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Qu'est-ce qui est vert et qui vit sous l'océan ?

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Jo
 Jo
(@titeplume)
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Bonjour 11.22

Je viens de lire tes messages,
(n'ai pas tout compris, je l'avoue je suis en down).
Par contre, si je peux te donner un conseil,
en tant qu'eux spécialisée et m'étant battu
pour la garde de mes enfants,
malgre toute la culpabilite que je sens sortir
par tous les pores de ta peau, malgré ce que tu as
fait, fais toi représenter, non pas pour excuser
tes actes mais pour avoir un jour une chance de
revoir tes enfants et de maintenir un lien avec eux,
même si cela doit se faire dans un environnement
protégé car oui, tu es tjrs leur père,
ils ne comprendront pas cet "abandon".
Donc, j'ai envie de te dire, ne le fais pas

pour ta femme si tu es certain qu'elle 
ne reviendra pas mais fais le pour
tes enfants, eux, c'est à vie.
Il me semble aussi que tu devrais
envisager une hospitalisation, de quoi te trouver
le traitement adéquat, même si tu dois aller
en prison, tu en resortiras! Et cela te protégera
au niveau administratif et financier.
Reconnais tes erreurs, montre que tu existes
et que souhaites t'en sortir et raconte ton histoire,
aux psy, à ton avocat mais ne reste pas ainsi...


   
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marie-lou
(@alice)
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ton erreur,c'est de ne pas t'être fait soigner.


   
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onzevirgulevingt-deux
(@onzevirgulevingt-deux)
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Début du sujet  
Merci pour vos messages et attentions. Prenez soin de vous, aussi. 

   
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Isaac
(@isaac)
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Bonjour 11,22

Comment vas-tu ces derniers jours? As-tu pu un peu remonter la pente?


   
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onzevirgulevingt-deux
(@onzevirgulevingt-deux)
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Début du sujet  
Je suis là. Je vais, équanime. Je compile le temps.
 
Le souvenir s'efface, loin de la race des anges qui m'ont pissé à la gueule leur désespoir.  
 
En mon absence la justice aura certainement tranché une première fois. Un père, au foyer aux côtés de ses enfants depuis leur premier souffle, pour quiconque n'est rien de plus que la somme de ses souvenirs. Les miens seraient de ceux qui risqueraient de laisser des traces, peu importe que cela soit de la merde. La vérité c'est bon pour ceux qui n'ont rien à se reprocher, les bons gens en honnête santé. Un bipolaire à états mixtes et borderline ça fait peur, même quand il va bien il reste malade. Alors ils prendront plus de risques. Jusqu'à m'enfermer. Puis Elle a besoin de me détruire pour se reconstruire, je lui en veux pas, Elle mérite d’être heureuse, de m’oublier en douceur, la bête que je suis fait déjà la morte – vas-y achève moi ! moi je m'achève de T'Aimer...  
Les enfants, mes tout-petits, eux m'ont déjà oublié, comme un pot de confiture ; pour lui ils auront pleuré afin de le récupérer, pour lui, pas moi. J'ai toujours préféré le beurre, demi-sel ; celui qui laisse un goût de larmes en bouche.
La justice poursuivra à contre-rebours, croyant avoir le moindre pouvoir. Rien ne peut sur l'insubstantiel...
 
Ces derniers mois, déjà trois comme une saison, tout le monde croyait que je ferais de nouveau une connerie, du genre foncer les voir et imposer ma folie, ou éructer mes témoignages de cet amour qui les débecte, à leur faire tourner la tête pour ne pas trop le sentir coller sur leur cœur. Mais l'espoir c'est pour les pigeons aux ailes brisés et les amoureux. J'en ai plus la gueule depuis longtemps, et je boite de la caboche.  
 
