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Octavie
(@octavie)
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Début du sujet  

Bonjour,

 

Y a-t-il des professeurs des écoles, ici ?

 

Je suis diagnostiquée bipolaire depuis plusieurs années, après avoir fait une crise maniaque à 27 ans. Aujourd'hui, j'ai 30 ans, et je suis auxiliaire de vie scolaire en collège, et ça se passe très bien. Je suis bien dans ce travail, j'aime accompagner mes élèves et leur apporter l'aide dont ils ont besoin. Je passe pour une très bonne "professionnelle" (je mets entre guillemets, car on n'a pas vraiment de statut en tant qu'AESH).

A la base, je suis titulaire d'un master de recherche, et j'ai aussi un diplôme d'éducatrice Montessori. Bref, je suis un peu sur diplômée par rapport à mon boulot.

 

Mon problème, c'est qu'à chaque fois que j'ai eu l'occasion d'avoir un boulot un peu mieux, avec des responsabilités, un vrai salaire et un temps complet, et bien j'ai abandonné au bout de... quelques semaines. A chaque fois, je tombais en dépression profonde avant de commencer le taf et me retrouvais incapable d'assurer ma mission. Ces dépressions duraient de 6 à 9 mois. 

Aujourd'hui, j'aimerais pouvoir gagner ma vie, et je me demande si je serais capable d'être professeure des écoles. En tant qu'AESH (= accompagnante des élèves en situation de handicap), je gagne 972€ par mois, donc c'est un peu compliqué...

J'ai été animatrice plusieurs années en maternelle. Je fais aussi du soutien scolaire à côté en ce moment, et quand je vais bien, j'adore travailler avec les enfants.

Mon problème, c'est mon instabilité, et le fait qu'avoir des responsabilités me fait perdre tous mes moyens.

Je suis une personne timide, et faire face à toute une classe me fait peur. Je me débrouille très bien quand il s'agit d'accompagner individuellement des élèves, mais quand il faut gérer un groupe, je suis nulle. J'ai travaillé un mois dans une école Montessori, et c'était le bordel dans ma classe. J'étais en complète dépression, et les enfants ne m'écoutaient pas du tout. La seule chose dont j'avais envie à cette période, c'était de rester allongée dans mon lit et de n'en plus bouger.

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J'ai mal digéré cet échec, et reste du coup dans cet emploi "subalterne" pour ne plus prendre de risques.

Je vois mes amis évoluer, progresser dans leur vie professionnelle, et moi je restes en bas de l'échelle.

 

Si on pouvait gagner sa vie comme AESH, ça ne me dérangerais pas de continuer, mais avec le salaire qu'on a aujourd'hui, envisager l'avenir est difficile.

Je me dis aussi que le statut de fonctionnaire est protecteur quand on a une maladie (peut-être est-ce illusoire ?). Mais je sais aussi que le métier de professeur est stressant, et que gérer une classe au quotidien n'est pas simple.

 

Voilà, est-ce que le métier de professeur des écoles est possible quand on est bipolaire ? Comment avez-vous fait, vous ?

Je n'en suis pas au stade de demander l'invalidité, car je me sens capable de travailler. Je suis stable depuis 1 an et 1/2, mais je crains le moindre changement car je me connais : depuis l'adolescence, ma vie se divise en phases stables, hypomaniaques où je me sens "très heureuse", et en dépressions, où je n'arrive même plus à me nourrir, me laver, m'habiller, faire des projets...

 

Je suis désolé d'avoir écris un si long message. J'espère que l'un ou l'une d'entre vous aura quelques mots à dire sur tout ça, pour me conseiller ou autre. Parlez-moi de votre expérience, et dites-moi qu'il y a de l'espoir :,( .

 

Octavie


   
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philippe
(@fifi72)
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Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 17
 

Bonsoir Octavie , 

Je suis nouveau mais ancien en tant que bipolaire .

j'ai des soucis tout comme toi pour n'importe quel boulot à responsabilités , il me faut beaucoup d'énergies et de maitrise de soi pour accéder aux requètes de mes supérieurs et même pour ce qui est de la vie courante .

et en ce moment me revient les envies de reprendre la bouteille .

fais tu de la méditation ? 

Ou bien d'autres choses comme du sport ou de la lecture ? 

bon  courage 


   
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Octavie
(@octavie)
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Salut Philippe,

 

Par envie de reprendre la bouteille, tu veux dire rebosser ?

 

Non je ne fais pas de méditation, enfin très peu car je n'y penses pas.

Pas de sport non plus, cela m'ennuie ;). Je lis par contre, ça oui, le journal et différents bouquins.

 

Que fais-tu comme boulot ?


