Alors que je courais je ne sais quoi,
Un homme m'a arrêté pour me dire cela:
Que cherche-tu ici dans cette course effrénée?
Est-ce l amour des autres que tu voudrais?
Je restais là , assis devant cette question limpide.
Je cherchais quelque chose pour combler un vide.
Ma quête est impossible quand je regarde au dehors.
Et si malgré moi j avais simplement tort.
Tort de m'aventurer vers des chemins tortueux,
ou l esprit se perd à vouloir être heureux.
Je respire un grand coup et comprend sans effort,
Que le jardin en nous peut nous rendre plus fort.
Je cultive mes pensées comme des fleurs a venir.
La graine de mes idées germera mon avenir.
Je ne cours plus les montagnes et les plaines.
Je découvre les secrets sous un voile de laine.
La vie est bien ici dans notre dure émoi.
Ce que je cherchais ,c'était moi.
Beau texte 😉 tu écris souvent ?
Malgré mes fautes d'hortographe très récurrentes j'aime beaucoup l'écriture et l'utilisation des mots.
J'ai écrit quelques poèmes fût un temps et encore un peu de temps à autre.
Très beau en effet,j'aime particulièrement : "Je cultive mes pensées comme des fleurs a venir.La graine de mes idées germera mon avenir."
Bonjour J'ai ecrit pendant une periode ou j en avais besoin.
Mais à l heure actuelle je n ecrit plus.
Je vous partage un autre de mes textes merci pour le soutien
Je sucre mon amertume , sale mes fraises.
De cette goutte d'eau jetée dans la braise,
Je recueille la vapeur comme un bien précieux.
C'est le partage secret de regards heureux.
Sous la lueur figée de l'étoile du Nord,
Mes yeux caressent les formes de son corps.
Mes cris résonnent dans ce désert lointain,
L'écho de sa tendresse se propage si loin.
Alors j'écoute une dernière fois ce bruit:
Le vent qui balaye les dunes de ma vie.
Point de tristesse ,l'avenir sera meilleur,
Un dernier souffle , son image , son coeur.
RE merci pour tout ,
voila un autre texte
Le soleil qui éclate nos sens appauvris ,
Réveil en nous la chaleur désunis .
Ce petit rayon qui caresse notre peau terne ,
A le doux parfum du foin et de la ferme .
L'été est l'occasion de toutes les sorties ,
Et la musique m'entraîne vers de petits paradis.
Une crique sous les falaises , je plonge aussitôt ,
Dans cette eau pure et claire , mémoire de ruisseau.
La ballade est sereine , les problèmes lointains.
Le bonheur est palpable , je me sens libre et bien .
Alors pour rapprocher cette joie , ce décor ,
Je prie pour que ce moment dure encore , encore.
il faut se libérer de toute contingence voler gribouiller enlacer le verbe se laisser emmener balader par ses doigts qui vole en frisant les lettres de ce clavier qui résonne sonne comme le glas de l'écriture l'ensemble des mots qui les après les autres forment des rivières entrelacées de courbe sinueuse et profonde d'un débit d'une logorrhée verbale insignifiante déroutante.
Bref j'y suis dans le flot des images qui me parviennent celle d'une vague spirituel agnostique l'ouverture visuel au monde invisible des esprits cachés de l'inspiration vide abyssal qui entour cet esprit malgré moi Carthésien il me faut faire un effort
et me libérer de ce gouffre qui m'empêche de voler vers l'écriture automatique celle qui ne veut rien dire tant qu'elle n'est pas écrite une forme de présent actif relatif bref un moment de grâce infini.
Il me faut sombrer dans le lac de lettres insipides afin d'y trouver des mots ou bien des maux bref du malheur non du désir du plaisir de la jouissance;
Du laisser aller de l'improvisation quel mot difficile à écrire en pianotant sur les touches d'un clavier légèrement planant .
Oui du plaisir rien que cela du débit verbal comme un fleuve abreuvant la faune de la nature qui est mienne,en elle je réalise enfin la vie son rôle est simple me conduire là ou il faut.
Car elle le sait instinctivement elle me conduit au bout de ma destinée là rien ne s'arrête plus l'inimaginable éternité ,la vie.
et oui combien la vie contribue à nourrir l'écriture le replis la hauteur le recul bref la réflexion.
