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Elis
 Elis
(@elis)
Trusted Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 52
 

Ils me prennent pour une demeurée. J’essaie d’aller à mon rdv psy samedi mais plus ça va moins je me sens en confiance. Je commence à me heurter aux stigmas sur le trouble bipolaire du genre le terme « partir en vrille » ou « mais calmez vous madame, c’est dans votre tête, c’est le stress ». 
ça me fait vriller. J’ai pas envie de partir et de revenir comme une m***e dans 3 mois parce que je me sens pas bien


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 6 ans
Msg: 3991
 

Si tu n’es pas en confiance avec ta psy ça va être difficile pour toi d’avancer dans cette relation. Tu devrais peut être changer de médecin. Quelqu’un en qui tu as confiance. Tu es en libéral ou en cmp?


   
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Elis
 Elis
(@elis)
Trusted Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 52
 

Pffff merci de rester sympa 🙄 

c’est une privée avec qui je teleconsulte car je déménage tout le temps. 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 6 ans
Msg: 3991
 

Plein de praticiens maintenant font de la téleconsultation. Tu devrais tester une autre via Doctolib 


   
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Elis
 Elis
(@elis)
Trusted Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 52
 

Je suis blasée je sais plus trop où je vais là 

 

je sais pas si je dois continuer avec ou pas. J’ai plein de points sur les i a lui mettre. Je suis pas très bien. Ça me stresse ce rdv nul. En plus elle en sait rien vu qu’elle ne m’a pas rappellez pour savoir comment ça allait.

moi je me dis je vais avoir un job sympa, j’ai un amoureux qui m’aime si ça se trouve ça va aller. 

je vire les deux rdv set voilà. 

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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 6 ans
Msg: 3991
 

Non garde les ne serais’ ce que pour lui dire pour le lamictal 


   
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Lyleith
(@lyleith)
Reputable Member
Inscription: Il y a 5 ans
Msg: 342
 

Ma psy m’avait aussi fait arrêter tout le Lamictal d’un coup à l’époque, et pas d’effet de sevrage. On n’a jamais dit que tu n’avais rien, juste que parfois certains symptômes sont provoqués par l’angoisse d’avoir quelque chose. Mais je le répète, si tu as la langue gonflée, on s’en fiche que ce soit dû à un médicament ou pas, il ne faut pas que tu risques ta vie. Si tu éprouves une quelconque difficulté à respirer, tu devrais aller aux urgences.

Tu as tout à fait le droit d’être fâchée contre ta psy; le Lamictal est connu pour créer des réactions graves, en particulier cutanées et elle ne t’a pas suffisamment accompagnée là-dessus. Énormément de patients n’ont aucun effet secondaire, et certains font une réaction; je suis vraiment désolée que ça te soit arrivé et j’aurais aimé qu’un médecin s’inquiète pour toi. Tu devrais quand même la voir samedi, quitte à lui expliquer ce que tu ressens, parce qu’elle accepte quand même de te suivre en visio. Comme le dit Melo, il faut que tu parles à un médecin de ta réaction au Lamictal, alors vas-y, et si tu veux vraiment changer de psy, fais-le après le rendez-vous. On est pile dans une période où la visio s’est généralisée.

Et je me répète, c’est tout à fait compréhensible que tu sois refroidie quant aux traitements, mais on est nombreux, ici ou ailleurs, à très bien supporter la plupart des molécules et à mieux vivre avec. Oui, on te conseille de voir un médecin, mais c’est naturel, on ne va pas te conseiller le contraire! Ce serait dangereux de ne pas te dire de voir un spécialiste. Il y a de très bons médecins, et j’ai moi-même changé de psychiatre quand je ne me sentais pas du tout accompagnée donc je ne te dis pas d’y retourner sans rien dire, mais de lui parler, mettre les choses au clair si nécessaire et de voir quelqu’un d’autre après si tu préfères. Il y a plein de psy qui font de la visio.

