Nous sommes une grande famille 😂😂😂
J'avoue le beurre de cacahuète 🥜 sur des petits beurres miam miam par contre j'ai testé avec le fromage et c'est pas ouf 😨
Fromage confiture par contre le régal 😋🥰
Je ne connais pas beurre de cacahuètes sur petits beurres, ça doit être une tuerie.
Comme les tucs ou les Pringle avec de la sauce américaine 😋
C'est mal
J'ai été en mi temps thérapeutique quelques semaines, suite à un changement de traitement, puis, depuis fin mai j'étais en arrêt total à cause de la quétiapine. Enfin de ma réaction au médicament. Je suis en congés depuis 1 semaine, je reprends mi-août. J'ai contacté la médecine du travail pour une visite de pré-reprise, pas de réponse. Je sens bien que le 1er jour de retour elle va me demander de refaire un mi-temps thérapeutique. Et donc il me faudra un arrêt à nouveau.
Et j'ai frôlé le burn out à la période du mi temps thérapeutique
@choupie pendant le mi temps thérapeutique tu as frôlé le bien out ? 😳 Prends soin de toi surtout, prends le temps qu'il te faut pour récupérer. La santé avant tout 💚
J'avais trop de boulot. Je bossais que les matins pendant 3h30. Mais il suffisait que j'ai une réunion de 2h/2h30, et j'accumulais encore plus de retard. Ça m'a mis une pression de malade, je faisais les trucs trop rapidement, à moitié. Les après midi je n'arriverais pas à déconnectée, je travaillais dans ma tête pour le lendemain. En fait, avant j'aurais déjà dû faire mes 39h par semaine au lieu de 44h/45h. Et alléger mes journées. J'en faisais trop et je n'ai pas vu que derrière la dépression il y avait les signes du burn out.
@choupie mais du coup ce n'était pas un vrai mi temps thérapeutique alors 🤔 la charge de travail doit être adaptée à un mi temps pour ne pas que tu ais d'accumulation de travail...si tu as une réunion tu ne dois pas te retrouver avec du travail en plus. C'est ça un vrai mi temps thérapeutique. Malheureusement peu d'entreprises le respectent...
Pour le coup mon employeur n'a rien à voir là-dedans, j'en suis arrivée à ce point toute seule. Ce qui m'a conduite à creuser tout ça avec la psy et depuis j'ai changé ma façon de voir le travail.
Essaye de te préserver car la pression au travail n'est pas bonne pour nous. Je sais que c'est difficile de changer car, quelque part, ça fait partie de notre caractère ( conscience professionnelle et perfectionnisme nous rendent plus susceptibles de faire un burn out).
Pour ma part, le travail a toujours fait partie, entre autres, des déclencheurs de mes crises.
Et aujourd'hui, je culpabilise car je ne retrouve pas mon potentiel d'avant à cause de ma dépression. Je ne devrais pas (je suis à mi-temps thérapeutique aussi)
Faut qu'on parle...
Sans blaguer, j'ai le même souci que toi, et comme dit @eliebipbip sur le travail, il est dangereux de trop s'y impliquer (gros raccourci de ma part). D'un côté, trop, c'est pas bien, dans toute domaine, c'est trop kwâ.
Je voulais retourner au boulot 2 semaines après être sorti de l'HP et ma pose de stent cardiaque toute fraîche. Ma psy m'a dit qu'elle me l'interdisait fermement par l'intermédiaire de l'arrêt de travail que j'avais dans les mains.
J'ai clairement un problème avec ça. J'ai eu une discussion avec Zorglub où j'exprime mon incompréhension sur le fait de ne pas travailler.
https://www.lebipolaire.com/forumpourbipotes/main-forum/vie-normale-pour-les-bipolaires/#post-75116
On s'est expliqué, je reconnais avoir été incisif et être psychorigide concernant la notion travail. Mais dans le fond, qui va se faire foutre dehors alors qu'il s'est donné comme un c***ard. Qui est malade ? C'est bibi.
Les irremplaçables remplissent les cimetières. J'ai beau me le dire, ça rentre mal.
@choupie je comprends, j'étais pareil dans mon ancien travail...on a des trucs à travailler en effet😉
Comme tu dis des indispensables, il y en a plein des cimetières. Je me suis rendue indispensable l'année dernière pendant la crise du covid. Mes chefs m'avaient en adoration. Depuis mon arrêt, je suis ignorée...
Au travail aujourd'hui, dans la plupart des boîtes, nous ne sommes que des pions. Malgré tout je n'arrive pas à perdre ma conscience et je donnerai toujours trop.
Pour moi , il est indispensable de bosser aussi, quand ma santé le permet, bien sûr.
Avons nous tous ce point commun de trop donner au travail, comme si nous avions besoin de justifier notre présence?
@eliebipbip pour me part c'est plutôt un besoin d'être utile, d'exister et d'être aimée 😊
Je suis comme vous, j'ai tendance à bosser un peu trop. A la fac je travaillais du lever au coucher, je sautais le repas de midi pour bosser plus et j'avais mis des fiches sur les murs pour les lire pendant que je me lavais les dents. J'avais enregistré mes cours pour les écouter quand je marchais vers la fac et je ne sortais jamais le soir.
Quand j'ai commencé à travailler, en job d'été dès mes 18 ans puis à mon premier poste je me donnais à 100%. Ça plaisait bien à mes employeurs puisque très vite j'ai eu des missions supplémentaires à tour de bras sans forcément être payée plus.
Je pense que c'est l'anxiété qui me fait travailler comme ça. En travaillant beaucoup j'essaie de me rassurer. Ça ne fonctionne pas vraiment puisque je culpabilise lorsque j'ai moins bossé, quand par exemple je m'autorise un moment de détente. Et ça ne m'a pas aidée puisque j'ai fini hospitalisée à faire des cauchemars dans lesquels tous mes collègues me montraient du doigt parce que j'étais nulle. J'en fais encore.
Je n'ai pas travaillé pendant plus de quatre ans et j'espère que ça a suffi pour me transformer et me permettre de reprendre en travaillant bien, mais pas trop.
Comme vous.
quand je bosse je compte pas mes heures. Mais le problème c’est que ça tient pas au bout d’un moment je m’effondre.
Pour ma part je donne trop d'importance au travail. J'ai l'impression que si je ne travaille pas je suis défaillante, je ne vaux rien. Alors que finalement, ce n'est qu'un travail, ça ne me qualifie pas au quotidien. J'ai bien avancé sur le sujet, à voir à la reprise...
