Bonjour à tous.
J'ai repris le travail, je suis enseignant (18h de cours) à mi-temps thérapeutique (9h). Certain, c'est sûr, se dirons que c'est cool et c'est vrai. Mais le métier est exigeant. Si quelqu'un à des doutes, je peux largement étayer (donc n'hésitez pas, je suis, en autre expérience, fils d'ouvrier et devant donner un large coup de main, commerce, usine, je sais de quoi je parle) / obligé de me défendre, désolé, mais je me prends souvent des scuds au sujet de mon métier (connasse de belle-sœur et elle est loin d'être seule).
La reprise se fait bien. Je suis sous lithium Théralite 1400mg, Dépakote 750mg et Quétiapine 400mg en une prise le soir à ~20h30. J'ai suivi les conseils de mon psy et de kust (merci au passage) en arrêtant la Parkinane 5mg, qui, en fait, me défonçait. Une heure après la prise... une sensation étrange dans les bras et direct au pieu, si quelqu'un à la même gène il pourra ainsi localiser la source. Maintenant j'ai un rythme normal couché 23h - 0h00. Le réveil est très dur par contre...
Des petites défaillances de mémoire mais tout se passe bien, je gère bien les classes, pas d'emballements j'ai frappé personne (pourvu que ça dur), je conduis bien les activités et maintien une bonne ambiance de travail.
Toutefois, je peux ressentir à la maison des variations d'humeur caractérisées mais d'amplitude raisonnable : logorrhée, dynamisme +++ (en cours aussi, mais c'était déjà comme ça avant), et par moment de l'agressivité... Un matin j'étais complètement à la ramasse, impossible de me lever avant 11h, heureusement je n'avais pas cours mais je n'ai pas pu porter le petit dernier à l'école maternelle.
J'ai repris le judo, j'ai latté deux beaux gabarits d'environs 90kg (bon, un bcp plus vieux et un autre bcp plus jeune), mais impossible d'achever les combats : plus de souffle. Je n'avais jamais ça avant cependant j'ai pris 20kg sur 1 an environ, maintenant c'est stabilisé : donc le manque de souffle viendrait-il selon vous du changement de morphologie ou des cachetons ?
Très bonne soirée.
Bonjour à tous.
J'ai repris le travail, je suis enseignant (18h de cours) à mi-temps thérapeutique (9h). Certain, c'est sûr, se dirons que c'est cool et c'est vrai. Mais le métier est exigeant. Si quelqu'un à des doutes, je peux largement étayer (donc n'hésitez pas, je suis, en autre expérience, fils d'ouvrier et devant donner un large coup de main, commerce, usine, je sais de quoi je parle) / obligé de me défendre, désolé, mais je me prends souvent des scuds au sujet de mon métier (connasse de belle-sœur et elle est loin d'être seule).
La reprise se fait bien. Je suis sous lithium Théralite 1400mg, Dépakote 750mg et Quétiapine 400mg en une prise le soir à ~20h30. J'ai suivi les conseils de mon psy et de kust (merci au passage) en arrêtant la Parkinane 5mg, qui, en fait, me défonçait. Une heure après la prise... une sensation étrange dans les bras et direct au pieu, si quelqu'un à la même gène il pourra ainsi localiser la source. Maintenant j'ai un rythme normal couché 23h - 0h00. Le réveil est très dur par contre...
Des petites défaillances de mémoire mais tout se passe bien, je gère bien les classes, pas d'emballements j'ai frappé personne (pourvu que ça dur), je conduis bien les activités et maintien une bonne ambiance de travail.
Toutefois, je peux ressentir à la maison des variations d'humeur caractérisées mais d'amplitude raisonnable : logorrhée, dynamisme +++ (en cours aussi, mais c'était déjà comme ça avant), et par moment de l'agressivité... Un matin j'étais complètement à la ramasse, impossible de me lever avant 11h, heureusement je n'avais pas cours mais je n'ai pas pu porter le petit dernier à l'école maternelle.
J'ai repris le judo, j'ai latté deux beaux gabarits d'environs 90kg (bon, un bcp plus vieux et un autre bcp plus jeune), mais impossible d'achever les combats : plus de souffle. Je n'avais jamais ça avant cependant j'ai pris 20kg sur 1 an environ, maintenant c'est stabilisé : donc le manque de souffle viendrait-il selon vous du changement de morphologie ou des cachetons ?
Très bonne soirée.
Ca vient de la prise de poids
Merci... il faut me remettre à la course sans me péter les genoux (à cause du surpoids !).
J'ai oublié au sujet de ma reprise : je suis moins endurant et complètement crevé pour trois voire quatre fois moins de boulot.
J'ai une pensée pour ceux qui restent dans cet état de labilité : plus d'émotions, mélancolie, logorrhée, profonde tristesse, plus goût à rien, agressif, exubérant, pénible pour l'entourage voire dangereux. Ne perdez pas espoir, mon psy actuel a changé de cap à plusieurs reprises et de façon rapide jusqu'à trouver le traitement qui fonctionne. J'ai dérouillé à cause de certains effets secondaires (diarrhée soudaines et fortes, étouffements en pleines nuits, prise de poids, fatigue, etc...), ce n'était pas pour rien, ne perdez pas espoir... même si ça ne va peut-être pas durer, j'ai repris ma vie où elle était il y a plus de deux ans et en cas de rechute, quand je serais au fond du fond, au moment où la solution du suicide pointera son nez, que tout peut revenir.
J'ai pris l'habitude de me prendre une ou deux bières chaque soir, c'est sûr rien à côté des moments où j'ai été happé par l'alcool... après 6 bières, la blte de vin, le whisky et pour finir les liqueurs au goût bizarre qui traînent et à chaque fois j'arrive à aller jusqu'au lit ! Je compte les cadavres le lendemain... pas de souvenir. C'était toutes les semaines, tous les mois et maintenant tous les 6 mois. C'est mieux. J'avais arrêté de fumer pendant de deux mois. Je jongle avec les addictions pour ne jamais trop abuser et jamais vraiment manquer de qqchose. Je ne plains pas, j'imagine que certains sont attaqués par bien pire et bien plus.
