Bonjour à tous.
Je suis nouveau sur le site. J’ai un blog qui pourrait intéresser certaines personnes:
A bientôt
Bonjour et bienvenue,
Merci pour le blog.
Bonjour à tous.
Je suis nouveau sur le site. J’ai un blog qui pourrait intéresser certaines personnes:
A bientôt
Bonjour à tous.
Je suis nouveau sur le site. J’ai un blog qui pourrait intéresser certaines personnes:
A bientôt
Hé, salut –
J’ai un peu parcouru ton blog, c’est sympa à lire – je sais pas si sympa est le bon mot, mais bref, j’ai pas l’énergie d’en trouver un meilleur.
Bienvenue par ici.
@vincenttristana
Décidément, je me reconnais dans beaucoup de choses que tu écris – c’est pas impossible que je fasse lire « porque te vas » à mon homme, la prochaine fois que je serai en phase dépressive. Tu arrives à parler de choses sur lesquelles j’ai un mal fou à trouver des mots.
Ceux sur l’adoration d’une personnalité célèbre, aussi, ça m’a fait sourire… parce que je l’ai vécu, aussi. Des dialogues intérieurs interminables avec des personnages de fiction, des fantasmes, de l’adoration d’artistes… jusqu’au jour où on prend conscience de la vanité et de la disproportion de tout ça, et le chateau de cartes s’écroule, bonjour la phase dépressive auto-induite par des fantasmes débiles purement imaginaires.
Bref – continue d’écrire, ça me fait du bien de te lire, je me sens moins seule dans mes bizzarreries.
Toi aussi tu as connu ça l’adoration d’une célébrité et les déliires/fantasmes intérieurs qui vont avec? Moi, ça a duré très longtemps car comme sur le moment je trouvais ça magique, j’ai arrêté la quétiapine.
c’était qui la personnalité en question pour toi?
en tout cas l’expression « dépression auto-induite » est parfaitement trouvée.
@vincentristana ho, y’en a eu plusieurs…
Niveau musical, le plus récent ça a été Stupeflip. Un des très rares artistes français qui trouve grâce à mes oreilles.
J’ai eu plusieurs adorations pour des personnages de fiction, par exemple Doctor Who, et Rust de la série True Detective (je lui trouve un sex-appeal totalement dingue, doublé d’un esprit nihiliste fascinant). Après, forcément, je bascule sur les acteurs qui les interprètent et je me gave des films et séries dans lesquels ils sont apparus.
Oh, il y a parfois des vrais gens de mon entourage aussi. (Là je développe surtout des fantasmes sexuels, avec des scénarios vraiment élaborés du genre « qui pourrait arriver en vrai »).
Pendant longtemps, mon rituel pour m’endormir, c’était de m’abandonner à ce genre d’histoires rocambolesques. Je ferme les yeux, j’imagine des situations, des dialogues, des contacts physiques… ça pouvait durer jusqu’à pas d’heure, mais au moins je me sentais bien.