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[Épinglé] Presentation

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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 3991
 

Salut!

oui quand on a connu les montagnes russes on a tendance à voir la normalité comme un peu fade. C’est ce que j’ai eu sous depakote. Je l’ai arrêté parce que trop morne. Je suis donc passée au lithium pendant 8 mois mais ça ne me faisait rien. Je suis lamictal Et zyprexa depuis quelques semaines et ça passe trop bien. J’arrive à faire des trucs que je ne faisait plus. Plus de fatigue ou d’idée noires. Moins de culpabilité aussi. Bref après bcp d’essais ça se passe plutôt bien.

Bon courage à toi. 


   
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Ems
 Ems
(@ems)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 12
 

Merci pour ce message, 

Grâce à toi je me rends compte que rien n'est perdu, mais que le chemin va être long pour savoir ce qui me convient au niveau des traitements mais que c'est pour un mieux dans le futur 🤗 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 3991
 

Non rien n'est perdu. Parfois ca peut prendre du temps, des mois, des années. Mais parfois ca match direct et on reprend gout a la vie.

J'espère que ton premier sera le bon 😉


   
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Elona
(@elonawasikowska)
Reputable Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 381
 

Bonjour, bienvenue!

Comme dit Elo il faut le temps de trouver le bon traitement. Après deux ans on me l'a encore modifié récemment (Wellbutrin + Sipralexa + Lamictal + Abilify) et ça commence à faire son effet, lentement mais sûrement. 

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Ems
 Ems
(@ems)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 12
 

Merci, en tout cas ça me redonne un peu espoir, je me dis que tout n'est vraiment pas perdu, on peut sortir la tête du trou 


   
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Elona
(@elonawasikowska)
Reputable Member
Inscription: Il y a 6 ans
Posts: 381
 

@ems Toujours 🙂 Quand on est en vie, il y a toujours de l'espoir (à moins d'être en phase terminale mais ici ce n'est pas le cas)


   
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cocowana
(@cocowana)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 7
 

Bonjour, 

Je viens de m'inscrire sur votre forum. J'ai 52 ans et 3 enfants, je vis avec mon compagnon depuis 10 ans . Je suis en arrêt maladie depuis le 19/06, j'ai péter un câble lundi 22/06, j'ai été violente et ai frappé mon compagnon. Je pleure et me confie à ma + grande de mes filles qui kote à Liège où elle suit ses études.Mardi 23/06 ma fille de 22 ans revient de Liège (Kot) , elle a pris rdv avec mon médecin et pense que j'ai besoin de repos, de me faire hospitaliser. Je  vais au rdv et pleure devant le médecin qui a ressorti mon dossier médical et qui apprend à me connaître. En 1990, j'ai fait une pyschose post-partum à l'âge de 22 ans qq jours après l'accouchement de mon fils aîné, j'ai été hospitalisée 15 jours dans une clinique où je ne faisais que dormir. Mes parents m'ont prise par la main comme un bb et m'ont conduite dans un centre, une sorte d'asile... J'y suis restée 2mois et demi, mes parents se sont occupés de mon bb pendant que je me faisais soigner, je ne faisais que dormir, je ne mangeais plus, j'avais une tonne de médicaments: du Xanax, du valium, du dominal et du lithium,ets... je bavais, je tremblais, j'était nerveuse . Je suis sortie en décembre le jour de la St Nicolas. En avril j'ai balancé tous mes médicaments , je pesais 42 kilos. Mon mari était au petit soin pour moi....j'ai remonté la pente, suis devenue agent de police, En 1994, ma maman a 49 ans et une leucémie, des trajets tous les jours pendant 9 mois (Charleroi-Liège) puis en 2001, j'ai eu un cancer de la thyroïde, on m'a enlevé la moitié. En 2003, nous faisons des travaux dans notre maison et en 2004 mon mari se suicide par pendaison dans notre garage. Il me laisse avec 3 enfants : 2 filles de 4 et 5 ans et un garçon de 13 ans. En 2005 maman a un cancer du sein, en 2010 une autre leucémie et décède en 2012. Je suis anéantié et m'occupe de mon papa. J'ai rencontré mon compagnon en juin 2010, et n'ai que des hauts et des bas, des humeurs changeantes en qq heures. Je mets cela sur le compte de ma glande thyroïde. En septembre 2019, mon fils qui ne me parle presque plus depuis son départ de la maison en 2009 pour "vivre que du beau" comme il dit ,  est papa nous renouons contact me fait croire que tout est comme avant. Puis m'écrit une lettre pour me dire que je ne verrai mon petit fils que quand ils le voudront c'est à dire 1fois tout au plus par mois... Maé à presque 10mois, nous ne l'aurons vu que 6 fois...Je pleure souvent, j'ai envie de tout plaquer, de vendre ma maison un jour et de faire des travaux deux jours après, de partir au Canada, ou en France, bref je ne tourne plus rond... Ma fille prend rendez-vous avec moi chez ma médecin il y a a peine une semaine, et lorsque la doctoresse lit mon dossier, elle me dit :"je pense que vous allez revoir votre psychiatre , reprendre du Lithium , je vous donne du Duloxetine 30mg, et l'on se revoit dans 10 jours ...j'ai vu dans votre dossier que vous êtes bipolaire et vous devez vous soignez, votre fille m'a expliquez ce qu'il s'était passez avec votre compagnon, je ne peux pas vous laisser ainsi" ...

