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Taoanim
(@taoanim)
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Début du sujet  

Salut  à tout les bipot! Merci pour  l'accueil jésus également  un bipot et je viens chercher  du soutien  dans votre  communauté.  J'espère  avoir posté  au bonne androit.

Je me présent  tao: 

 

Situation des parents, (artistes et professeurs d'arts plastiques tous les deux) :

- père hypersensible, colérique, anxieux, dépressif, paranoïa conflictuelle, plusieurs hospitalisations en clinique psychiatrique et retraite anticipée.

- mère hypersensible , anxieuse et atteinte de troubles paniques envahissants, plusieurs hospitalisations en clinique psychiatrique et retraite anticipée.

J'ai pourtant reçu une éducation stable, avec beaucoup d'amour, des conditions matérielles normales et des parents présents.

 

Âge de 5 ans :

Diagnostique de dyslexie, dyscalculie et dysorthographie, avec redoublement du CP.

Suivra une scolarité sans problèmes si ce n'est les difficultés liées à la dyslexie et à la dyscalculie.

Annonce

Première prise en charge par une psychologue, pour des TOC de vérification, de rangement ou liés à des angoisses précises.

 

Âge de 14 ans :

- Décrochage scolaire à partir de la 5ème, à part certaines matières pour lesquelles l'intérêt et la culture générale permettent de compenser largement le manque total de travail personnel.

- Retard dans l'évolution des centres d'intérêt et des activités liés à l'adolescence, (joue très tard à des jeux souvent réservés à des enfants, souvent seul, ou avec de plus jeunes enfants).

 

15 ans : 1ère attaque de panique au collège (4ème). Le médecine généraliste parle de « spasmophilie ».

Anxiété.

 

16 ans, entrée au lycée : découverte du cannabis, de manière modérée.

 

17 ans : augmentation progressive de la consommation de cannabis. Anxiété qui conduira au premier traitement anti-dépresseur, (ISSRS). Redoublement de la seconde.

 

18 ans : 1ère rupture amoureuse marquante, (les antidépresseurs bloquent la libido et ma compagne ne comprend ce manque d'intérêt brutal pour le sexe). Cette séparation induira une explosion de la consommation de cannabis, (entre 10 et 20 joints par jour, variétés de type hollandaise très concentrées en THC) et l'arrêt brutal de l'antidépresseurs.

Suivra une période de 2 ans, avec forte consommation de cannabis, confiance en moi, un très grand nombre de conquêtes amoureuses et d'expérimentations hétérosexuelles, et les comportants typiques de l'adolescence, (opposition à l'autorité, expériences en tous genre), logorrhée rapide, assurance apparente.

Entre 20 et 21 ans : Le cannabis déclenche les 1ers « bad trips » et je perds connaissance à 2 reprises, par intoxication aigüe, (alcool + cannabis). Redoublement de la terminale. Sevrage obligatoire du cannabis que je ne supporte plus. Je compense avec l'alcool, de manière chronique mais essentiellement le soir et pour dormir. Le diagnostique psychiatrique posé alors est le suivant : anxiété généralisée, agoraphobie, dont découlent des symptômes dépressifs. Prescription de benzodiazépines (lysanxia et rivotril). Déménagement en Polynésie française, où je refais une terminale.

Après une 3ème perte de connaissance sans prises de toxiques cette fois-ci, un neurologue me déclare épileptique et me met sous Dépakine Chrono 500, (2 cp/jour).

Ma consommation d'alcool se calme un peu, elle n'est plus quotidienne, mais peut être massive.

Les rares expériences de retour au cannabis se soldent par des échecs.

L'anxiété est de plus en plus présente et on me prescrit du Seresta, (3x 50 mg/jour).

J'obtiens mon bac, trouve mon 1er emploi et vit en collocation. Malgré ces réussites relatives, mon anxiété est toujours là. Je reprends pendant 1 mois, une consommation de cannabis quotidienne, mais légère, qui me conduit à l'augmentation de mon anxiété et à l'arrêt de ma consommation de cannabis.

 

entre 22 ans et 23 ans :

Grâce à ce 1er emploi et à l'aide financière de mes parents, je décide de rentrer à La Réunion en voyageant pendant 3 mois en Nouvelle Zélande et en Australie.

Pendant les mois qui précédent ce départ, je suis tétanisé par mon anxiété chronique, l'alcool devient la béquille qui me permet de fonctionner à peu près normalement.

Un généraliste me prescrit un nouvel antidépresseur, (ISSRS), alors que je continue mon traitement au Seresta, ainsi que la Dépakine.

Pendant les 3 mois de voyage et les quelques mois suivent mon retour à La Réunion, (en tout pendant 18 mois), c'est une phase que je qualifie de « up » : loghorée rapide, impression de toute-puissance, de très nombreuses conquêtes amoureuses, consommations de tabac et d'alcool excessives, sommeil hyper-récupérateur, (besoins plus réduits), avec de petites angoisses occasionnelles, que je calme par des prises ponctuelles de Séresta, (je l'avais arrêté pendant mon voyage). Pendant cette période j'ai repris une consommation quotidienne de cannabis et j'ai arrêté brusquement et totalement l'antidépresseur que je prenais depuis la Polynésie.

