ça pète (et en amour aussi).

Le fuit moi je te suis ça marche au début, pour la phase d'approche après faut quand même un minimum de retour, mais il faut savoir être là sans être étouffant.

Voilà ça fait un peu coach tout ça mais je pense pas que ce soit trop faux.

 

 

   
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Lenore
(@lenore)
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@Kratos : La difficulté réside justement dans le fait que... je ne sais pas comment bien le dire, mais en gros j'ai peur, vraiment une peur profonde, de ne plus jamais être heureuse. C'est une angoisse terrible, liée au fait que, la dernière fois que je me suis sentie heureuse, c'était justement dans une relation fusionnelle. Cela va certainement avec le fait que je ne m'aime pas, comme tu le dis. On peut même dire qu'à certains égards, je me déteste. Le travail sera d'autant plus compliqué qu'au niveau des sensations, ce n'est pas quelque chose que je recherche, c'est au contraire quelque chose qui me fait peur.

@olivier : Merci de ton ressenti, ne t'inquiète pas, ma question faisait elle-même un peu "demande de coach" donc bon x) Je retiens quelques idées, à voir !

Merci @Elo, je vais en parler la prochaine fois que je vois ma psychologue, même si j'ai conscience, comme dit plus haut, que je vais avoir peur de le faire. 

J'ai l'impression d'être une brindille qui ressent le besoin de s'embraser.


   
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(@feenyx)
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Lenore, je me retrouve bien dans ce que tu dis . 

Sauf que j ai tellement peur de tout faire foirer que pour devenir ne serai ce qu un ami ben faut s accrocher . Apres avec la maladie c est un peu plus dur de garder sas amis c est vrai . MAis au final ceux qui restent , ceux qui savent et veulent quand meme rentrer dans ta vie generalement ils sont bons ceux la . 


   
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Lenore
(@lenore)
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Je suis tout à fait d'accord, et je suis soulagée d'avoir quelques amis sur qui je peux vraiment compter, qui ont toujours été là. Seulement... ils sont tous très loin, chacun fait sa vie à côté, on se parle très peu au fond (même si le lien est toujours bien présent, j'en ai conscience et cela me rassure).

En fait, j'ai besoin de complicité, de proximité, de partage. Quelque chose qui se fait de manière plus quotidienne.


   
seb reacted
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Erreur 404
(@feenyx)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 6 ans
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Posté par: Lenore

Je suis tout à fait d'accord, et je suis soulagée d'avoir quelques amis sur qui je peux vraiment compter, qui ont toujours été là. Seulement... ils sont tous très loin, chacun fait sa vie à côté, on se parle très peu au fond (même si le lien est toujours bien présent, j'en ai conscience et cela me rassure).

En fait, j'ai besoin de complicité, de proximité, de partage. Quelque chose qui se fait de manière plus quotidienne.

idem. mais j ai ps trouvé la solution encore . 


   
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Purasana1733
(@purasana1733)
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Je me demande si la solution c est d avoir des amies et relations qu avec des personnes qui ont les mêmes sensations que nous. Je me demandes si mes vraies amies ce devraient pas être des bipolaires comme moi. 


   
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Nath
 Nath
(@modocool)
Noble Member Admin
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@purasana1733

Les vrais amis peuvent aussi être ceux qui savent faire preuve d'empathie et qui prendront le temps d'essayer de comprendre.


   
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Purasana1733
(@purasana1733)
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@modocool

Je trouve que malheureusement pas beaucoup de monde essai de comprendre cette maladie, de plus depuis quelques temps la surmédiatisation de cette maladie nous fait beaucoup de tord.

De plus ils existent différentes pathologies et les émissions et films mettent souvent en évidence les extrêmes.

 

Ils est dur d expliquer a une personne cette maladie quand elles a vu des informations qui ne correspondent pas a ma pathologie.

 

 

 

 

 


   
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Nath
 Nath
(@modocool)
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@purasana1733

En général, on ne connait pas trop la maladie et on minimise sa gravité.

Alors il ne tiendra qu'à toi de l'expliquer à ceux qui se donneront la peine de te poser des questions 😉 


   
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Purasana1733
(@purasana1733)
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Il est dur d expliquer a des gens qui ont des idées preconssu. Dans mon travail les gens m ont vu déjà en hyperactivité et normal, ils me comprennent pas, j ai peut être juste une ou deux personnes


   
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Nath
 Nath
(@modocool)
Noble Member Admin
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Ils ne comprennent pas parce-qu'ils ne connaissent pas la maladie et ne savent peut-être même pas que tu es malade ?

On ne peut pas attendre de tout le monde de la compassion, de l'attention, de la curiosité. C'est comme ça. Alors quand, sur le lieu de travail, une ou deux personnes semblent s'intéresser, ce n'est déjà pas si mal et il faut essayer de créer des liens avec elles 😉 


   
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