En attendant, pour parler, on est là.


   
Melo reacted
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(@ange27)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 10
 

Après ce que j’ai fais et eu je ne veux plus de médicament ni de thérapie. J’en ai plus besoin en plus mon compagnon m’aime comme je suis et il aime m’a libido. Je le suis fidèle.


   
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Lyleith
(@lyleith)
Reputable Member
Inscription: Il y a 5 ans
Msg: 342
 

@elis,

J’espère que tu vas parler à ta psy aujourd’hui et que tout va bien se passer. Tiens-nous au courant si tu veux, et j’espère surtout que tu vas mieux.


   
Elis reacted
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Elis
 Elis
(@elis)
Trusted Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 52
 

Coucou, merci de prendre des nouvelles. On a arrêté le suivi. Elle m’a redirigée vers un cmp. Je les appellerai lundi. Elle m’a dit de ne jamais arrêter les suivis. Et m’a reproché de ne pas avoir appelé un médecin mais bon… 

a suivre 


   
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(@scobie)
New Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 1
 

« Aucun intérêt en psychiatrie »….vite dit. Depuis 2 mois j’en prends 3 par jour en plus de Modiodal (50mg matin et 50mg l’après-midi) et de Lamictal (3 fois 50mg). Plus aucune idée noire au réveil. Miracle. Effet placebo ? On verra bien avec le temps… A noter aussi le fait que j’ai moins tendance à systématiquement endiguer mon agressivité. Parfois ça sort… Je crains aussi des effets négatif sur le sommeil. Siffrol et Modiodal font-ils bon ménage ? Tantôt bâillements compulsifs et irrésistible envie de dormir, tantôt insomnies et pas plus de 3 heures de sommeil par nuit…

Y a-t-il des expériences semblables ?

Qui peut me dire ?

D’avance merci

 


   
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Melo
 Melo
(@malette)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 6 ans
Msg: 3991
 

@elis

oui n’arrête pas ton suivie et appelles le cmp. Mais en revanche elle a raison. Tu aurais dû appeler ton médecin traitant ou aller aux urgences. Ça aurait pu être grave.

fais attention à toi!


   
Elis and Lyleith reacted
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 Zed
(@zed)
Eminent Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 20
 

Bonsoir à tous,

Je viens de m’inscrire sur le tchat, j’espère poster au bon endroit.

Je souhaitais échanger avec des personnes diagnostiquées bipolaires pour avoir un regard sur ce qui m’arrive.

Je vous explique mon « cas » et m’excuse par avance pour la longueur du texte : j’ai 39 ans, j’ai arrêté de boire depuis 3 mois car je me faisais du mal avec ça. J’ai voulu voir comment j’allais sans alcool.

Je me suis rendue dans un centre d’addictologie pour comprendre mon mode de fonctionnement avec ce produit, car je me doutais bien que cela cachait d’autres choses. Au gré des RDV entre l’addictologue et le psychiatre, ces derniers semblent ne plus douter que je sois bipolaire. L’alcool aurait été une béquille depuis longtemps pour gérer mes émotions et mettre le mouchoir sur le mal-être.

Le médecin m’a annoncé cela vendredi, et m’a prescrit de la quetiapine.

Autant vous dire que c’est un choc. Je n’ai pas acheté les médicaments, cela me fait peur. J’ai du mal à accepter le diagnostic. Il expliquerait pourtant toute la façon dont j’ai « géré » ma vie jusqu’à présent.

J’avais déjà vu un psychiatre il y a quelques temps, dans une période où j’étais très mal, et lui m’avait dit sans appel que j’étais borderline.

Un peu avant, j’avais vu un psychologue qui a décidé de me faire passer un test de QI. résultat : 145.