   
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mami
 mami
(@lilik)
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Posts: 1
 

salut octavie,

je suis nouvelle dans le site, l'orientation professionnelle est un sujet qui m'a souvent trotté la tete. j'etais eleve ingenieur quand la maladie m'est tombé dessus. j'evoluais dans le domaine de l'électricité et aujourdhui je me rend compte que cette maladie est un réel handicap pour reussir dans ce domaine qui est sensible et demande beaucoup de concentration et de sérénité , c'est pourquoi j'ai beaucoup pensé à me reconvertir. En france j' ai entendu parlé d'association qui aide les patients souffrant de troubles mentaux à se reconvertir comme argos 2001 tu devrais essayer de te renseigner. Moi je vis en afrique et on ne  trouve pas ce genre d'opportunités. Sinon essayer de creer une petite entreprise comme les e commerce ou quelque chose que tu pourrais faire chez toi apres avoir economiser de l'argent sans etre sous la directive d'une personne qui souvent ne pourront pas comprendre certaines reactions liees à la maladie si tu arrives a t en sortir tu pourras meme t'offrir un employé. au debut c'est pas evident mais avec un p de chance tu pourras t'en sortir. bonne chance 


   
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Octavie
(@octavie)
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Coucou !

Merci pour ta réponse, tellement compréhensive.

 

Ton idée est bonne, de travailler à domicile, mais je crois que pour le moment, j'aime encore avoir un environnement professionnel, avec des collègues, des horaires, etc.

Je crois que seule chez moi je n'arriverais pas à bosser.

 

Oui je connais Argos 2001, j'y suis allé une fois, récemment. Je pense que j'y retournerais car j'ai besoin d'échanger avec d'autres bipolaires. On peut être vraiment seul avec cette maladie...

Quand j'y suis allé, je n'ai pas eu le temps d'approfondir la problématique du travail, mais j'essaierais de le faire la prochaine fois.

 

Tu as donc conservé ton travail, toi, de ton côté ? Est-ce que cela t'es arrivé d'avoir des interruptions, des arrêts ?

 

Bonne soirée,

 

Octavie.


   
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Laurence
(@flowki)
Eminent Member
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Bonjour Octavie,

J'ai quelques questions pour toi : quand tu as été recrutée comme aesh, as tu déclaré que tu étais bipolaire ? Peux tu accompagner des élèves handicapés psychiques et/ou mentaux ?

J'ai été avs pendant 2 ans de 2015 à 2017 pour un élève d'école primaire handicapé moteur et au moment du recrutement j'ai eu une visite médicale obligatoire où l'on m'a dit d'en faire une seconde avec un psychiatre agréé, qui m'a déclarée apte.

Ce 30 novembre il y aura une session de recrutement d'AESH et j'aimerais avoir ta réponse car je voudrais me préparer.

Merci beaucoup...


   
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 Anonyme
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Posts: 0
 

Bonjour Octavie, 

Je suis prof en collège (regarde pas les fautes d'orthographe, je suis prof d'anglais!). J'ai terminé mon année de stage l'année dernière où j'exercais en lycée à mi-temps et cette année donc, je suis à temps plein (plus 2h sup et professeure principale). 

Ma bipolarité s'est proprement déclanchée l'année dernière. 4 ans de reprise d'études (j'ai aujoud'hui 39+1 ans, maman seule avec 2 enfants) un divorce compliqué m'ont fait basculer de l'autre coté de la barrière. Et j'ai bel et bien sombrée.  

Le truc, c'est que j'ai toujours voulu faire ce métier. Depuis que j'étais haute comme trois pommes, mais la "vie" m'en a empêchée à plusieurs reprises jusqu'à présent. Donc oui, le métier est stressant, mais pour moi mes élèves sont un bonheur (même s'ils peuvent être insupportables de temps en temps!!) Par contre, ce que je gère beaucoup moins bien, ce sont les repas le midi avec les collègues, trop de bruit et de sollitation - j'ai besoin de ma "bulle" à un moment dans la journée, surtout quand je me sens en train de plonger comme en ce moment, et vraiment même si j'ai choisi de manger avec un tout petit commité, c'est quand même difficile - J'aimerais manger toute seule cette semaine, mais j'ai peur des commentaires ou questions ou autres... donc je ne sais pas si j'y arriverai... et pour le coup j'appréhende.

Parfois la gestion de classe peut être difficile, surtout quand je suis fatiguée, mais c'est pareil pour tous les profs je pense. Il ne suffit pas d'être bipolaire pour être crevée au boulot! La semaine dernière j'ai eu 2 journée de 9h à 20.30 avec 1h de pause max non stop - 6hrs de cours et 4hrs de réunion parent/prof. En fin de semaine j'en pouvais plus mais on était plus ou moins tous comme ça.  