Peu après mon retour à La Réunion, je décide de reprendre des études et m'inscrit en BTS Gestion Protection de la Nature.

 

Entre 23 et 25 ans.

Après cette 1ère année d'études, un neurologue a finit par admettre que je ne suis en aucun cas épileptique et supprime brutalement la Dépakine. Mon état se dégrade progressivement.

Je ne supporte à nouveau plus le cannabis et suite à une ingestion assez massive (lait), je fais une bouffée délirante aigüe. J'arrête le canabis mais augmente ma consommation régulière d'alcool. Je retourne consulter le Dr Dabadie qui me suit de loin en loin depuis mon adolescence, car mes troubles sont à la fois psychique, mais aussi physiques, (diarrhées chroniques et douleurs abdominales). Elle me prescrit d'abord des anxiolytiques (lysanxia).

Je commence à cette époque une relation amoureuse sérieuse (qui durera 2 ans).

Un voyage aux Comores, en mission dans le cadre de mes études, dans des conditions difficiles, augmente de manière considérable mon niveau d'anxiété et génère un état dépressif mais paradoxalement avec des phases énergiques, pour les activités physiques ou les soirées.

Je me vois donc prescrire : effexor (75 mg), solian (100 mg) et toujours le lysanxia.

Sur place, je suis contraint de stopper totalement ma consommation d'alcool, (pays musulman pendant le ramadan).

Au retour, épuisé par cette mission, je rentre en clinique psychiatrique pour 2 semaines.

A cette époque, commence pour une forte dépendance aux benzodiazépines, avec une consommation quotidienne, prescrite sur de longues durées.

 

Au bout de deux ans de vie commune, avec ma compagne, qui m'apporte une forme de stabilité et m'aide à gérer mes problèmes, et l'obtention de mon BTS, je me persuade ainsi que mon entourage, que je ne suis pas « malade » et que je pourrait gérer mon anxiété de manière naturelle.

Je commence tout seul, des sevrages trop rapides et non suivis. L'effet est catastrophique, (notamment avec les « benzos ») : agressivité, augmentation de la consommation d'alcool… je rentre dans une nouvelle phase « up », plus courte, (2 ou 3 mois).

Je décide de quitter ma compagne, de manière abrupte et impulsive, et de tout quitter pour partir en Nouvelle Zélande.

Je fais donc volontairement une cure d'un mois en clinique psychiatrique, dans le but de me sevrer de tous les psychotropes psychiatriques.

Les souffrances physiques et psychiques sont alors insupportables et me rendent agressif et obsessionnel, envers ma compagne, qui finit par couper les ponts , en me disant qui je suis trop malade et qu'elle ne peut plus m'aider. C'est moi qui au départ avait souhaité arrêter cette relation, mais au final, je me sens abandonné, à cause de comportements qui ne m'appartiennent pas, et qui pour moi ne seraient jamais arrivés, sans les sevrages mal gérés que j'avais entrepris quelques mois plus tôt.

Pendant mon séjour en clinique, je ramène de l'extérieur une femme dans ma chambre, qui reste cachée trois jours avant d'être découverte. Suite à cet incident je suis contraint de quitter la clinique.

Mon état empire : phase obsessionnelle en lien avec la rupture amoureuse que je viens de subir, phobie d'impulsions, idées suicidaires et brusque changements d'humeur.

Je ne parviens pas à me sevrer totalement des médicaments et reprends une consommation régulière mais modérée de benzodiazépines, l'antidépresseur est maintenu mais le neuroleptique est supprimé.

J'ai toujours pour projet un sevrage total, mais j'ai compris que cela doit de faire de manière plus progressive.

Je décide alors, (en août 2015), de partir en métropole rejoindre mon meilleur ami et chercher du travail.

 

De 25 ans à 27 ans :

Je trouve rapidement du travail dans mon domaine et continue mes sevrages médicamenteux.

Pour supporter une charge de travail assez lourde, une pathologie que je ne reconnais pas et qui n'est pas traitée, et les regrets face à ma rupture amoureuse encore récente, j'augmente de manière excessive et quotidienne ma consommation d'alcool.

Pendant les 1 ans et demi, mon état se dégrade : changements d'humeurs brusque, dépression, idées suicidaires, anxiété, mais aussi obsessions, (rupture amoureuse), phobies d'impulsions, (peur d'agresser quelqu'un au couteau, peur du suicide en conduisant, peur de la survenue d'évènements tragiques…), TOC, (demander de manière incessante à mes proches s'ils vont bien…).

Pendant cette période, j'alterne entre des phases dépressives et anxieuses, des phases énergiques et néanmoins anxieuses et dépressives, et des phases « up », mais avec un contrôle minimum et donc des conséquences pas trop graves.

Grâce à ces phases où je me sens bien et plein d'énergie, j'ai une réussite et une reconnaissance professionnelle et je vis deux relations amoureuses, assez courtes (3 mois).