« Après le mal qu’il nous a fait ! Il est maintenu dans le silence. Il est rejeté. Il est seul. Il a tout perdu. Il n'a plus d'amour, plus sa femme, plus ses enfants, plus de bébé, plus son chien, plus ses affaires, plus d’argent, et depuis longtemps plus de rêves... Nous sommes débarrassés de lui, nous l'avons abattu le monstre, le malade, le gênant, le nocif, le serpent, le… qui déjà ?… On lui a pris sa vie sa vie, tout ce qu’il croyait être, tout ce à quoi il tenait, et en lieu et place ne lui avons laissé que brume et brouillard. Nous lui avons pris ce qui fait sa joie. Et un beau matin, moche comme lui, il s’est éveillé pour constater que son coeur et son âme ont disparu. Une coquille vide, voilà ce qu’il sera devenu – à peine une volute, si fait ; guère plus qu’une terreur à l’instant de l’éveil, ou le souvenir d’une chose oubliée. Creux. … le… qui déjà ?… » je les entends dans les chuintements se répandre de leur jouissance d'avoir triomphé. Le divin et orgueilleux orgasme. Je les plains, ils sont encore plus perdus que je ne l'étais.
 
Auraient-ils oublié ? Je suis le seul à m’être condamné.
Je crois. Peuvent-ils encore m’aider ? 
 
Elle. « Ma » Femme a jeté aux mensonges nos promesses et rires dès le premier instant. Y croyait-elle seulement ? Un entre-temps. Mais pas suffisamment pour vouloir d'une solution, pour nous ; je les acceptais pourtant ces diagnostics et leurs médications à vie contre les battements de son cœur, réfugié dans ses bras j'aurais tout accepté, tout supporté. J'avais juste besoin qu'elle me caresse d'un signe...
 
La vérité c'est que personne ne vous tendra la main à partir du moment où vous n'êtes plus l'un d'eux, les normaux, puisque ici haut tout le monde s'en fout de savoir si vous pissez le sang dans le caniveau ou au fond de votre crâne.
On pourra vous filer une corde au mieux. 
Mais n'essayez pas de mourir avec, car c'est essayer de leur rendre service. « Essayer » seulement.
Et personne n'y verra là une connerie, juste la preuve que vous êtes flingué du ciboulot. Mais, de leur point de vue, vous n’aurez même pas eu la décence de vraiment vous le flinguer le ciboulot... « Essayer » seulement.
Pensez aux Autres, « réussissez ! » seulement.
 
Vous êtes dangereux ou comédien… C'est une farce. Tout est une farce.
 
N'allez pas croire non plus que vous soigner servira à quelque chose. C'est pour ceux qui veulent gober leur vie. Une illusion chimique qui vous promet le plus cruel des mensonges : un lendemain. Mais en réalité, il fallait commencer par ne pas être malade hier. 
Pour certains ça doit marcher. Ils le promettent, s’en font les prédicateurs de l'expectative. Effet placébo ou justes méritants, l’amer constat est le même : Je les envie ces heureux, je donnerais cher de ma passe sur le trottoir de la douleur pour goûter à leur vie, sentir sur mon âme l’amour et soutien que leur porte leur femme, leur mari, leur famille. Ça m'éviterait de m'écraser. Car moi, en l’absence d'Elle, je préfère voler jusqu'en bas. 
 
Las d’être pris dans l’enchevêtrement, des échos fanés. 
 