Elle me nourrie je la nourrie elle m'emplis d'une joie certaine forme dédoublement physique une métamorphose et oui j'écris donc je suis j'existe à travers un déhanché de mots qui virevoltent au son du plastique déphasant d'un éternelle clavier relativement froid.
Mais il le faut je ne le choisis pas c'est compulsionnel c'est plus fort que moi je dois transmettre le malaise qui m'entour car ouij'y suis ultra sensible je ressens toute vôtre existence vos conflits vos énervement bref la vie et je dois faire en sorte de vivre la nuit quand vous vous calmez si non mon existence est infiniment désagréable parasité.
enfin me voici vous y êtes plongé au coeur de mon esprit fatigué épuisé mais qui tout de même créé ou tout au moins éssaye.
enfin nous y voici devant cette éternelle vague à l'âme celui qui ressemble à une des vagues de Nazare vous savez une lame de fond pour le tréfond qui est en moi.Nous y sommes balayé par les embruns acculé à la phrase celle qui te libérera de ce carcan le libérateur débloque de l'inconscient celui qui ne réfléchis pas s'autorise la liberté de conscience celui qui n'a pas de tabou l'homme la conscience libéré du sur moi pour enfin peut être enfin l'être un peu moi l'essence de ma vertu celui qui est moi.
enfin te voilà que fait tu le sait tu en as tu conscience ce mot toujours ce mot il emplis à lui seule tout ou parti de mon cerveau quel place n'en déplaise à l'autre celui qui m'empêche me frole me ralentis bref je n'en fais qu'a ma rtête celle de l'esprit virevoltant aux cimes des arbres volant jouissant d'une rare liberté cet envole m'oxigène m'ennivre me saoule quel effet psychoactif.
Je vis enfin j'existe par un acte quelquechose de réel de construit de concret ça y est j'y suis face à moi même devant le clavier nourrissant de la vie celui qui tedicte tes paroles.
celui qui te fait voyager au sein de toi même parmis les abysses de tout ton âme tu voles à taon tour à ton secours mais que vas t'il sortir de tout cei une vérité j'en doute une croyance peut être une fois j'en doute seul un éternel esprit acharné pourrait y voir une libération dans l'écriture laissez ce que corp que je saurait voir et laissez mon instint grattez ces lignes frelatés condescendentes comment osent elle imaginer une forme de sincérité lorsqu'il sagite d'écriture de subjectif de récit tout y est imaginaire la seul partis de moi qui subsiste sont ces mains et ces doigts que je ne saurais ignoré ils se baladent au gréé de mes pensées.
le fil des mots impriment peut être une parti physique et spirituel de ma personne il ne reste que des mots rien de tangible une sensation peut être plus pourquoi pas,avancez nager expérimentez vivez cette expérience inéfable celle de vous noyez dans les lettres les mots les phrase le rythme du clavier ce son rythmique qui frappe votre conscience votre pensée celle qui se déroule devant vos yeux ébahis qui dansent le tango celui des mots et des maux.
des mots une suite une phrase une affirmation de sois une coexistence pacifique une forme de réalité je suis j'écris j'agis bref je vis.Suite après suite se déroule ma vie quand vient le moment ou le terme de ma voix se fait entendre mais que n'ai plus à dire si tant et tant qu'il m'en faudrait du temps de temps en temps tant et tant que je n'échouerait pas je transmettrait ce gout pour l'expréssion de mes sentiments la vague qui me submerge dérrière un soleil prégnant un ciel bleuté un soleil envahissant cette lame qui semble monté des abysses de cette mer si calme elle surgit vous submerge le ciel bleu le soleil s'abattent sur vous le sable luis sous la lumière quand au chalet il se détache de cette dune pleines de fruits abondants que le paradis soit ici et à jamais que la lumière fut et ainsi soit il.
quand bien même j'aurais imaginez tout cela peu importe qu'en est il de la vérité c'est un texte une relecture de la réalité un souvenir un ressenti un bien qui ne m'appartient plus.