Dans les deux cas c'est ma compagne qui me quittera, à cause de mes changements d'humeurs, de ma consommation d'alcool, et d'une tendance à l'auto-dépréciation, mais pendant mes phases « up », elles ont décrit toutes les deux : une intelligence  très fluide, une logorrhée rapide, et des difficultés à rester en place.

Au bout d'un an en métropole, je suis enfin sevré, mais mes changements d'humeurs s'accélèrent, (jusqu'à 8 à 10 changements par jour) et je revois un psychiatre qui, à ma demande, me prescrit de nouveau un antidépresseur, (le Déroxat, 20 mg). S'ensuit un épisode « up » de 3 mois, une reprise légère de la consommation de cannabis et une meilleure maîtrise de ma consommation d'alcool.

Après ces 3 mois, je retombe dans les mêmes problématiques qu'auparavant, en plus fort. Je commence à me questionner sur mon éventuelle bipolarité. Je pense être dangereux pour moi-même et pour les autres, (mélanges alcool-médicaments-conduite).

Je me fais volontairement interné en hôpital psychiatrique, (à Antibes) : 2 fois 2 semaines, suivies de 2 fois un mois en clinique psychiatrique, (à Mougins), où l'on me pose pour la première fois un diagnostique de bipolarité. On me propose un traitement au lithium mais malheureusement je ne le fixe pas. J'ai donc un traitement au Tegretol (800 mg) et ziprexa (20 mg).

 

 

 

De 27 ans à aujourd'hui :

Je rentre en urgence à La Réunion, (en quittant un CDI), et suis interné en clinique psychiatrique à la Réunion, pendant 3 mois.

À la clinique je maintiens un sevrage stricte de l'alcool et réussis à décrocher totalement des benzodiazépines pour plusieurs années…

Les psychiatres de la clinique posent plusieurs diagnostiques différents : borderline, troubles anxieux, schizo-affectif et bipolaire en épisode mixte.

Pendant cette hospitalisation, je me mets au sport et au yoga de manière intensive et quotidienne, des pratiques que je poursuivrai quelques mois après ma sortie de clinique.

Je sort de la clinique avec le même traitement, (prescrit à Mougins) + le Déroxat, et malgré le sport je prends 15 kg (ziprexa…) et maintiens mon abstinence à l'alcool.

 

Je rencontre ma compagne actuelle, avec qui je suis aujourd'hui fiancé et dans une relation stable et durable, avec de nombreux projets d'avenir (enfants, mariage). Nous sommes aujourd'hui à 3 ans de vie commune. À la même époque, je reprends des études, en licence pro GPN.

Au bout de quelques mois, je décide d'arrêter brutalement le Ziprexa, car il me fait prendre trop de poids et me rend léthargique, ainsi que le Déroxat qui détruit ma libido, mais concernant le Déroxat, je ne parviens pas à me sevrer.

 

Etant entouré de personnes issues du milieu altermondialiste et écologiste, ce qui correspond également à mes convictions, je me persuade à nouveau de n'être pas malade mais simplement hypersensible.

J'entame donc de nouveaux sevrages des médicaments qui aboutissent à une détérioration de mon état, à une reprise de ma consommation excessive d'alcool et finalement à une nouvelle hospitalisation en clinique, (3 semaines). Pendant ce nouveau séjour en clique, on m'augmente la dose de Tégrétol, (de 800 mg à 1600 mg), ce qui fera exploser mon taux de gamma GT, alors même que j'ai été sobre à la clinique.

À ma demande, on change le Déroxat pour du Zoloft (50 mg), car mes propres recherches me persuadent qu'il aura moins d'impact sur ma libido. Et l'on remplace le Ziprexa, supprimé quelques mois plus tôt, par du Xeroquel (600 mg).

Cet épisode de mal-être et l'hospitalisation qui a suivi, ont causé l'abandon en cours d'année de ma licence pro.

Je quitte donc la clinique à moitié stabilisé et retrouve une consommation d'alcool excessive.

Peu à peu, je développe une phobie des médicaments, car j'ai peur de causer des dégâts irréversibles sur ma santé, avec ces cocktails médicaments-alcool.

Je trouve un médecin généraliste qui accepte de m'accompagner une nouvelle démarche de sevrage total.

Je suis à cette époque diagnostiqué par un gastro-entérologue, hypersensible au gluten, que j'ai depuis totalement supprimé de mon alimentation, et au lactose.

Je réussis avec l'aide de mon médecin, à descendre le Xeroquel à 300 mg, en sevrage progressif, maintient le Zoloft à 50mg, et supprime brutalement le Tégrétol. L'énergie revient. Je parviens de nouveau à me lever tôt, ma libido fonctionne normalement. Je me supplémente en vitamines et en probiotiques et découvre les bienfaits du CBD, une des substances actives du cannabis, qui a des vertus anxiolytiques et neuroleptiques mais que consomme sans THC, puisque je sais maintenant que je ne le supporte pas.