Je suis tombée sur votre forum et cela fait du bien de voir que je ne suis pas seule 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 3991
 

Bonjour et bienvenue. Non tu n’es pas seule. On est tous plus ou moins passé par la. Il faut en effet prendre soin de toi et  aller consulter un psy. J’espère que celui t’apportera un mieux être. Que ce soit par le compréhension dès ton état ou un traitement.

bon courage.


   
Mosis reacted
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cocowana
(@cocowana)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 7
 

@malette,  Elo , merci beaucoup ... dur dur d'accepter que l'on est pas comme tout le monde, mais contente de voir qu'il n'y a pas que moi ....


   
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Fabienne
(@fabienne)
Trusted Member
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 54
 

@cocowana,

Bonjour,

Tout comme toi j'ai fais une psychose puerpuerale j'ai été hospitalisee quatre mois sans mon bébé c'est très dur à vivre mais on oublie j'ai 51 ans j'ai des troubles bipolaires aussi. Oui tu as vécu des choses très dur as tu essayer lemdr pour le suicide de ton mari ça pourrait t'aider ? 


   
Melodie reacted
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Razor
(@razor)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 1
 

Salut à tous me revoilà alias chams je suis posé mais toujours avec vous a +


   
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Magalou
(@magalou)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 4
 

Oups!,! Pas facile ,première fois pour moi sur ce site!

48 ans , 2 enfants,seule pour tout gérer.  Diagnostiquée bipolaire ,il y a 10 ans.

Un enfer a gérer avant et toujours un enfer a gérer maintenant. 

Suivi psy plus que très régulier mais j'ai beaucoup de mal ,je n'en vois pas la fin et du mal à accepter et faire avec! 

Bref , pas simple, 

 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 5 ans
Posts: 3991
 

Bonjour et bienvenue.

courage c’est pas facile maman solo plus la maladie.

bon courage.


   
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Magalou
(@magalou)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 4
 

Bonjour merci,

J'avoue que j'arrive à bout des mes limites,même si celles-ci  sont parfois hors contrôle ! 

C'est extrêmement fatiguant. 


   
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patdub
(@patdub)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 12
 

J’ai déjà posté ce message sur une autre discussion sur ce forum et je vous prie de m’excuser si c’est une redite pour vous:

J’ai été diagnostiqué Bipolaire (on ne dit plus maniaco-dépressif car le mot maniaco fait peur) à l’âge de 40 ans à la suite d’un Burn-Out chez Microsoft Europe où je travaillais. A l’époque je voyageais beaucoup, dormais peu et passais la plupart de mon temps à travailler. Un très bon ami collègue à l’époque Claude m’a aidé et soutenu mais j’ai fini par perdre mon travail pour incompétence. Il est vrai que cette maladie impacte l’efficacité professionnelle, qu’elle peut surprendre et dérouter. Elle n’est pas bien comprise. J’ai été hospitalisé 3 fois. J’ai rencontré de nombreux psychanalystes plus ou moins compétent. J’ai aussi été totalement abruti pendant deux années entières fortement drogué au Depakote. On a essayé différent médicament : le fameux Lithium, mais il me donne du diabète insipide néphrogénique (un problème rénal très sérieux), le Lamictal, mais il me donne des brulures au troisième degré, etc. J’ai fini par prendre de l’Abilify. Ce médicament était efficace, mais il créer un sérieux ralentissement cognitif, fait prendre du poids (donne faim et fait prendre du poids), et je dormais vraiment beaucoup. J’ai suivi l’année dernière un stage de psychoéducation au centre expert bipolaire de l’hôpital du Chesnay. Un médecin et une infirmière spécialisés dans pathologie nous ont expliquer en long et en large comme à d’autre professionnels cette maladie. Cela a duré 3 mois à raison d’une séance d’une heure trente par semaine. J’ai beaucoup appris, que le taux de suicide chez les bipolaires était de 15% mais aussi que la décision de prendre des médicaments était la mienne et non pas celle de médecin. J’ai décidé il y a 3 mois d’arrêter mes médicaments. J’ai la chance d’avoir une famille stable, une femme extraordinaire, un travail stable où un ami fidèle Stanislas m’a accueilli malgré ma maladie, de très bon amis, une belle famille, etc. Je n’ai jamais eu de pulsion de suicide, même au plus profond de la dépression. Quand on est sur une phase haute, c’est exhalant, excitant, fabuleux. On est efficace, survolté, on dort peu, on est capable de tout. Tout vous parait possible et l’est parfois. On a une énergie débordante. On produit beaucoup. On se sent bien. On parle beaucoup et trop vite. On a peur de rien. On prend des risques. On est exigeant avec les autres. Bien trop. On s’énerve vite. Et le pire, c’est qu’on ne comprend pas qu’on est dans cet état et on ne l’accepte pas si on vous le dit. Mais on finit toujours par retomber. La souffrance psychique en dépression est, elle, très difficile, bien pire que la souffrance physique. On ne pense pas pouvoir s’en sortir. Impossible de se lever du lit. On pense que les gens ne vous aime que par pitié. Qu’on a rien fait de sa vie et n’en fera rien. Qu’on fait souffrir son entourage. Que rien n’est possible. C’est assez dur. Cette maladie a fait souffrir mon entourage, ma femme, ma famille, mes enfants, mes amis, etc. Je n’ai pas eu la carrière que j’aurai voulue. Je n’ai pas pu financer les études de mes enfants. Mais je ne suis pas malheureux. J’aurai pu avoir un cancer jeune et en mourir. Et puis j’ai été bien entouré. Je l’ai de façon modérée, en comparaison avec des personnes que j’ai pu rencontrer lors de groupe de discussions de personnes affectées par cette maladie. Pour l’instant ça tient sans médicaments. J’espère que ça continuera à tenir.
Patrick 


   
AlienorSiloe reacted
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robin94
(@robin94)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 3
 

@ems


   
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Cineo
(@cineo)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 2
 

Bonsoir, je me présente paul(j ai changer mon prénom) j ai 38 ans et ma compagne 35 ans et bipolaire. Je songe tres serieusement a rompre car ma vie n est plus possible je l aime mais ma raison me dit d arreter car je me detruit psycologiquement, mentalement, sentimentalement et aussi financierement. Le probleme c est l aimant j ai peur qu un drame arrive suite a cette rupture car malgres le mal que je ressent et que je subit, je l aime et je ne veut pas qui lui arrive quelque chose, mais on se detruit elle comme moi dans cette histoire. J ai l impression de parler a un mur, elle dit comprendre mais c est enfermer dans le poker, l alcool ect..... J ai l impressio. D etre pris en otage et de ne pouvoir rien faire.... Jd ne demande pas de solution pour que ca aille mieux mais des conseils pour que cette rupture ce fasse avec le moins de degat possible . Si certains on vecu ce genre de choses, je suis ouvert a toutes aides (je sais que chaque personnes est differentes) mais la maladie a les meme lignes de problemes, TS, manie, exces ect

merci encore pour toutes aides

A defaut de ne pouvoir la sauvee, je sauverai la vie de ma fille et moi meme (et pas de jugement svp j ai toinours etait la pour cette personne.... Moralement, physiquement, a chaque soucis de santé)

Spoiler
Rupture


   
AlienorSiloe reacted
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patdub
(@patdub)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 12
 

Bonjour Paul,

C’est pas facile d’être le conjoint d’une personne bipolaire. Je suis bipolaire moi-même et le sais bien. On fait des conneries. Parfois de très grosses quand on est en phase haute. Le soutien du conjoint est primordial. Sinon on sombre. Cela ne veut pas dire qu’il faut rester avec nous, ni culpabiliser de nous quitter si la vie devient insupportable. Mais il faut avoir conscience du rôle extraordinaire et généreux que vous faites en restant le cas échéant à nos côtés. Vous n’en aurez d’ailleurs probablement pas la reconnaissance. Mais moi je vous le dit. La première phase indispensable est l’acceptation de la maladie. Cela peut prendre un peu de temps. On ne l’accepte pas dans une phase haute. Une fois que le diagnostic est fait et que le malade accepte ce diagnostic l’espoir peut renaître. Tous les médecins ne sont pas bon. Il faut faire attention. Mais nous ne sommes pas de mauvais bougres. Nous avons une maladie compliquée. Je souhaite que vous trouviez un bon psychanalyste pour votre conjoint. Il existe des centres experts bipolaires appelés FondaMental qui sont très bien. Je vous encourage vivement à en contacter un pour votre conjoint. Il y a des traitements qui marchent. On peut très bien vivre avec cette maladie. Bon courage. Patrick 


