Bonsoir ! J’ai publié il y as un moment à propos de mes questionmoments sur ma condition. J’ai rencontrer mon médecin de famille aujourd’hui ( pour la première fois, je n’en avais pas avant )
J’ai donc entammener les démarches pour comprendre ce qui se passe dans ma tête. En parlant avec le médecin tout de suite elle a vu la problématique, très jeune médecin ce qui est génial selon moi, puis elle en as convenu que selon elle j’étais soit bipolaire de type 2 ou personnalité limite ( borderline ). Cependant le doc crois beaucoup plus à la thèse de la personnalité limite, avec accès d’anxiété pour lequel j’ai demander des médicaments, elle ma prescrit le moins pire des anti-depresseur pour ça, pour éviter une manie si jamais c’était de la bipolarité.
Le pourquoi j’écris ce soir c’est que, j’ai beau lire sur la personnalité limite et je m’y reconnais beaucoup, énormément, mais pas pour la peur de l’abandon qui est partie depuis quelques temps ( 1 et demi ans je dirais) avec mon conjoint. Avec mes amis et ma famille je n’ai jamais eue cette peur, au contraire j’ai surtout du mal a m’impliquer dans mes relations amitié/familiale, je suis très distante.
Je n’y comprend plus rien….
En fait je n’ai aucun diagnostique encore, j’ai souvent la tête dans le brouillard mais depuis tellement d’année qu’il est devenue difficile de dire si c’est normal comme état, ou bien si ma tête fait défaut ! Enfin bon, je réfléchit trop vous me direz !
Coucou,
Déja bien dormir comme dit Emilie. Puis attendre que l’ad fasse de l’effet, soit de 1 à 3 semaines. Pendant ce temps évite de trop penser et te faire du soucis. Essaie plutot de faire des petites choses que tu aimes, sortir un peu, éviter le stress. Pour bipolaire ou borderline, la frontière est ténue. Dans ce que tu lis des symptomes, c’est normal qu’il y en ait que tu ne ressente pas…on est chacun différents , on n’a pas tous exactement pareil. Je n’ai jamais eu peur de l’abandon. Par contre mettre de la distance avec les gens oui, pour se protéger de nos émotiins, ça j’ai comme toi.
Courage
Peut-être en effet que c’est un peu une sorte de barrière émotionnelle que je me suis construite avec les années…en y repensant j’ai toujours été instable avec mes amis. A l’adolescence j’étais tout noir ou tout blanc, j’adorais mes amis et la semaine d’après je pouvais détester la personne. J’ai déjà fait la gueule a un ami parce qu’il m’avait balancer au directeur de l’école parce qu’il avait fait l’école buissonnière avec moi. Il est mort quelque temps après et depuis je n’ai jamais retrouvé d’amis proche, il y as toujours une espèce de barrière!
Dernièrement j’ai une amie très proche, avec qui je partage quelques passion commune. Par contre dès qu’elle commence a vouloir faire comme moi ( collection de crâne entre autre) je pète un cable et le vois comme une sorte d’attaque ou de tentative de me volé ma personnalité a moi, enfin bon vous voyez le portrait, j’ai beaucoup de mal a lâcher prise!
Pour ce qui est des médicaments, je vais les entamer après les fêtes, la dernière chose que je veux c’est bien me sentir mal pendant cette période agitée! J’ai l’impression de ne pas me connaître moi même …
Bonjour à tous!Comment allez-vous?
la bipolarité est une maladie!!!!elle va, elle vient mais ne nous quitte pas vraiment.
On sait qu’on fait des choses justes même si cela doit blesser d’autres personnes mais du coup on regrette et on culpabilise.
La peur de l’abandon ce n’est pas forcément se scotcher à quelqu’un d’autre ;quand on a peur de l’abandon on quitte les autres en premier ou on les pousse à nous quitter.
La bipolarité c’est l’instabilité permanente et la stabilité est illusoire…
La bipolarité c’est avoir la tête à l’endroit alors qu’elle est à l’envers.
La bipolarité c’est un don et une malédiction à la fois…
La bipolarité c’est nous et nous sommes autre.
La bipolarité c’est un abyme profond de tristesse et une vertigineuse aventure faite d’émotions et de sentiments….
La bipolarité c’est ni bien ni pire c’est que nous en faisons au quotidien qui nous permet d’avancer et de s’es sortir…………
Tsussssssssssssssssssss et bon vent!
Bonjour à tous!Comment allez-vous?
la bipolarité est une maladie!!!!elle va, elle vient mais ne nous quitte pas vraiment.
On sait qu’on fait des choses justes même si cela doit blesser d’autres personnes mais du coup on regrette et on culpabilise.
La peur de l’abandon ce n’est pas forcément se scotcher à quelqu’un d’autre ;quand on a peur de l’abandon on quitte les autres en premier ou on les pousse à nous quitter.
La bipolarité c’est l’instabilité permanente et la stabilité est illusoire…
La bipolarité c’est avoir la tête à l’endroit alors qu’elle est à l’envers.
La bipolarité c’est un don et une malédiction à la fois…
La bipolarité c’est nous et nous sommes autre.
La bipolarité c’est un abyme profond de tristesse et une vertigineuse aventure faite d’émotions et de sentiments….
La bipolarité c’est ni bien ni pire c’est que nous en faisons au quotidien qui nous permet d’avancer et de s’es sortir…………
Tsussssssssssssssssssss et bon vent!
Mon avis perso,rien est facile avec cette maladie,moi je la maîtrise après 10 ans de maladie et a pêne.Faut beaucoup de force pour y’arrivé!!!
bon courage!!!
Bonsoir David,
Je suis touchée par votre témoignage. Moi-même soignée pour cette maladie, je peux vous dire qu’on peut vivre avec. La route est parfois longue, mais on y arrive.
Bon courage. Sincèrement.
Marie-Claude
On arrive à vivre avec mais il est difficile de garder son emploi avec cette maladie.
Bonsoir
Oui c’est pas évident gardé un emploi avec la bipolarité comme lourd fardeau.
Moi j’ai travaille comme manager dans une agence de voyagé et j’ai complètement craqué,depuis sans emploi…..
Courage pour des gens qui réussi avoir un emploi!!
Bonne soirée a tous!!
Craqué ? C’est à dire tu as fais une dépression ? Ou un accès maniaque ?
Marie-Claude c’est vrai que la route est longue. Les phases de dépression ne sont pas facile à vivre ni pour nous ni pour l’entouRage.
Bonsoir Armelle
Oui la deuxième proposition l’état maniaque pendent plusieurs semaines suite un état dépressive lourd.J’arrive pas gérer mon stress,voir aussi que j’ai travaillé 50-60 heures par semaine.
D.