Pendant 2 mois cette combinaison est bénéfique : je retrouve de l'énergie, une consommation normale d'alcool, et une vie stable et heureuse, (un léger « up » ?).

Après ces deux mois, je retombe dans le mal-être : changements brutaux d'humeurs, dépression, angoisses, phobies d'impulsion et forte augmentation de ma consommation d'alcool.

Après une consultation en urgence, je persuade ma psychiatre de me prescrire de nouveau de la Dépakine chrono, (500 mg x2). Mon état s'aggrave, avec une forte consommation d'alcool qui perdure sous Dépakine. Je suis contraint, pour faire face un un stress grandissant et des attaques de panique à répétition, de reprendre un benzodiazépine : le Valium, qui ajouté à l'arrêt de ma consommation d'alcool, se révèle efficace sur mon état anxieux, mais avec une grande fatique .

Je suis donc actuellement sous Xéroquel (300 mg), Zoloft (50 mg), Dépakine (1000 mg) et Valium, (si besoin).

 

 

Après de longues réflexions et discussions avec ma compagne, de recherches personnelles, (notamment à travers vos livres), je suis persuadé d'être bipolaire de type cyclothymique, avec cycles rapides et des épisodes mixtes. Mon état est selon moi aggravé par les anti-dépresseurs.

Malgré ma maladie, mon couple est solide et je mesure la chance que j'ai d'avoir trouvé une personne qui comprends mes problèmes et est prête à m'aimer malgré tout.

Ces 13 dernières années, j'ai consulté une multitudes de professionnels, ingurgité de nombreux cocktails médicamenteux et entendu beaucoup de diagnostiques...

J'aspire maintenant à une vie stable, à avoir des enfants, à pouvoir conserver un emploi durable. C'est pourquoi je vous demande votre aide, car d'après mes lectures, vous me sembler privilégier un bon diagnostique, (ce qui ne me semble pas avoir été le cas jusqu'à aujourd'hui pour moi), un traitement ajusté au minimum et adapté, si possible en mono-thérapie.

 

Et aujourd'hui ? Je suis  suivie  par hantou  mais toujours  pas stabilisé  malgré  la distance.

Une hospitalisation  en cliniques  et en cour de préparation  ici sur  place. 

je prend actuellement  avec succès  sur les humeur et le sommeil  2× 400 lp teralite le soir et 20 mg zyprexa qui même  à cette dose ne semble pas calmer  l'angoisse  généralisé  ni les ataque de paniqué. 

Je prends  aussi  2 depamid 300 le matin et 2 depamid 300 le soir.
Je prend 3 aotal 1 matin midi et soir. 
Et je prend de 3 à 4 bromazepam 6mg par jour matin midi et soir et un de plus en cas d'angoisse .
En cas de rumination  et pensé  ( pas envie) suicidaire   je peux augmenté  les dose de bromazepam à 8..
Je suis actuellement  tellement pris dans mes rumination et mes angoisse  et attaque  de panique que je commence  à entrer  en dépression et que mes proches ne me supporte  plus , de plus avec tous c'est  médicaments  je me sens  lourd  et fatigué.  Je n'avais pas fait ni eu de pensé  morbide ou suicidaire depuis des années.  Je dis bien pensé  c'est  obsédant comme pour  arrêtée  la souffrance. 

   
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Melo
 Melo
(@malette)
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Alors je te dis ça mais c’est pas prouvé mais moi c’est comme ça que je le ressent. Je suis sous zyprexa également. Je suis passée de 12,5 à 5 parce que clairement ça le rendait dépressive. Je pense qu’à haute dose sans peut rendre dépressif. Je te conseille donc de baisser le zyprexa par palier pour attendre la dose qui te convienne.

bon comme j’ai dit c’est un ressenti. Avant de faire cela parles en a ton psy. Moi c’est ce que j’ai fait.


   
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Taoanim
(@taoanim)
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Début du sujet  

@malette salut, j'ai le même  ressenti aussi mais ça  agit pour  l'instant  tellement  bien sur mes angoisse  à cette dose que j'attends  d'être  plus stable pour  le baisser.  J'en  parlerai à mon doc à ce moment. 

 

Merci des conseils. 

 

Et toi niveau effet  secondaire/dose ça  a donné  quoi? Tu supporte  assez  bien le zyp?

 

Moi ça  me fait  prendre  du poids  que au niveaux  du ventre c'est  tolérable  mais faudrait  pas que ça  augmente...


   
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Melo
 Melo
(@malette)
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Sur moi c super efficace sur les angoisses et les manies. Mais ça le sedate au delà de 10


   
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Melo
 Melo
(@malette)
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Je mange bcp aussi


   
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Taoanim
(@taoanim)
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Début du sujet  

@malette et a 5 tu ressens  les effets ? En ce moment  je suis  en pleine  crise  donc je suis obligé forcé  à 20 mg sinon je fait des attaques  de panique  plusieurs  fois  par jour.... tu a quoi comme  traitement  en plus? Tu n'a plus aucune angoisses  ou ataque  de panique  avec le zyp?