Elle. Ma muse d'humanité. Il est vrai que je l'Aime d'un amour inconditionnel, de toutes mes failles. Le mécanisme de mon cœur déraille. Un battement après l'autre il remonte le temps et crache son fluide vital. À une époque Elle les aimait ces particularités de mon être, déjà dérangé. Nous ignorions que j'étais bipolaire. Elle se moquait bien que je sois rongé par les vicissitudes de mon passé ou soumis aux humeurs des saisons. Elle m'aimait… 
Justement, cette étrangeté chez moi lui plaisait, Elle m’aimait pour cela et un peu plus, tant qu’elle a finit par en être dégoutée. Je comprends, il est vrai que je lui en ai fait baver. Aujourd’hui je suis un haut le coeur. On me déglutit avec hâte, je glisse dans le vomi et je me cogne la face sur le vide.
Elle m’a quitté et moi je voulais partir avec Elle. Sans jamais nous retourner.
Dans les éclats de son indifférence, un hère très moche s'est contemplé, si inesthétique que personne n'aura envisagé m'inclure dans cet amour dont ils se nourrissent. Les pleurs d'un bébé mort, comme si je n'éprouvais plus, ou ne méritait rien. Je l'entends encore me bercer de chagrin.
Elle s’est résignée comme si rien n'avait compté. Comme si tout ça n'en valait pas la peine, et jusqu'à en oublier l'essentiel : nous nous Aimons. C'est ça qui me les aura brisées, mes putains d'ailes cendrées.
Aujourd'hui j'ai compris enfin qu’il existait des choses en ce monde qu'il valait mieux ne pas ressentir.
 
Dans ce silence je La ressens amoureuse, d'une autre chair, d'une autre vie. Aux goûts moins excessifs.
 
Elle mérite d’être heureuse. Je pouvais. Un Autre le pourra mieux…
 
Pas de reproches. Je l'Aime. Même s'il n'en est plus rien de son côté.
Ce n'est rien. Justement, ce n'est plus rien. 
Des mots sans sens, avec trop de pleins, à lire sous l'ivresse. Ma bouteille est vide depuis hier, sans mer elle divague.
Faut pas pleurer, juste laisser sécher le sel. Il marque la chair jusqu'à l'os creux.
La poussière voila l'état parfait et absolu de la résilience. Elle s'efface.
 
Je n'aurais jamais pu de toute façon leur offrir la normalité, celle à laquelle ils aspiraient.
Je voulais y croire.
 
Des rêves et solutions... auxquels personne ne croit, n'a voulu se raccrocher. Seul. Je décroche.
 
On ne trouve pas de solution sans douleur. Mais une douleur qui ne trouve pas de solution ne sert à rien.
 
Peu importe.
 
Chaque chose, que l’on parle d’une étoile ou d’un cafard, ne fait qu’obéir aux mémoires du destin.
Quand j’ai compris qu'Elle m’avait quitté, qu'Elle ne m’aimait plus, que ma famille était mieux ainsi sans moi. J’ai choisi de quitter son monde et ses rêves. Une preuve qu'Elle compte.
 
Evidement que ça finit mal, sinon ça ne finirait jamais…
Mais j’accepte mon choix.
 
Certains s’effilochent à croire en leur lumière, j’accepte la sérénité de mes ombres. Là où le temps n’existe pas. Plus rien ne pourra m’arriver. Elles ont toujours veillé sur moi, m’attendant. Pourquoi lutter ?…
Je veux pouvoir sombrer, sans risquer de me heurter aux objets du passé.
Espérer un hier, pour voir la fin.
 
Les tic-tac vont disparaître dans le kief.
 
Une porte. Je ferme les Clefs. Merci de m’avoir laissé y croire, de m’avoir fait me sentir comme vous, quelques battements.
Après. Le désespoir et son acceptation. La colère et sa confusion. La folie et sa compréhension. Vient le Vide.
Autour. Il n’y a plus qu’un vaste rien du tout, comme une feuille de papier vierge ou une très, très grande pièce vide, toute couleur silencieuse, ni température, ni odeur, ni texture, ni goût – rien.
Néant.
 
Je T’aurais attendu.
 
Comme le Horla, « je ferme mon âme. Je ne dis plus à personne ce que je crois, ce que je pense et ce que j'aime. Me sachant condamné à l'horrible solitude, je regarde les choses, sans jamais émettre mon avis. Que m'importent les opinions, les querelles, les plaisirs, les croyances ! Ne pouvant rien partager avec personne, je me suis désintéressé de tout. Ma pensée, invisible, demeure inexplorée. J'ai des phrases banales pour répondre aux interrogations de chaque jour, et un sourire qui dit "oui", quand je ne veux même pas prendre la peine de parler. »
 
Un sourire. J'attends la nouvelle lune, qu'elle dévoile son miroir.
 