Maintenant, quand je suis dedans, devant mes élève et tout, ça se passe bien - en règle générale, mais on a tous nos hauts et nos bas, on n'ai jamais à 100% je pense - par contre, le dimanche soir, tous les dimanche soirs en fait, l'idée de retourner faire cours est presque insupportable parce que j'ai peur d'échouer mes élèves, qu'ils ne progressent pas, que mes cours sont impitoyables etc... et après les vacances, bah je suis au bord de crises d'angoisse. 

J'essaye d'être le maximum honnete avec toi. Personnellement je ne m'imagine pas faire un autre métier. J'ai été assistante d'éducation en angleterre pendant 10 ans avant. En rentrant en france, ce métier que j'adorais aussi n'existait pas et donc j'ai du me reformé, d'où ma deuxième tentative à devenir prof. La transition entre travailler avec un petit groupe d'enfants et une classe entière peut être intimidante au départ, et puis après tu t'y fais! c'est une autre technique mais tu as déjà des atouts en place si tu as travaillé avec ces ages là. 

Peut être d'abord décide avec quel groupe d'âge tu aimerais travailler... Et ensuite pense étape par étape. Une idée qui te permettrait de "tester" les eaux" serait d'être contractuel pendant quelque temps? Et pour ce qui est de la confiance en toi, et la timidité, pareil, j'en ai aucune et je préfèrerais que les murs me bouffent plutot que de parler pendant nos repas le midi, même si nos collègues sont sympas, je ne peux pas parler au petit groupe de 4/5. C'est dejà assez compliquée de parler à une personne! 

Bref, je te laisse... c'est déjà un mini-roman!!! J'espère que ca t'a aidé un peu? 

celine 


   
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Octavie
(@octavie)
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Inscription: Il y a 6 ans
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Posté par: Laurence

Bonjour Octavie,

J'ai quelques questions pour toi : quand tu as été recrutée comme aesh, as tu déclaré que tu étais bipolaire ? Peux tu accompagner des élèves handicapés psychiques et/ou mentaux ?

J'ai été avs pendant 2 ans de 2015 à 2017 pour un élève d'école primaire handicapé moteur et au moment du recrutement j'ai eu une visite médicale obligatoire où l'on m'a dit d'en faire une seconde avec un psychiatre agréé, qui m'a déclarée apte.

Ce 30 novembre il y aura une session de recrutement d'AESH et j'aimerais avoir ta réponse car je voudrais me préparer.

Merci beaucoup...

Salut Laurence !

Non je n'ai pas déclaré ma bipolarité quand j'ai été embauchée. Je n'en avais pas tout à fait conscience à ce moment-là à vrai dire, même si j'avais un traitement. Du coup, je n'ai pas de regrets aujourd'hui car ça se passe très bien. Je ne me suis pas posé la question de savoir si je pouvais accompagner ou non des élèves atteints de troubles psychiques, parce que je ne pense pas que le fait d'avoir soi-même une maladie rende forcément incompétent dans ce domaine, je dirais que le fait d'être très sensible rende au contraire plus compréhensif. Néanmoins si c'était à refaire je pense que je ferais la même chose, je ne le dirais pas à l'entretien d'embauche parce qu'il y a encore trop d'a priori sur la question. Et puis, au fil du temps, je me suis rendu compte qu'il y avait d'autres gens bipolaires dans le collège, au moins deux profs lol. Ce qui m'a rassuré aussi c'est que j'ai été vite considéré comme compétente par le personnel du collège, les profs comme la direction, et du coup cela m'a donné confiance. Mes élèves ont évolué dans le bon sens, donc ça fait plaisir! Je pense qu'il faut être attentif à notre état intérieur, et qui si on ne se sent pas bien, il ne faut pas hésiter à se mettre en arrêt, un jour ou plus. C'est ce que j'ai fait quand j'étais très fatiguée et cela suffisait à me retaper. 

 


   
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Octavie
(@octavie)
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Coucou Céline,

 

Merci pour ta belle et longue réponse !

Ton expérience est très encourageante. ça prouve qu'on peut avoir cette maladie et faire un métier comme les autres. 

En fait moi aussi je suis attiré par le monde scolaire depuis longtemps, et j'ai toujours travaillé avec les enfants, en périscolaire puis comme AESH. 

 

Effectivement, dans la salle des profs je ne suis pas très à l'aise non plus... Par chance j'ai une solution de repli : la classe ULIS où on mange avec les autres AESH, et aussi parfois une petite salle où personne ne va entre midi et deux. J'y ai mangé une fois et ça m'a fait un bien fou de me retrouver seule pour la pause repas. C'était la première fois que j'avais l'impression de faire une VRAIE pause ! Parce que manger dans la salle où on travaille ça n'est pas très agréable non plus.