   
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Taoanim
(@taoanim)
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Début du sujet  

@malette pas de prise de poids?


   
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Melo
 Melo
(@malette)
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5 que des effets positifs ça le stabilise sur la journée mais le soir c’est pas évident. Je prends du lamictal en plus.

je pense avoir pris de poids mais je regarde pas trop sinon je pleur.

quand j’étais en crise même avec le zyprexa j’avais des légères angoisses, pas de panique.

j’ai augmenté en janvier à 12,5 suite à une angoisse chelou un peu psychotique j’ai été en arrêt 1 mois et là j’ai repris le boulot donc j’ai descendu le traitement.


   
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Urantia
(@urantia)
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Posted by: @taoanim

Salut  à tout les bipot! Merci pour  l'accueil jésus également  un bipot et je viens chercher  du soutien  dans votre  communauté.  J'espère  avoir posté  au bonne androit.

Je me présent  tao: 

 

Situation des parents, (artistes et professeurs d'arts plastiques tous les deux) :

- père hypersensible, colérique, anxieux, dépressif, paranoïa conflictuelle, plusieurs hospitalisations en clinique psychiatrique et retraite anticipée.

- mère hypersensible , anxieuse et atteinte de troubles paniques envahissants, plusieurs hospitalisations en clinique psychiatrique et retraite anticipée.

J'ai pourtant reçu une éducation stable, avec beaucoup d'amour, des conditions matérielles normales et des parents présents.

 

Âge de 5 ans :

Diagnostique de dyslexie, dyscalculie et dysorthographie, avec redoublement du CP.

Suivra une scolarité sans problèmes si ce n'est les difficultés liées à la dyslexie et à la dyscalculie.

Première prise en charge par une psychologue, pour des TOC de vérification, de rangement ou liés à des angoisses précises.

 

Âge de 14 ans :

- Décrochage scolaire à partir de la 5ème, à part certaines matières pour lesquelles l'intérêt et la culture générale permettent de compenser largement le manque total de travail personnel.

- Retard dans l'évolution des centres d'intérêt et des activités liés à l'adolescence, (joue très tard à des jeux souvent réservés à des enfants, souvent seul, ou avec de plus jeunes enfants).

 

15 ans : 1ère attaque de panique au collège (4ème). Le médecine généraliste parle de « spasmophilie ».

Anxiété.

 

16 ans, entrée au lycée : découverte du cannabis, de manière modérée.

 

17 ans : augmentation progressive de la consommation de cannabis. Anxiété qui conduira au premier traitement anti-dépresseur, (ISSRS). Redoublement de la seconde.

 

18 ans : 1ère rupture amoureuse marquante, (les antidépresseurs bloquent la libido et ma compagne ne comprend ce manque d'intérêt brutal pour le sexe). Cette séparation induira une explosion de la consommation de cannabis, (entre 10 et 20 joints par jour, variétés de type hollandaise très concentrées en THC) et l'arrêt brutal de l'antidépresseurs.

Suivra une période de 2 ans, avec forte consommation de cannabis, confiance en moi, un très grand nombre de conquêtes amoureuses et d'expérimentations hétérosexuelles, et les comportants typiques de l'adolescence, (opposition à l'autorité, expériences en tous genre), logorrhée rapide, assurance apparente.

Entre 20 et 21 ans : Le cannabis déclenche les 1ers « bad trips » et je perds connaissance à 2 reprises, par intoxication aigüe, (alcool + cannabis). Redoublement de la terminale. Sevrage obligatoire du cannabis que je ne supporte plus. Je compense avec l'alcool, de manière chronique mais essentiellement le soir et pour dormir. Le diagnostique psychiatrique posé alors est le suivant : anxiété généralisée, agoraphobie, dont découlent des symptômes dépressifs. Prescription de benzodiazépines (lysanxia et rivotril). Déménagement en Polynésie française, où je refais une terminale.

Après une 3ème perte de connaissance sans prises de toxiques cette fois-ci, un neurologue me déclare épileptique et me met sous Dépakine Chrono 500, (2 cp/jour).

Ma consommation d'alcool se calme un peu, elle n'est plus quotidienne, mais peut être massive.

Les rares expériences de retour au cannabis se soldent par des échecs.

L'anxiété est de plus en plus présente et on me prescrit du Seresta, (3x 50 mg/jour).

J'obtiens mon bac, trouve mon 1er emploi et vit en collocation. Malgré ces réussites relatives, mon anxiété est toujours là. Je reprends pendant 1 mois, une consommation de cannabis quotidienne, mais légère, qui me conduit à l'augmentation de mon anxiété et à l'arrêt de ma consommation de cannabis.

 

entre 22 ans et 23 ans :

Grâce à ce 1er emploi et à l'aide financière de mes parents, je décide de rentrer à La Réunion en voyageant pendant 3 mois en Nouvelle Zélande et en Australie.

Pendant les mois qui précédent ce départ, je suis tétanisé par mon anxiété chronique, l'alcool devient la béquille qui me permet de fonctionner à peu près normalement.

