Ce qui est valable pour les schizophrènes l est egalement pour les bipolaires
Dans le domaine de la pathologie psychotique, les rechutes représentent une problématique importante dans la trajectoire des sujets schizophrènes. Á l’origine de nombreuses réhospitalisations, ces rechutes sont généralement liées à un défaut d’observance. Et lorsqu’on s’intéresse à cette dynamique, on s’aperçoit que la plupart des études qui se sont intéressées à l’observance médicamenteuse et aux comportements visant à améliorer celle-ci se sont avérées décevantes dans le domaine de la pathologie psychotique. Les progrès réalisés dans le traitement de la schizophrénie n’ont jusqu’ici pas modifié de manière radicale l’importance de l’adhésion des patients à leur médication, ni même la fréquence des rechutes. Si la rechute touche de 10 à 60 % des sujets schizophrènes selon les études, les taux de bonne observance médicamenteuse avoisinent 50 % pour l’ensemble des spécialités médicales et tombent parfois à moins de 20 % dans le domaine de la schizophrénie. Les raisons principales de cette problématique sont pour la plupart des auteurs liées à un manque d’efficacité de la molécule prescrite, à la survenue d’effets secondaires handicapants, à la présence de convictions personnelles désadaptées, voire à la pathologie elle-même. Dans un tel contexte, il semble intéressant de développer e développer de nouvelles stratégies de prescription permettant de parvenir le plus rapidement possible à une dose minimale efficace, voire d’explorer d’autres options thérapeutiques. La revue de la littérature réalisée ici fait un point sur les études récemment publiées (2002–2008) mettant en exergue l’impact que la prescription d’un neuroleptique classique, d’un antipsychotique atypique per os ou d’un APAP peut avoir sur l’observance médicamenteuse et la fréquence des rechutes de patients souffrant de schizophrénie.
"il semble intéressant de développer e développer de nouvelles stratégies de prescription permettant de parvenir le plus rapidement possible à une dose minimale efficace, voire d’explorer"
dans le cas du lithium, avec le procede de ponction digitale on peut arriver a la dose efficace du lithiumplus rapidemment car on a le dosage instantané tous les jours
donc plus besoin de bracelets de detection
Mais c'est en place, ça ? C'est expérimenté ou utilisé quelque part ??
dans le cas du lithium, avec le procede de ponction digitale on peut arriver a la dose efficace du lithiumplus rapidemment car on a le dosage instantané tous les jours
Oui, ça peut être très intéressant, mais ne concernerait que les gens traités par Lithium...
Oui, ça peut être très intéressant, mais ne concernerait que les gens traités par Lithium...
et par depakote
et par lamicdal
et par insuline
et par...
Oui, mais il va falloir trouver des fonds et du monde pour travailler dessus et là est le problème, mais oui, ce serait top 🙂