Je ne comprends donc plus rien. Serait-ce une « intelligence » trop vive qui provoquerait cette hypersensibilité ? Quid de l’état borderline et/ou de la bipolarité ? Comment un psychiatre peut-il être sûr d’une chose et un de ses confrères d’une autre ?

Mon état est mixte. Je n’ai pas de phases bien distinctes d’euphorie et de dépression. C’est plutôt tout dans la même journée. Mais depuis que j’ai arrêté l’alcool, c’est plutôt des crises de larmes et d’angoisse tout le temps, une hypervigilance, une agitation physique et psychique (cerveau à 2000 en permanence, je dors peu), une culpabilisation, de la honte. Toute émotion est intense.

C’est comme si j’accumulais en même temps un état maniaque et dépressif sans répit. C’est apparemment un type de bipolarité, mais je ne comprend pas la différence avec l’état limite.

Je ne sais pas quoi faire de cette annonce. Les médecins peuvent-ils se tromper ? Et les médicament, ce sont des neuroleptiques, ça m’effraie. Je freine des 4 fers à l’idée d’être soignée de la sorte.

J’arrête là car c’est déjà très long, j’espère pouvoir échanger avec vous.

Zed


   
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NooN
 NooN
(@noon)
Membre Moderator
Inscription: Il y a 5 ans
Msg: 895
 

@zed

Salut à toi et bienvenue sur ce forum.

J’ai été diagnostiqué à 43 ans, « grâce » à une phase hypo. Je n’avais aucune idée de cette maladie auparavant. Addict au cannabis depuis 25 ans, ma béquille à moi.

Pour le traitement, je n’ai pas hésité, surtout que ça s’est fini en HP dans un sale état. Je n’ai pas d’avis sur la Quietapine, car sous anti-convulsif. L’acceptante est le chemin de croix de chacun ici.

D’autres t’en dirons plus.

Bienvenue encore


   
Zed reacted
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 Zed
(@zed)
Eminent Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 20
 

@noon

Merci pour ton accueil et de m’en avoir dit un peu sur toi 🙂 Je suis ravie d’avoir trouver ce site où nous pouvons nous exprimer tels que nous sommes.

En effet, accepter le diagnostic semble être difficile.

C’est presque impensable pour moi de me dire que je suis « malade ». Et aussi, la peur du jugement. Je n’en ai parlé à personne pour l’instant, et je ne sais pas si je le ferai. J’ai d’abord envie d’être sûre de l’avis du médecin. Je pense que je vais faire de la résistance au traitement jusqu’à une phase dépressive encore plus violente peut-être. J’ai toujours la croyance que je suis capable de gérer sans béquille, mais c’est très compliqué au quotidien. Je suis très sévère envers moi-même, et dès que je pourrais penser que j’ai montré une faiblesse ou que je ne gère pas une situation, un sentiment de honte maladif m’envahit et je disparais des écrans radars. Je me cache. Mon médicament, finalement, c’était l’alcool. Ça me permettait d’accompagner et de justifier mes phases maniaques et de créer des liens sociaux en lâchant prise, et quand ça n’allait pas, ça me réconfortait (en me ramenant dans la manie je pense) et m’assommait. Mais force est de constater que ça ne règle rien et que le problème est profond.

De plus, la désinhibition liée aux psychotropes peut nous amener très loin, chose que l’on regrette ensuite et qui nous fait encore plus plonger dans la dépression par destruction progressive de l’estime de nous-même.

L’avantage du diagnostic justement posé, c’est qu’il nous ouvre les yeux sur beaucoup de choses. Pourquoi nous avons agit de telle ou telle manière, pourquoi nous nous sabotons et comment.

Je me demande quand se déclenche vraiment la bipolarité. Elle est souvent là depuis longtemps mais nous en sommes inconscients (et notre entourage aussi).

A vous la plume ! J’écris un peu trop moi 🙂

 


   
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Lyleith
(@lyleith)
Reputable Member
Inscription: Il y a 5 ans
Msg: 342
 

Salut Zed,

Bienvenue et bravo pour l’arrêt de l’alcool.