Un généraliste me prescrit un nouvel antidépresseur, (ISSRS), alors que je continue mon traitement au Seresta, ainsi que la Dépakine.

Pendant les 3 mois de voyage et les quelques mois suivent mon retour à La Réunion, (en tout pendant 18 mois), c'est une phase que je qualifie de « up » : loghorée rapide, impression de toute-puissance, de très nombreuses conquêtes amoureuses, consommations de tabac et d'alcool excessives, sommeil hyper-récupérateur, (besoins plus réduits), avec de petites angoisses occasionnelles, que je calme par des prises ponctuelles de Séresta, (je l'avais arrêté pendant mon voyage). Pendant cette période j'ai repris une consommation quotidienne de cannabis et j'ai arrêté brusquement et totalement l'antidépresseur que je prenais depuis la Polynésie.

Peu après mon retour à La Réunion, je décide de reprendre des études et m'inscrit en BTS Gestion Protection de la Nature.

 

Entre 23 et 25 ans.

Après cette 1ère année d'études, un neurologue a finit par admettre que je ne suis en aucun cas épileptique et supprime brutalement la Dépakine. Mon état se dégrade progressivement.

Je ne supporte à nouveau plus le cannabis et suite à une ingestion assez massive (lait), je fais une bouffée délirante aigüe. J'arrête le canabis mais augmente ma consommation régulière d'alcool. Je retourne consulter le Dr Dabadie qui me suit de loin en loin depuis mon adolescence, car mes troubles sont à la fois psychique, mais aussi physiques, (diarrhées chroniques et douleurs abdominales). Elle me prescrit d'abord des anxiolytiques (lysanxia).

Je commence à cette époque une relation amoureuse sérieuse (qui durera 2 ans).

Un voyage aux Comores, en mission dans le cadre de mes études, dans des conditions difficiles, augmente de manière considérable mon niveau d'anxiété et génère un état dépressif mais paradoxalement avec des phases énergiques, pour les activités physiques ou les soirées.

Je me vois donc prescrire : effexor (75 mg), solian (100 mg) et toujours le lysanxia.

Sur place, je suis contraint de stopper totalement ma consommation d'alcool, (pays musulman pendant le ramadan).

Au retour, épuisé par cette mission, je rentre en clinique psychiatrique pour 2 semaines.

A cette époque, commence pour une forte dépendance aux benzodiazépines, avec une consommation quotidienne, prescrite sur de longues durées.

 

Au bout de deux ans de vie commune, avec ma compagne, qui m'apporte une forme de stabilité et m'aide à gérer mes problèmes, et l'obtention de mon BTS, je me persuade ainsi que mon entourage, que je ne suis pas « malade » et que je pourrait gérer mon anxiété de manière naturelle.

Je commence tout seul, des sevrages trop rapides et non suivis. L'effet est catastrophique, (notamment avec les « benzos ») : agressivité, augmentation de la consommation d'alcool… je rentre dans une nouvelle phase « up », plus courte, (2 ou 3 mois).

Je décide de quitter ma compagne, de manière abrupte et impulsive, et de tout quitter pour partir en Nouvelle Zélande.

Je fais donc volontairement une cure d'un mois en clinique psychiatrique, dans le but de me sevrer de tous les psychotropes psychiatriques.

Les souffrances physiques et psychiques sont alors insupportables et me rendent agressif et obsessionnel, envers ma compagne, qui finit par couper les ponts , en me disant qui je suis trop malade et qu'elle ne peut plus m'aider. C'est moi qui au départ avait souhaité arrêter cette relation, mais au final, je me sens abandonné, à cause de comportements qui ne m'appartiennent pas, et qui pour moi ne seraient jamais arrivés, sans les sevrages mal gérés que j'avais entrepris quelques mois plus tôt.

Pendant mon séjour en clinique, je ramène de l'extérieur une femme dans ma chambre, qui reste cachée trois jours avant d'être découverte. Suite à cet incident je suis contraint de quitter la clinique.

Mon état empire : phase obsessionnelle en lien avec la rupture amoureuse que je viens de subir, phobie d'impulsions, idées suicidaires et brusque changements d'humeur.

Je ne parviens pas à me sevrer totalement des médicaments et reprends une consommation régulière mais modérée de benzodiazépines, l'antidépresseur est maintenu mais le neuroleptique est supprimé.

J'ai toujours pour projet un sevrage total, mais j'ai compris que cela doit de faire de manière plus progressive.

Je décide alors, (en août 2015), de partir en métropole rejoindre mon meilleur ami et chercher du travail.

 

De 25 ans à 27 ans :

Je trouve rapidement du travail dans mon domaine et continue mes sevrages médicamenteux.

Pour supporter une charge de travail assez lourde, une pathologie que je ne reconnais pas et qui n'est pas traitée, et les regrets face à ma rupture amoureuse encore récente, j'augmente de manière excessive et quotidienne ma consommation d'alcool.