   
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patdub
(@patdub)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 12
 

Je voulais aussi partager mon expérience(que j’ai déjà posté sur ce forum je m’en excuse)

Bonjour, J’ai été diagnostiqué Bipolaire (on ne dit plus maniaco-dépressif car le mot maniacofait peur) à l’âge de 40 ans à la suite d’un Burn-Out chez Microsoft Europe où je travaillais. A l’époque je voyageais beaucoup, dormais peu et passais la plupart de mon temps à travailler. Un très bon ami collègue à l’époque Claude m’a aidé et soutenu mais j’ai fini par perdre mon travail pour incompétence. Il est vrai que cette maladie impacte l’efficacité professionnelle, qu’elle peut surprendre et dérouter. Elle n’est pas bien comprise. J’ai été hospitalisé 3 fois. J’ai rencontré de nombreux psychanalystes plus ou moins compétent. J’ai aussi été totalement abruti pendant deux années entières fortement drogué au Depakote. On a essayé différent médicament : le fameux Lithium, mais il me donne du diabète insipide néphrogénique (un problème rénal très sérieux), le Lamictal, mais il me donne des brulures au troisième degré, etc. J’ai fini par prendre de l’Abilify. Ce médicament était efficace, mais il créer un sérieux ralentissement cognitif, fait prendre du poids (donne faim et fait prendre du poids), et je dormais vraiment beaucoup. J’ai suivi l’année dernière un stage de psychoéducation au centre expert bipolaire de l’hôpital du Chesnay. Un médecin et une infirmière spécialisés dans pathologie nous ont expliquer en long et en large comme à d’autre professionnels cette maladie. Cela a duré 3 mois à raison d’une séance d’une heure trente par semaine. J’ai beaucoup appris que le taux de suicide chez les bipolaires était de 15% mais aussi que la décision de prendre des médicaments était la mienne. J’ai décidé il y a 3 mois d’arrêter mes médicaments. J’ai la chance d’avoir une famille stable, une femme extraordinaire, un travail stable où un ami fidèle Stanislas m’a accueilli malgré ma maladie. Je n’ai jamais eu de pulsion de suicide, même au plus profond de la dépression. Quand on est sur une phase haute, c’est exhalant, excitant, fabuleux. On est efficace, survolté, on dort peu, on est capable de tout. Tout vous parait possible et l’est parfois. On a une énergie débordante. On produit beaucoup. On se sent bien. On parle beaucoup et trop vite. On a peur de rien. On est exigeant avec les autres. Bien trop. On s’énerve vite. Et le pire, c’est qu’on ne comprend pas qu’on est dans cet état et on ne l’accepte pas si on vous le dit. Mais on finit toujours par retomber. La souffrance psychique en dépression est elle très difficile, bien pire que la souffrance physique. On ne pense pas pouvoir s’en sortir. Impossible de se lever du lit. On pense que les gens vous aime que par pitié. Qu’on a rien fait de sa vie et n’en fera rien. Qu’on fait souffrir son entourage. Que rien n’est possible. C’est assez dur. Cette maladie a fait souffrir mon entourage, ma femme, ma famille, mes enfants, mes amis, etc. Je n’ai pas eu la carrière que j’aurai voulue. Je n’ai pas pu financer les études de mes enfants. Mais je ne suis pas malheureux. J’aurai pu avoir un cancer jeune et en mourir. Et puis j’ai été bien entouré. Je l’ai de façon modérée, en comparaison avec des personnes que j’ai pu rencontrer lors de groupe de discussions de personnes affectées par cette maladie. Pour l’instant ça tient sans médicaments. J’espère que ça continuera à tenir.

 

Patrick


   
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Sphinx26
(@sphinx26)
Trusted Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 50
 

Bonjour à tous je suis bipolaire depuis l'âge de 17 ans après de multiple phase maniaque et de multiples dépression je suis encore là j'aimerais partager avec vous des discussions intéressantes j'ai maintenant 44 ans je suis dans une phase plutôt down bon courage à tous à bientôt


   
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Poupic
(@poupic)
Eminent Member
Inscription: Il y a 4 ans
Posts: 33
 

Bonjour où plutôt bonsoir vu l'importance que vous portez à toutes ces soit disant thérapies ou médication vous devez aussi savoir que nous nous mentons a nous même nôtre condition nous mets parfois dans des situations que même nous ne désirons pas mais ainsi va la vie et je pense qu'il faut beaucoup de recule pour apprécier ces moments que l'on aime tellement et qui nous sont propres quand pensez vous...?? 😇


   
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