Tout est préparé, jusqu'aux illusions virtuelles. Anachronismes volontaires, afin qu'ils puissent ressentir et transiter en douceur d'une douleur périmée vers leur meilleur avenir.
J'ai foi en Eux. L'éclaircie vient après la pluie, dit un mensonge.
 
Mais c’est la vérité. Même si ce n’est pas arrivé.
 
On né et on meurt, le reste n'est que poésie.
 
Je voudrais tout leur dire sans rien leur dire, mais pour ne rien dire les mots manquent toujours.
Alors.
Ils recevront une page blanche en guise d'adieu, chacun y lira ce qu'il aurait voulu que je lui écrive... J'espère qu'ils l'écriront au crayon de papier ; un coup de gomme et on peut se laisser à recommencer.
Par Amour, mes souvenirs sont ma dernière obole.
— Nocher, lève le Voile ! Je ne veux plus être seul.

   
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marie-lou
(@alice)
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tu es encore là,11,22?


   
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Cachette
(@cachette)
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11,22 , sais-tu ou connais-tu cette "hypothèse" selon laquelle Van Gogh était bipo, et selon laquelle, toutes ces phases hautes l'empêchait en fait de peindre, d'exprimer son art et son génie ? D'où sa boulimie, sa production de dingue, quand il n'était pas en crise...


   
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Cachette
(@cachette)
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onzevirgulevingt-deux ?


   
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ROLAND
(@smartkind)
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11,22

 

c set plutot 1122 mg de xeroquel pour qu il redescende sur terre


   
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Cachette
(@cachette)
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j'aimerais bien avoir de ses nouvelles, même s'il est un peu autocentré 😉 (loll), il écrit superbement, diablement, fichtrement bien et son dernier message m'attriste un peu...

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ROLAND
(@smartkind)
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une tomate dans un sous mari apres 2 mois ce qui est vert devient rouge car le frui a muri

je ne pense pas que 11,22 soit là

il n a pas attendu 2 mois sur le forum pour que vous lui posiez la question


   
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marie-lou
(@alice)
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bonjour Roland et Cachette.

 

soit il est en prison,soit il a fait une ts réussie,soit il n'a plus rien à dire et c'est comme s'il était mort.

 

ou,plus joyeusement,son ordi est cassé!

 

 Savez -vous si les gens borderline peuvent trouver un traitement efficace?


   
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marie-lou
(@alice)
Estimable Member
Inscription: Il y a 7 ans
Posts: 144
 

Cachette,j'avais trouvé presque tous ces textes déchirants (même si parfois je ne comprends pas ce qu'il dit) mais le dernier l'est encore plus,on dirait que c'est vraiment le dernier.

 

bonne nuit.


   
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ROLAND
(@smartkind)
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soit c est un avatar du grand maitre Arpagon qui a ete vire

eh oui.....analysez le style verbal sophistique qui epate tout le monde mais coule facilement, y a quand meme des similitudes


   
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ROLAND
(@smartkind)
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Inscription: Il y a 6 ans
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pardon amangnon qui parle comme ça

La toute première révélation de mon don a eu lieu dans des circonstances dramatiques.

Mon parrain, pilote amateur, s’envole seul à bord de son appareil le 27 février. Il survole les Montagnes Rocheuses. La tour de contrôle reçoit d’abord un message de détresse, puis perd le contact avec lui environ 1h avant l’heure prévue pour son atterrissage.

2 jours après, les secours n’ont retrouvé aucune trace ni de son appareil ni de lui ; il est déclaré disparu.

J’ai tout juste 5 ans, et j’ignore tout de ces évènements bien sûr…Mais voilà que la 3ème nuit après la catastrophe, je m’éveille brutalement. Mon parrain est là, à côté de mon lit! Il est pâle, fatigué, mais souriant ; il me dit : « Je ne pourrais pas te porter cette fois-ci, petit santana, j’ai un bras cassé. Mais nous nous verrons dimanche.»