Pendant les 1 ans et demi, mon état se dégrade : changements d'humeurs brusque, dépression, idées suicidaires, anxiété, mais aussi obsessions, (rupture amoureuse), phobies d'impulsions, (peur d'agresser quelqu'un au couteau, peur du suicide en conduisant, peur de la survenue d'évènements tragiques…), TOC, (demander de manière incessante à mes proches s'ils vont bien…).

Pendant cette période, j'alterne entre des phases dépressives et anxieuses, des phases énergiques et néanmoins anxieuses et dépressives, et des phases « up », mais avec un contrôle minimum et donc des conséquences pas trop graves.

Grâce à ces phases où je me sens bien et plein d'énergie, j'ai une réussite et une reconnaissance professionnelle et je vis deux relations amoureuses, assez courtes (3 mois).

Dans les deux cas c'est ma compagne qui me quittera, à cause de mes changements d'humeurs, de ma consommation d'alcool, et d'une tendance à l'auto-dépréciation, mais pendant mes phases « up », elles ont décrit toutes les deux : une intelligence  très fluide, une logorrhée rapide, et des difficultés à rester en place.

Au bout d'un an en métropole, je suis enfin sevré, mais mes changements d'humeurs s'accélèrent, (jusqu'à 8 à 10 changements par jour) et je revois un psychiatre qui, à ma demande, me prescrit de nouveau un antidépresseur, (le Déroxat, 20 mg). S'ensuit un épisode « up » de 3 mois, une reprise légère de la consommation de cannabis et une meilleure maîtrise de ma consommation d'alcool.

Après ces 3 mois, je retombe dans les mêmes problématiques qu'auparavant, en plus fort. Je commence à me questionner sur mon éventuelle bipolarité. Je pense être dangereux pour moi-même et pour les autres, (mélanges alcool-médicaments-conduite).

Je me fais volontairement interné en hôpital psychiatrique, (à Antibes) : 2 fois 2 semaines, suivies de 2 fois un mois en clinique psychiatrique, (à Mougins), où l'on me pose pour la première fois un diagnostique de bipolarité. On me propose un traitement au lithium mais malheureusement je ne le fixe pas. J'ai donc un traitement au Tegretol (800 mg) et ziprexa (20 mg).

 

 

 

De 27 ans à aujourd'hui :

Je rentre en urgence à La Réunion, (en quittant un CDI), et suis interné en clinique psychiatrique à la Réunion, pendant 3 mois.

À la clinique je maintiens un sevrage stricte de l'alcool et réussis à décrocher totalement des benzodiazépines pour plusieurs années…

Les psychiatres de la clinique posent plusieurs diagnostiques différents : borderline, troubles anxieux, schizo-affectif et bipolaire en épisode mixte.

Pendant cette hospitalisation, je me mets au sport et au yoga de manière intensive et quotidienne, des pratiques que je poursuivrai quelques mois après ma sortie de clinique.

Je sort de la clinique avec le même traitement, (prescrit à Mougins) + le Déroxat, et malgré le sport je prends 15 kg (ziprexa…) et maintiens mon abstinence à l'alcool.

 

Je rencontre ma compagne actuelle, avec qui je suis aujourd'hui fiancé et dans une relation stable et durable, avec de nombreux projets d'avenir (enfants, mariage). Nous sommes aujourd'hui à 3 ans de vie commune. À la même époque, je reprends des études, en licence pro GPN.

Au bout de quelques mois, je décide d'arrêter brutalement le Ziprexa, car il me fait prendre trop de poids et me rend léthargique, ainsi que le Déroxat qui détruit ma libido, mais concernant le Déroxat, je ne parviens pas à me sevrer.

 

Etant entouré de personnes issues du milieu altermondialiste et écologiste, ce qui correspond également à mes convictions, je me persuade à nouveau de n'être pas malade mais simplement hypersensible.

J'entame donc de nouveaux sevrages des médicaments qui aboutissent à une détérioration de mon état, à une reprise de ma consommation excessive d'alcool et finalement à une nouvelle hospitalisation en clinique, (3 semaines). Pendant ce nouveau séjour en clique, on m'augmente la dose de Tégrétol, (de 800 mg à 1600 mg), ce qui fera exploser mon taux de gamma GT, alors même que j'ai été sobre à la clinique.

À ma demande, on change le Déroxat pour du Zoloft (50 mg), car mes propres recherches me persuadent qu'il aura moins d'impact sur ma libido. Et l'on remplace le Ziprexa, supprimé quelques mois plus tôt, par du Xeroquel (600 mg).

Cet épisode de mal-être et l'hospitalisation qui a suivi, ont causé l'abandon en cours d'année de ma licence pro.

Je quitte donc la clinique à moitié stabilisé et retrouve une consommation d'alcool excessive.

Peu à peu, je développe une phobie des médicaments, car j'ai peur de causer des dégâts irréversibles sur ma santé, avec ces cocktails médicaments-alcool.

Je trouve un médecin généraliste qui accepte de m'accompagner une nouvelle démarche de sevrage total.