Aujourd'huis même,maintenant,dans le présent
Au tour de lui en lui
pénétré par lui
Le temps instantanné déjà écoulé, mort
mais ce n'est que du passé
déjà oublié
Mémoire vive
Mémoire morte
Saoule
Saoule
ivre de tendresse
elle jalonne les temps,les mondes
Le temps dans le monde,le monde en son temps
Que du présent,de l'absent
cette infini absence
Ce manque
Cette perte
Cette perte
Cette peur
Avancer,être,devenir
Mais de trop se présenter devant l'avenir
seul,inapte,fondu dans le présent
Rivé,pieds et poignts liés
enferré,anihilé mais si perceptif
Sensiblement entouré d'un présent
Uniquement sensuel,partiel
fugasse,parfois long presque éternel
En l'absence du tout,dans le néant
le présent s'impose et dispose
Dans ses bras je me suis enlacé elle s'est blottie tout contre moi et qu'y pouvais je faire?
La rejetée ,l'ignorer,la mépriser?
NON
il fallait que je la réconforte,cette pauvre plante dénaturée,synthétisée,,uniformisée bref détournée.
OUI
Détournée comme l'usage que j'en fais.
Faire ou plutôt se laisser faire,lâcher prise,embarquer.
OUI
D'abord se laisser inonder par une vague de chaleur.
Celle d'un océans comme venu des profondeurs de l'enfer chauffée par la lave en fusion.
Serait ce une faille?
Comme une crevasse.
Dans un coeur déchiré.
Que tu viens combler.
Puis disons le le plaisir presque le bonheur comme si plus rien ne comptait l'espace de quelques secondes mais ces secondes elles durent plus longtemps que les autres car elles me font entrevoir tout ce potentiel de plénitude dont nous sommes remplis.
Ce que je viens de décrire ne sont que les quelques secondes que durent l'injection de la morphine dans ma veine.D'abord une tirette le sang afflux puis je m'injecte la morphine.
Evidemment comme vous l'imaginer cela ne s'arrête pas là pourtant c'est déjà largement suffisant comme un orgasme puissance deux.
Viens ensuite l'embarcation à bord du navire Morphéa qui te fera voyager ou bon lui semblera.
Je laisse morphée guider mon voyage je m'abandonne tout entier à elle.
Le lâcher prise,faire confiance au destin,a la fatalité.
Faire confiance,NON,donner sa confiance à l'esprit de cette plante car elle est là a l'origine.
Le père bulbe du pavot donne généreusement sa sève celle ci se nomme OPIUM elle se conjugue au féminin car d'elle nous accouchons de longs voyages.
Nous y voilà ,parfois bercé par les vagues et d'autres planant ,volant à travers les airs.
Ce n'est que le début du voyage à travers l'inconnu.
Ou allons nous?Que verrons nous?Que sentirons nous?Que ressentirons nous?
Une seule chose est sure se sera forcément agréable.
Comment dire NON à un voyage,que dis je à une téléportation vers une destination inconnue mais assurément paradisiaque.
Nous y sommes le mot est écris,le retour en arrière est impossible,la vérité est parfois plus forte que son écriture elle même,elle se cache derrière d'autres mots,d'autres phrases,même dans les silences entre les mots,les phrases,les pages elles même,là ou tout est dit mais rien n'écris,au fond de nôtre âme,dans des mondes parallèle,ce dont nous sommes constitués.
OUI,paradis artificiels d'autres l'ont écris bien avant moi je ne suis que le réceptacle d'une culture à laquelle ma curiosité m'a menée.
A chaque voyage une destination différente mais pas celle que vous croyez.
NON ce n'est pas aussi simple que certains films peuvent vous le montrer ces destinations sont inconnues mais elles le resterons même quand vous vous y trouverez.
Vous ne débarquez pas sur une plage de sable blanc ensoleillée,décorée de palmiers,une eau turquoise d'ou les coraux multicolores affleurent.
Ce voyage est en réalité un bouleversement des sens ,plus d'apesanteur,un sentiment de légèreté vous envahi en fait là vous réaliser que ce voyage est en fait Le Grand Voyage.