 

En fait, je me suis décidé il y a un peu plus d'une semaine à préparer une CAPES par le Cned. Je m'y prends tard mais je me sens plus ou moins prête à tenter le coup. Enfin, pour ne pas me mettre de pression je me dis que je prépare le concours et que je le passerais quand je serais prête ^^. Parce que l'idée de me retrouver seule à gérer un groupe d'élèves me fait toujours peur.

Et puis on ne sait jamais quand on va rechuter. Je suis stabilisée depuis presque 2 ans, mais je redoute toujours la survenue d'une dépression par exemple. Ces dernières années c'était ce qui m'étais tombé dessus, et je trouve que ça freine beaucoup dans le quotidien, et pour les projets.

 

Comment as-tu vécu ta première année de stage ? Est-ce que tu a été un peu perdue au début ? 

Rien que l'idée de me faire inspecter, je me dis que cela doit être l'enfer.

 

 

 


   
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Octavie
(@octavie)
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Re Laurence, 

 

Ta question me fait beaucoup réfléchir en fait ;).

Je veux juste du coup rajouter que les élèves dont j'ai eu à m'occuper n'avait pas forcément de problèmes psychiatriques: ce sont des élèves qui font partis des "dys" (dyslexiques, dyspraxiques, etc) et quelques hyperactifs aussi. Avec par dessus ça les problèmes liés à l'adolescence, timidité, désintérêt pour les cours, désinvolture parfois.

En fait je suis comme les autres AESH, il y a des élèves avec qui je suis moins à l'aise ou que je redoute, mais pour l'instant je n'ai jamais eu de soucis avec ceux que l'on m'a attribué. Je pense que c'est un peu de la chance car j'ai entendu des fois des témoignages d'Aesh qui avait vraiment des élèves difficiles. 

Bref en tout cas si tu veux d'autres conseils pour ton entretien n'hésites pas, je te répondrais avec plaisir. 

 


   
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 Anonyme
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Bonsoir Octavie, 

Alors, avoir un métier comme les autres, je ne sais pas dans le sens où l'on a beaucoup plus de choses à gérer... nos émotions, nos sensations etc... et pour le coup c'est plus difficile. Il y a des moments où je suis en surcharge sensorielle et pour le coup il fau savoir s'armer de patience. 

Déjà, le capes j'ai du le passer 2 fois (niveau de français terriblement inadéquat et trop trop angoissée/stressée ce qui n'arangeait pas le français). L'échec était douloureux, mais j'ai survécue 🙂 - j'étais tellement stressée, que je suis sortie pdt les écrits pour me calmer et j'étais censée émarger, sauf que je n'arrivais pas du tout à lire l'heure, mes yeux voyaient les nombres mais ça faisait autant de sens que du chinois. (oui je suis très calme de nature!! lol )

Et l'année de stage, pour toi qui as déjà un M2 ce sera plus facile niveau la fac de l'enseignement, parce que vraiment (vraiment!!!) il faut se les farcir! Ils prenent 2 heures pour dire qq chose qui aurait pu prednre 30 min max et il y a trop de dossiers à rendre (en même temps, ça c'était spécifique à l'anglais dans notre fac. Les autres département l'avait plus cool niveau dossiers etc...) 

Je ne vais pas te mentir, les observations des tuteurs, profs et inspecteur m'ont mis dans tous mes états à chaque fois. En même temps, j'ai été diagnostiquée en mars, j'ai fait un burn-out en janvier (pour plein de truc...donc t'inquiète!) et franchement ça n'a pas aidé à me sentir bien. De plus je suis du style perfectionniste et rien que je puisse faire ne va en règle général (dans ma tête je veux dire). Ce que je te conseille, c'est d'être suivi pas une thérapeute en même temps que ton stage pour que tu es un soutien régulier et que tu ne sois pas tout ça toute seule à gérer tes émotions, ressentis et à déméler tes semaines à chaque fois.  

Si le domaine scolaire c'est ton truc, par contre, vas-y et fonce! Franchement, maintenant que j'y suis à plein temps, je kiffe encore presque plus qu'avant (on se sent plus libre sans toutes ces écheances de la fac) malgré les corrections (ca c'est toujours nul...) la paperasse. 

D'autres questions, et je suis dispo! Si tu passes par le cned, essaye aussi de te rafilier à une espe proche de chez toi, histoire que tu es les bonnes méthodologie pour passer les écrits/oraux etc... les français sont vraiment pénible avec ça! 

Bonne soirée

Celine 


   
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