Je suis à cette époque diagnostiqué par un gastro-entérologue, hypersensible au gluten, que j'ai depuis totalement supprimé de mon alimentation, et au lactose.

Je réussis avec l'aide de mon médecin, à descendre le Xeroquel à 300 mg, en sevrage progressif, maintient le Zoloft à 50mg, et supprime brutalement le Tégrétol. L'énergie revient. Je parviens de nouveau à me lever tôt, ma libido fonctionne normalement. Je me supplémente en vitamines et en probiotiques et découvre les bienfaits du CBD, une des substances actives du cannabis, qui a des vertus anxiolytiques et neuroleptiques mais que consomme sans THC, puisque je sais maintenant que je ne le supporte pas.

Pendant 2 mois cette combinaison est bénéfique : je retrouve de l'énergie, une consommation normale d'alcool, et une vie stable et heureuse, (un léger « up » ?).

Après ces deux mois, je retombe dans le mal-être : changements brutaux d'humeurs, dépression, angoisses, phobies d'impulsion et forte augmentation de ma consommation d'alcool.

Après une consultation en urgence, je persuade ma psychiatre de me prescrire de nouveau de la Dépakine chrono, (500 mg x2). Mon état s'aggrave, avec une forte consommation d'alcool qui perdure sous Dépakine. Je suis contraint, pour faire face un un stress grandissant et des attaques de panique à répétition, de reprendre un benzodiazépine : le Valium, qui ajouté à l'arrêt de ma consommation d'alcool, se révèle efficace sur mon état anxieux, mais avec une grande fatique .

Je suis donc actuellement sous Xéroquel (300 mg), Zoloft (50 mg), Dépakine (1000 mg) et Valium, (si besoin).

 

 

Après de longues réflexions et discussions avec ma compagne, de recherches personnelles, (notamment à travers vos livres), je suis persuadé d'être bipolaire de type cyclothymique, avec cycles rapides et des épisodes mixtes. Mon état est selon moi aggravé par les anti-dépresseurs.

Malgré ma maladie, mon couple est solide et je mesure la chance que j'ai d'avoir trouvé une personne qui comprends mes problèmes et est prête à m'aimer malgré tout.

Ces 13 dernières années, j'ai consulté une multitudes de professionnels, ingurgité de nombreux cocktails médicamenteux et entendu beaucoup de diagnostiques...

J'aspire maintenant à une vie stable, à avoir des enfants, à pouvoir conserver un emploi durable. C'est pourquoi je vous demande votre aide, car d'après mes lectures, vous me sembler privilégier un bon diagnostique, (ce qui ne me semble pas avoir été le cas jusqu'à aujourd'hui pour moi), un traitement ajusté au minimum et adapté, si possible en mono-thérapie.

 

Et aujourd'hui ? Je suis  suivie  par hantou  mais toujours  pas stabilisé  malgré  la distance.

Une hospitalisation  en cliniques  et en cour de préparation  ici sur  place. 

je prend actuellement  avec succès  sur les humeur et le sommeil  2× 400 lp teralite le soir et 20 mg zyprexa qui même  à cette dose ne semble pas calmer  l'angoisse  généralisé  ni les ataque de paniqué. 

Je prends  aussi  2 depamid 300 le matin et 2 depamid 300 le soir.
Je prend 3 aotal 1 matin midi et soir. 
Et je prend de 3 à 4 bromazepam 6mg par jour matin midi et soir et un de plus en cas d'angoisse .
En cas de rumination  et pensé  ( pas envie) suicidaire   je peux augmenté  les dose de bromazepam à 8..
Je suis actuellement  tellement pris dans mes rumination et mes angoisse  et attaque  de panique que je commence  à entrer  en dépression et que mes proches ne me supporte  plus , de plus avec tous c'est  médicaments  je me sens  lourd  et fatigué.  Je n'avais pas fait ni eu de pensé  morbide ou suicidaire depuis des années.  Je dis bien pensé  c'est  obsédant comme pour  arrêtée  la souffrance. 

Salut toi, bienvenue, quel parcours ! je suis du même département que toi si ça se trouve nous avons eu les mêmes suivis psy, j'en ai vu à Mougins


   
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Taoanim
(@taoanim)
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@urantiat hello:) tu est de la reunion ?


   
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Taoanim
(@taoanim)
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@malette merci  pour  ta réponse  c'est positif  de savoir  que une fois  mieux  je pourrais  baisser  , et que en cas de psychose chalou d'angoisse  comme  toi je peux monté.  Tu  n'a que zyprexa et lamictal ?


   
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Urantia
(@urantia)
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@Tao non du 06 là ou se trouve la ville de Mougins 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
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@taoanim

oui je n’ai que ces deux molécules. Je me sens un peu fragile mais ça reste stable


   
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Urantia
(@urantia)
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@Tao non du 06 là ou se trouve la ville de Mougins je pensais que tu étais passé par là ? 


   
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Taoanim
(@taoanim)
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@uranti bonjour  j'ai vécu 2 ans à biot d'où  mes hospi a Antibes  et à Mougins. 


   
Urantia reacted
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