Celui hors de vôtre corps débarrassé de cette enveloppe étouffante vous accédez à une infime parti de vôtre âme que les bouddhistes appellent "le véhicule" ,car il vous permet l'accès à cette parti de vôtre âme qui communique avec le reste de l'humanité,de l'univers,car elle en fait parti comme toutes les autres et dont l'unité forme le monde une énergie certains l'appelleront dieu.
Au fur et à mesure que j'écris je réalise au moment même ou mes doigts frappent ce clavier la vacuité de mon texte qui n'apporte strictement rien de nouveau à ce que bien des auteurs avant moi ont décris d'une manière bien plus talentueuse,géniale,poétique etc....
Je ne suis qu'un bien piètre scribouillard.
Mais à ma décharge je n'écris pas pour être lu et n'impose donc ma prose à personne
Mais j'insiste je continuerais d'écrire même sans talents car c'est plus fort que moi c'est une pulsion mais celle ci de vie pas comme avec Morphée NON ELLE, elle t'ouvre les portes de ta pulsion de mort celle qui te soulage le plus ,et oui MORT plus de douleurs,plus de doutes,plus de corps,plus de questions;on se fond dans l'univers pour finir par ne plus exister,s'assimiler.
Mais vous me direz au final qu'est ce que cette expérience t'aura apporter?
L'acceptation de ma propre mort.
Mais attention pas celles des autres.
Je conclurais donc sur ces deux mots latins qui forment un adage "CARPE DIEM"
Et oui,il en faut des contraintes si tu veux avancer dans cette vie,la liberté ne s'obtient qu'a travers des obligations.Qui peut en effet s'imaginer qu'une vie n'est faite que de possible sans interdiction ou responsabilité.
La vie est faite de droits mais aussi de devoirs comment avancer sans toutes ces pérégrinations,car si il y a bien une chose qui nous traverse c'est que jamais nous ne reculons,nous marchons vers nôtre destinée parfois en s'égarant mais jamais en reculant si ce n'est en sautant ou en slalomant ,mais pourtant jamais à reculons.
La liberté s'obtient à travers toute une série de contraintes,qu'elles soient naturelles ou communautaire car nous ne vivons pas seule mais bien entouré par d'autres que nous ne pouvons exclure de nôtre vie,en cela la vie est faite de contraintes sociales et idéales dans nôtre rapport à autrui.
Nous sommes bien des êtres sociaux et communiquant la solitude nous est intrinsèque mais forcément tout de même entouré de l'autre et par l'autre.
En cela la liberté s'arrête là ou commence celle des autres,nous ne pouvons nous construire que face au miroir que représente autrui.Sans cette image que serait l'idéation de l'homme,nôtre vision passe donc par le prisme d'autrui.
Que serions nous sans l'autre peut être des dieux mais nous l'avons tué,il est mort en nous et à travers l'autre.
Dieu ne reste qu'une image de ce que nous devrions être des humains,c'est ici que la question cruciale s'impose à nous dieu est il humain et sommes nous réellement des humanistes.
Dieu est mort avec nôtre orgueil qui c'est imposé à nous par nôtre égocentrisme égotique.
Tout ceci pour dire que les contraintes sont la vie et qu'une vie sans contraintes c'est la mort.
Bien à toi O10C yannounnet
Odyssée de l'espace
Quand tu nous dépasse,
Tu ne nous lasse,
Que si tu trépasses.
Mais quand tu passes,
ça nous délasse,
surtout pas dans la mélasse.
il faut que tu fasses
une vrai passe.
Jamais tu ne chasses,
Même les pétasses,
sauf la crasse.
Qui en nous dépasse.
A jamais tu restes l'As,
de l'espace.
A toi odyssée de l'espace.
Ton ami yann sans espace.
Me voici rappellée a l'ordre par le temps;
En effet il passe et je trépasse.
Me voici et oui de nouveau;
encore un effet,disparue,enfouie,de mon égocentrisme.
relant de ma personne que je désire enfouir
Encore toujours envahit noyé j'étouffe
Mais j'essaye je continue je désespère
Et je vous emmerde vous les absents moi l'incohérent
Tout ces mots ces lettres pour ne rien dire rien formuler juste gloser envoyez les
Les phrases les non sens le flou le délirant enfin bref le tout le néhant le vide et l'incipide
Rien qu'une relance pour faire vivre un carnet non lu ;foutu.