Pour ce qui est de comprendre ton état actuel, mixte dépressif etc, le fait de ne plus avoir la béquille de l’alcool nous met face à nous-mêmes et il faut un peu de temps pour se stabiliser un minimum. Cette intensité s’apaisera au fil du temps, je l’espère.

Tu peux tout à fait avoir un QI haut ET être bipolaire ou borderline, c’est assez courant. Et le fait d’être bipolaire et d’avoir ce type d’addiction est courant également, la maladie n’en exclut pas une autre et il y a pas mal de comorbidités possibles.

Si ça peut te rassurer, je prends de la quetiapine depuis longtemps, je la supporte bien. Elle me stabilise et ça fonctionne aussi très bien chez mes amis. On est juste comateux le matin lorsqu’on prend de hautes doses mais rien de plus, même pas de surpoids.

J’espère avoir répondu à tout, bon courage!


   
Mosis reacted
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 Zed
(@zed)
Eminent Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 20
 

@lyleith

Merci pour ton message, ton témoignage et tes encouragements 🙂

Pour revenir au QI, je suis d’accord avec toi, un score élevé ne protège pas des troubles 🙂 Ce que j’entendais par là, c’était plutôt la possibilité que l’hypersensibilité en lien puissent être seule responsable du tsunami émotionnel.

Mais effectivement, cela semble peu probable. Ça n’a même rien à voir. Cette instabilité émotionnelle, ces up and down permanents nous dépassent.

Aussi, les traitement peuvent apparemment beaucoup améliorer l’humeur. Encore faut-il les accepter 🙂 Tu sais, je le ressens comme un sentiment de faiblesse, d’échec sur moi-même. J’ai une telle volonté de contrôle…Que ça me fait refuser un traitement qui me permettrait peut-être de pourtant mieux contrôler 🙂 C’est paradoxal 🙂

Quant à l’alcool, me dire que je dois être abstinente ne m’enchante guère. Je ne me dis rien d’ailleurs. Je chemine. Je me découvre, je suis face à moi-même comme tu dis. Pour l’instant je souhaite continuer à me découvrir sans substances, mais ça manque parfois, c’est comme une envie de revenir dans ses anciens schémas pour y retrouver une illusion d’apaisement.

Tu as des amis proches bipolaires, donc pas de tabou de ton côté pour en parler aux gens je suppose ?

Pour ma part, je trouve que c’est une annonce qui n’est pas très légère. Aussi, je ne sais pas si j’en parlerai à mon entourage. Peur que cela change leur regard sur moi.

Et merci pour ton retour sur la quetiapine, ma prescription si toutefois j’accepte de la prendre est légère (50).

Au plaisir de te lire !

Prends soin de toi également


   
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Lyleith
(@lyleith)
Reputable Member
Inscription: Il y a 5 ans
Msg: 342
 

Tu sais l’alcool a également été ma béquille pendant un moment, et finalement, mes médicaments l’ont bien remplacé. Ça ne m’empêche pas de boire un verre de temps en temps. Et pour le contrôle, comme tu le dis, on se contrôle mieux avec un traitement. Les nouvelles rencontres ne soupçonnent plus ma maladie, je ne fais plus ces crises qui choquaient les gens, je n’ai plus un comportement d’extraterrestre.

Quant à en parler autour de toi, bien sûr tu n’es pas obligée de le faire, on a droit à son jardin secret. Moi je n’ai pas vraiment eu besoin de le faire, dès ma petite enfance tout le monde voyait que j’avais un comportement assez spécial. Le terme bipolaire est sorti pas mal de fois de la bouche de mes proches avant le diagnostic, donc quand celui-ci a été posé, on était juste rassurés de pouvoir me faire soigner. Aujourd’hui j’en parle peu mais quand je dois expliquer pourquoi je ne travaille plus (pour l’instant), ça peut sortir. J’ai honte de ma situation, mais pas de la maladie en elle-même, comme je suis stabilisée. Et mes amis bipo, je les ai rencontrés en psychoéducation donc on échange souvent sur la maladie et les traitements.