Au petit matin, je raconte mon « rêve » si réel à mes parents. Mais pour eux tout est malheureusement clair : il n’y a plus d’espoir de le revoir.

Mais, au 5ème jour …le miracle se produit ! Une équipe de guides de haute montagne, partis s’entraîner, découvre mon parrain. Il est affamé et mal en point, mais bien vivant !

Le lendemain, dimanche, nous sommes dans sa chambre d’hôpital : il a un bras cassé, en écharpe…

Tout ce que j’avais vu était écrit.

 

Depuis ce jour-là, mes visions n’ont plus cessé.

Avec le temps, j’ai des flashs sur des évènements de plus en plus lointains dans l’avenir, concernant des personnes qui ne me sont pas proches. A l’âge de 15 ans, il me suffit de rencontrer quelqu’un en détresse pour me sentir en symbiose, connectée à son psychisme. Des images s’imposent aussitôt à mon esprit, comme si le film de leur avenir se déroulait sous mes yeux.

 

Comment ai-je été formée aux sciences occultes ?

Pourquoi j’ai décidé de me consacrer aux autres, à répondre à leurs questions, à « voir » pour eux leur chemin de vie et les aider à surmonter les obstacles ? 
A l’âge de 19 ans, un grand Maître Spirite d’Occident s’est révélé à moi. Il me connaissait, et veillait secrètement sur moi depuis longtemps. Il m’a fait parler de mes pouvoirs, de mes expériences de voyance flash. Il m’a expliqué que j’avais le choix, mais que lorsqu’un tel don est envoyé par le Ciel, c’est pour qu’il soit mis à la disposition de ceux qui en ont besoin.

Au fond de moi, je le savais depuis longtemps.

Voilà comment mon initiation a commencé.

J’ai voyagé à travers le monde, séjourné dans les hauts lieux de magie, connu d’autres grands Maîtres. J’ai suivi leur enseignement et appris à maîtriser mes pouvoirs pour déclencher mes visions à volonté, ou presque.

 

 


   
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ROLAND
(@smartkind)
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vous allez me dire que le style logorheique commun des deux est lie au fait qu ils sont tous 2 bipolaire s en phase hypomaniaque  je pense plutot que 1122 vous a bien fait marcher

 

peut etre que amangnon , &&é et roland ne sont que les avatars d un meme individu

 

Bienvenue sur le monde virtuel du net

Fin du 1er chapitre du manuel d emploi du tchat


   
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ROLAND
(@smartkind)
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Inscription: Il y a 6 ans
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Le mange pierre

 

 

Aie! aie! 1122 pourquoi tu me frappes? je sais je t avais promis de fermer mon clapet a propos de tes activites, mais quand j ai vu comment elles te cirait l les greluches, j ai pas pu resister

c est vraai que j etais un peu jaloux car tu m avais pris la vedette


   
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ROLAND
(@smartkind)
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qu est ce qui vit six pieds  sous terre et mange des pierres

 

pour la reponse voir post precedent


   
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Cachette
(@cachette)
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Bonjour Marie-Lou 🙂

Non je ne sais pas pour les traitements pour borderline, d'autres pourront sans  doute te répondre.. Pour 11.22 je pense comme toi, raison pour laquelle j'ai réagi... :(Roland, pas d'accord avec toi, je ne trouve pas de similitude entre 11.22 et le grand maitre machin...  D'autre part, en passant, tu as bien tort d'être jaloux...

PS: ah oui, ok... Je comprends mieux lles fautes et le visu de certains messages, quel galère d'écrire sur le portable....

 


   
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ROLAND
(@smartkind)
Noble Member
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surtout quand on passe par la transciption orale


   
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ROLAND
(@smartkind)
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oui DANS l ocean pas SOUS

           

eh bien il y a la petite sirene verte      

 

 

 

 

                                                                       


   
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