Aujourd'huis même,maintenant,dans le présent
Au tour de lui en lui
pénétré par lui
Le temps instantanné déjà écoulé, mort
mais ce n'est que du passé
déjà oublié
Mémoire vive
Mémoire morte
Saoule
Saoule
ivre de tendresse
elle jalonne les temps,les mondes
Le temps dans le monde,le monde en son temps
Que du présent,de l'absent
cette infini absence
Ce manque
Cette perte
Cette perte
Cette peur
Avancer,être,devenir
Mais de trop se présenter devant l'avenir
seul,inapte,fondu dans le présent
Rivé,pieds et poignts liés
enferré,anihilé mais si perceptif
Sensiblement entouré d'un présent
Uniquement sensuel,partiel
fugasse,parfois long presque éternel
En l'absence du tout,dans le néant
le présent s'impose et dispose
la merde ça fait chier
d’ailleurs pour chier il faut bien évacuer la merde
en tout premier vous vous nourrissez
de plantes de fruits mê de viande qui elle même c’est nourri d’herbe comme la vache
A BOUSE
seulement voilà vôtre corp usine intègre les bonnes choses de la nourriture et la transforme souys forme de merde
Or là cette merde vaut de l’or
Car en effet on peut l’épandre dans les champs ou elle vaute de l’or
Le fait qu’avant on connaissait la fortune d’un agriculteur grâce à taille de son tas de fumier
Or il se trouve qu’en la mettant dans les champs la boucle est bouclée puis que les plantations fleurissent poussent donc mieux grâce à nôtre merde
Donc on fini toujours par manger ce qui est issu de l’agriculture d’engrais biologique c’est à dire nôtre merde
On fini donc par la manger sous quelques formes que se soit.
la merde ça fait chier
d'ailleurs pour évacuer la merde il faut bien chier
en tout premier lieu vous vous nourrissez
de plantes de fruits même de viandes qui elles même se sont nourris d'herbe comme la vache
A BOUSE
seulement voilà vôtre corp usine intègre les bonnes choses de la nourriture et la transforme sous forme de merde
Or là cette merde vaut de l'or
Car en effet on peut l'épancher dans les champs oû elle vaut de l'or
Le fait qu'avant on connaissait la fortune d'un agriculteur grâce à la taille de son tas de fumier
Or il se trouve qu'en la mettant dans les champs la boucle est bouclée puis que les plantations fleurissent ou s'épanouissent poussent donc mieux grâce à nôtre merde
Donc on fini souvent par manger ce qui est issu de l'agriculture biologique avec un engrais bilogique la merde qui puissante il fait savoir la doser comme le guano.
Elle pousse mieux grâce à nôtre merde
On fini donc par la manger sous quelles formes que se soient.
il se trouve que j'écris des poèmes en prose pas d'alexandrin pas de rimes et parfois un mot pour une ligne et des fois je réoète ce mot plusieurs fois je ne suis donc pas un poète juste un amateut un peu à la Antonin Artaud voilà c'est tout bien à vous yann le bipolaire qui écris sous forme d'écriture automatique l'inspiration est instantannée je ne réfléchis pas je pond un texte c'est tout merci à vous si vous avez le courage de me lire
Loins d'ici loins de là
par ici par à
ici, là
enfin nous y sommes
ICI, LA!!!!!
pourquoi?
Parseque
c'est comme ça
ça c'est ici, ici c'est là donc ça c'est aussi là
il fautq ue je vous le dise que je vous
Quand j'écris de la sorte aucun effort tout me vien t du cerveau au corp presque uniformément c'est l'inspiratio
le PLAISIR beaucoupde PAISIR reien que cela presque
ausii la jouissande de la libération de ce qui rourne dans vôtre tête c'est rpimordiale sortir les mots les écrire les exorciserr les anihiler que de soulagement à travers cet exrcice oulipesuqe s'imposé l'esthétisme tenté d'écrire joliement tenté essayé n'est ps parvenir
J'en suis là et j'y rete pour le moment en phase semi-manique
bien à vous yann le bipolaire qui rêve d'être un poète