Je comprends ton envie de retrouver le doux cocon de l’alcool. Ce genre de substance nous fait oublier sa nocivité, on a envie d’un verre, d’une cigarette ou d’un joint et on oublie totalement notre « plus jamais », parce qu’on espère retrouver notre cocon rassurant.

50 mg de quétiapine ce n’est pas grand-chose, dis-toi que j’étais à 600 il y a peu. Ça pourrait être une mini béquille. Mais quand on vient juste d’avoir un diagnostic, il faut prendre le temps de le digérer, voire de se l’approprier, c’est normal que tu te poses des questions. Quand j’ai gobé mon premier cachet je me suis regardée dans la glace un long moment en me demandant dans quoi je mettais les pieds. Prends ton temps, lis des témoignages; rien ne presse, sauf si tu te sens vraiment mal.


   
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 Zed
(@zed)
Eminent Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 20
 

@lyleith

En réalité, l’alcool m’est agréable, j’aime ce côté détente qu’il procure et le côté convivial avec des gens quand on trinque. Évidemment, on peut le faire au jus de fraise, mais c’est pas pareil.

Pour l’instant, j’évite totalement. Je suis trop instable et l’idée c’est de traiter le fond pour éviter de remettre le mouchoir par-dessus les problèmes et les empirer dans le déni. Le hic c’est que je m’isole encore plus du coup, car je ne suis plus dans la même ambiance que les autres. Stratégie de l’évitement. Alors que je me confronte à moi-même. Encore un paradoxe.

C’est difficile, c’est une mise à nu. Je ne sais absolument pas où je vais, mais au moins je redescends sur terre (outch !). Mais parfois on l’aime pas la terre, j’en suis même arrivée à me dire qu’en réalité je buvais pour la supporter, tiens, la réalité. Ou en biaiser mon appréciation.

Je suis quand même très emmerdée avec ce diag. Tu vois, je viens de faire une rencontre, et je ne sais pas si je dois en parler tout de suite. Ca peut faire peur. Il y a risque de stigmatisation. Remarque, au moins la messe sera dite. J’ai aussi envie de le garder pour moi le temps de creuser encore sur tout ça, et surtout de trouver des humeurs plus cool. Parler de cela sur un ton drama, finalement c’est ça qui peut effrayer. Le ton. Pas forcément le fond. Quoique le fond c’est pas la joie quand même ^^

J’aurais une question à te poser, pour voir si ce que je vais te dire est symptomatique bipo, si toi tu le vis également par exemple.

L’incertitude, l’hésitation permanente, ne pas savoir faire de choix, se positionner puis chialer et se maudire quand la procrastination nous fait passer à côté de quelque chose, ça fait partie du package bipo, n’est-ce pas ?

En gros, j’ai l’impression que quelques soient nos choix, on ne sera jamais satisfaits, et que ce que l’on laisse s’échapper, on le regrette pourtant amèrement.

Pour le traitement, j’ai peur, oui, même si ce ne sont pas du tout de fortes doses. Ce sont des neuroleptiques, des antipsychotiques, ça m’effraie. Je ne sais pas ce que je vais faire à mon cerveau…


   
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(@morphee)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 8
 

@zed


   
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(@morphee)
Active Member
Inscription: Il y a 4 ans
Msg: 8
 

Désolée je maîtrise pas trop les forum.

Jusque là je parlais toute seule, sur mes carnets, sur mon ordi.

ça me fait vraiment plaisir de vous avoir rejoint tous, je me sens moins seule !

Je déteste parler de moi, mais j’adore écrire sur plein de choses.

je saurais me faire discrète.

 


   
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